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Critique de Bouteyalamer


Une lente et monotone progression dans la noirceur (quatre pages noircies quand l'imagination s'épuise), version pathétique en costume de la route de McCarthy. Un final mystique comme dans la Créature de Fowles. Un fatalisme dérangeant : l'auteur, pourtant irlandais, n'évoque pas la cupidité des Anglais qui a provoqué la famine de 1846-51 après deux saisons de mildiou. Il faut poursuivre parce que le roman est bien écrit, très bien même à l'aune du nombre de métaphores par page. Une bonne trouvaille : les provocations du frère absent.
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