Le roman se situe entre les 2 guerres, au début du XXè siècle, dans la Provence chère à l'auteur. Comme toujours, on a l'impression d'y être, d'en respirer les odeurs, d'en entendre la musique, les voix, l'accent, la lumière, mais je n'ai pas vraiment accroché avec cette histoire d'amour entre une naine et un jeune apprenti de 14 ans. Je continue d'adorer Magnan, mais cet opus là ne restera pas mon meilleur souvenir.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.