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4,05

sur 723 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Une excellente lecture qui prend aux tripes

Dans le post-apocalyptique, les histoires qui parlent de l'apocalypse, du confinement et de la fuite qui s'en suit, ce n'est pas spécialement mon truc. L'ambiance est trop oppressante pour que j'arrive à apprécier ma lecture. Autant dire qu'apprécier birdbox n'était pas gagné et pourtant c'était bien. On aborde tout ce qui me pose problème en temps normal mais il y a quelque chose dans l'écriture et le choix du vocabulaire qui a bien marché avec moi. C'est fluide, pas trop glauque au niveau des descriptions, tout est dans l'ambiance pesante. Ca reste une lecture dure pour mon petit coeur même si c'était vraiment bien.
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Le coup de génie c'est la menace extérieure invisible, puisque les personnages comme le lecteur sont totalement aveugles. Tout au long du récit, on se demande quelle saloperie traine à l'extérieur, quel genre de chose peut conduire les humains à être pris de folie meurtrière et suicidaire.

L'histoire qui tourne autour de Malorie alterne entre le passé, où enceinte, elle tente de survivre avec une poignée de survivants et le présent avec le périple à l'extérieur avec les deux petits. D'un côté l'atmosphère électrique de la survie, des tensions de groupe, de l'autre l'angoisse du danger, de a vulnérabilité face à une menace qu'ils ne peuvent même pas visualiser ou nommer mais qu'ils sentent constamment autour d'eux. Dans les deux cas, privés de la vue, les personnages sont en proie à une paranoïa auditive constante, et nous avec forcément.

L'écriture est simple, les chapitres courts s'enchainent avec fluidité et la tension est telle qu'on tourne les pages sans même s'en apercevoir. La fin m'a… laissée sur ma fin. Mais j'ai ensuite vu sur Babelio qu'une suite était programmée ainsi qu'un film. Alors même l'ultime petite nuance a été balayée.

Un thriller tout en suggestion, juste terrifiant. Coup de coeur.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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C'est mon gros coup de coeur du moment. J'ai adoré. L'écriture est simple et prenante. On est tenu en haleine du début à la fin. l'idée de base fait beaucoup penser au film Phénomène, ou les gens se tuent suite à ce qu'ils ont respiré . Ici c'est une entité inconnue qui rend les gens fous par simple contact visuel. Résultat : les gens se bandent les yeux pour se protéger et apprennent à survivre avec ce handicap. On imagine sans peine la difficulté et les psychoses engendrées par cette nouvelle vie.
L'auteur a une superbe façon de nous décrire un monde qui ne peut être vu, de faire entrer la peur de l'inconnu. La tentation d'enlever le bandeau protecteur est grande.
C'est le genre de livre à mettre dans sa bilbiothèque. Une référence dans ce style!
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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"Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux".
Sur ce bon conseil de notre bon vieux Pierre Perret, j'ai donc décider d'ouvrir Bird box sans jamais pouvoir vraiment le refermer. 48h plus tard, je terminai la dernière ligne en me disant "Vraiment?".
Record personnel !

J'ai découvert ce livre totalement par hasard, en me baladant sur Babelio.

On suit ici Malorie dans un récit qui alterne le présent de l'action et les flash back qui expliquent la généalogie de celle-ci.

Il y a quelque chose dehors dont on dit que la vision seule vous fait totalement dérailler.

Au début, personne n'y prêtait vraiment attention, jusqu'au jour où "ça" touchait l'Amérique. Peu à peu la panique s'installe. Quelque chose cloche. Les gens sortent de moins en moins, calfeutrent leur domicile et font des réserves de nourriture. Alors, la torpeur s'installe sans jamais repartir. Les suicides et actes de violences se multiplient sans que personne ne puisse endiguer la pandémie.

C'est dans cette atmosphère totalement anxiogène que nous suivons ainsi le périple de Malorie avec ses enfants. Cette dernière décide, après près de 5 années de cloître sans jamais avoir vu la lumière sur soleil, quitte son refuge et emmène Garçon et Fille vers un lieu plus sûr.

La force de Bird Box repose dans le pouvoir de suggestion de Josh Malerman. Jamais on ne sait ce qu'est cette chose, "créature" (vraiment?) qui est apparemment tellement complexe et au-delà de notre entendement que notre cerveau ne peut l'appréhender, et disjoncte.

C'est ici que nous entrons, nous lecteurs, en scène. Nous seuls façonnons avec notre imagination cette chose qui anéanti l'humanité (Perso le truc que j'imaginais était vraiment flippant).

Josh Malerman ne s'est pas embarrassé avec des considérations superflues. L'important ici n'est pas de connaitre l'origine de ce mal, ni de le comprendre. Il s'agit plus de s'attarder sur nos réactions à nous, notre paranoïa qui embrume l'inconnu, notre peur (peut-être) démesurée de ce que nous ne comprenons pas ainsi que la capacité de l'individu à (sur)vivre en huis-clos avec ses congénères.

"L'homme est une créature pour l'homme" (coucou Thomas Hobbes).

Je ne peux que conseiller ce roman, tout le monde y trouvera du plaisir, que l'on soit ou non amateur de SF et de roman post-apocalyptique.
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Ce livre « Bird Box » de Josh Malerman, je l'ai découvert sur Babelio. Il a fait l'objet d'un concours que je n'ai pas remporté mais j'avais glissé le titre dans un coin de ma tête et je l'ai enfin trouvé ! C'est un roman post-apocalyptique comme je les aime, qui date déjà de 2014. C'est le premier roman de Josh Malerman, par ailleurs chanteur, parolier et guitariste d'un groupe de rock. L' intrigue, qui pourrait très bien avoir lieu à notre époque, c'est le parcours de Mallory, une jeune femme qui se protége, elle et ses enfants, d'une menace potentielle invisible. L'histoire est racontée par flashbacks et se déroule soit dans le passé soit dans l'instant présent.

Mallory est encore une jeune étudiante, qui vit dans le sud-est du Michigan avec sa soeur Shannon lors de l'apparition de ces évènements. Elle tombe enceinte, ce qui ne l'enchante guère. Elle perd sa soeur, et trouve refuge dans une maison avec d'autres personnes dont Olympe, également enceinte. On la retrouve cinq ans plus tard, seule avec deux enfants qu'elle élève d'une façon peu conventionnelle, une formation quasi militaire. Et finalement, arrive le matin où elle décide de prendre un canot avec ses enfants et de naviguer les yeux fermés, sans un bruit vers un autre refuge, sans être sûre qu'il existe encore. C'est à ce moment que débute le roman.

De la menace, on ne sait pas grand-chose. Il y a, au départ, des rapports signalant la folie de personnes qui attaquaient brutalement les gens autour d'eux, après avoir vu « quelque chose » puis qui se suicident. Les premiers récits viennent de Russie, puis arrivent au Canada et finalement aux EU. À ce stade, les visions sont appelées «créatures» et la situation dans son ensemble est communément appelée «le problème». On en saura jamais plus sur les créatures. Ni d'où elles viennent, ni ce qu'elles veulent, ni à quoi elles ressemblent. C'est voulu et ça renforce la peur et l'aspect terrifiant du livre. La seule prévention possible est de ne pas regarder dehors, donc d'obstruer les fenêtres et de sortir les yeux bandés. Jamais les créatures ne sont décrites, tout réside dans le pouvoir de l'imagination et la peur du noir … Personnellement, je n'ai pas peur du noir mais j'ai trouvé angoissant d'être privé de l'usage de la vue tout en sachant que l'on est entouré de quelque chose de dangereux et menaçant.

Une atmosphère pesante dure pendant toute la lecture. Même si différents sentiments comme la peur, la compassion, l'empathie, l'espoir, la terreur, sont ressentis. Josh Malerman réussi à trouver les mots pour faire ressentir l'angoisse et les atrocités décrites. La scène de l'accouchement est un moment incroyable !

Le personnage de Mallory est magistral. Qu'est ce que j'ai eu peur avec elle ! Perdre ses proches puis les survivants, se barricader, vivre dans le noir, vivre dans la peur. Tout le temps, pendant 4 longues années. Comprendre le traitement extrême qu'elle fait subir aux enfants pour ne pas les perdre, imaginer comment elle a pu arriver à réveiller des bébés sans qu'ils ouvrent leurs yeux ! Ils n'ont pas de prénoms, elle les appelle fille et garçon, elle exerce leur ouïe à l'extrème sans arrêt. Comment a-t-elle pu trouver cet équilibre entre se protéger de ces créatures et ne pas devenir folle ?

Toutes ces questions que l'on se pose même lorsque la dernière page est tournée…. Ce livre est pour moi un coup de coeur.
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Quatre années...
Quatre années que Malorie et ses deux enfants vivent enfermés dans une maison sans voir personne,
Quatre années qu'ils n'ont pas vu la lumière du jour,
Quatre années qu'ils ne peuvent sortir que les yeux bandés, pour chercher de la nourriture,
Car, s'ils oublient de mettre ces bandeaux, s'ils ouvrent les yeux,
Ils apercevront des êtres, des créatures,
Qui les rendront violents,
Qui les rendront fous,
Qui les pousseront au suicide, inéluctablement,
Comme tant d'autres avant eux.
Mais, un jour, Malorie n'en peut plus de solitude et d'angoisse,
Il leur faut partir pour retrouver quelques survivants,
Il leur faut, en aveugles, s'aventurer dans un monde hostile et inconnu,
Affronter, en aveugles, des bêtes sauvages,
Risquer constamment de tomber, de se blesser,
Côtoyer les créatures dont ils sentent la présence,
Oui, il leur faut partir,
Vers quel avenir ?
Un suspense hallucinant...

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Imaginez un monde où vous ne pouvez pas ouvrir les yeux à l'extérieur sans devenir fou et sans avoir envie de vous tuer! C'est effroyable n'est-ce pas? Et bien c'est là-dessus que se base l'histoire de Bird Box! Et je dois dire que c'est vraiment bien trouvé! J'ai lu ce roman quasiment d'une traite et à aucun moment je ne me suis lassée. Tout au long du récit, l'auteur distille des détails qui vous permettent de vous faire votre propre idée sur ce qui se passe. Vous vous retrouvez aussi à réfléchir aux réactions que vous auriez dans pareille situation et....ça fait bizarre! Par contre, à ne pas lire avant de vous coucher car vous risquez, comme moi, de faire des cauchemars glaçants et de tenter de vous réveiller le matin sans ouvrir les yeux et de vous déplacer chez vous de la même manière! Si vous voulez tenter l'expérience, prévoyez crème et glace pour les hématomes!! Trève de plaisanterie, une vraie réussite que je conseille à ceux qui ont aimé Walking Dead ou La Route! Et un dernier conseil, pensez quand même à ouvrir les yeux pour le lire!!!
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De base je ne lis pas beaucoup, j'aime lire les livres qui m'intéresse ou m'interpelle.

Je vais donc du mieux que je peut, donner mon ressenti sur cet opus qui m'a bien plus, à tel point qu'il est rentré directement dans mon top 1.

Dans une premier temps l'écrivain a fait preuve de beaucoup d'imagination en mettant en avant pleins de détails très important dans un univers ravagé ou l'on vois absolument rien a pars l'intérieur des maisons a conditions que la maison soit sécurisé, pas de lumière extérieure. le but c'est d'éviter de voir le monde extérieure car il regorge de peur, de mort, de violence, d'effrois .... Les créatures. C'est comme çà qu'ils les appellent. Ne jamais regarder une créature, car elle vous ferait perdre la raison. Forcer a tuer quelqu'un que vous aimez du plus profond de vous, ou alors réussir à vous suicider, perdre la raison.... Devenir fou. Ce bander les yeux sans jamais revoir l'ancien monde est déjà très alarmant.... Avoir les yeux bandés sans même savoir qui est dehors, près à vous ôter la vie. Sans même savoir ou vous marchez, savoir ou vous êtes précisément, une peur constante que nous offre cet opus au seins du personnage principal ainsi que son entourage, les survivants qui sont au près d'elle. le fait d'être en quelque sorte dans la peau du personnage principal nous immerge complètement dans ce monde apocalyptique.

L'écrivain pour moi, à voulu passer un message ( ou pas ) J'ai pris serte un peut de recul sur la façon dont il a mis les choses en avant. Mais cela me fait prendre conscience de beaucoup de choses à travers Bird Box.
Vivrait t-on les yeux bandés toute notre existence sans plus avoir un contact visuel du monde avec celui que nous connaissions jusqu'à présent ?
Le noir total, s'imaginer le pire juste a coté de sois, en marchant en faisant même les taches les plus banales du quotidien à l'extérieure.

Un craquement dans la foret ? Peut être un loup ? Peut être une personne qui nous veut du mal ?
Voila comment le stress est retranscrit dans ce livre. C'était un exemple, pour moi le plus révélateur. La petite chose peut se transformer très vite en une véritable menace pour nous, psychologiquement.

Pour finir je voudrais rajouter que j'ai rarement lus des livres de ce type voir jamais pour tout vous dire...
Ce que j'aime le plus dans ce livre c'est la peur, l'angoisse permanente, être la proie sans cesse !

Que veut dire Bird Box ? Non, je ne parle pas de la traduction. Que signifie t-il ? Il y a message pour moi dans ce titre ! Vous le trouverez... En lisant le livre !

Une vrai découverte en tout cas ! Se lis à n'en plus pouvoir, très accrocheur, je vous aurez prévenu les fans du genre !

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Je viens de terminer "Bird Box" de Josh Malerman • J'ai tout simplement adoré et je ne suis pas passée loin du coup de coeur ! Une lecture prenante, stressante, angoissante, difficile de le lâcher (je l'ai d'ailleurs terminé en deux soirées). Bref, je vous le recommande +++ ! Je viens d'ailleurs de voir qu'il va être adapté en film par Netflix !
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Je voyais Bird Box sur les blogs et les réseaux sociaux depuis plusieurs années mais ne m'y étais jamais véritablement penchée, je ne savais donc pas tellement à quoi m'attendre. Je ressors de cette lecture à la fois complètement bluffée, admirative, impressionnée par la maîtrise de la narration… et aussi un peu frustrée par les questions qui demeurent sans réponse lorsque l'on tourne la dernière page. Ce n'est donc pas un sans faute mais c'est sans conteste un livre qui reste dans les mémoires.

Dans le premier chapitre, le lecteur fait la connaissance de Malorie et de ses deux enfants de 4 ans, une fille et un garçon – auxquels elle n'a pas donné de nom. Ils vivent tous les trois isolés dans une maison qu'ils ne quittent jamais et dans laquelle toutes les ouvertures sont obstruées par des couvertures. La lumière naturelle ne doit absolument pas pénétrer à l'intérieur de la maison. Quand Malorie va puiser de l'eau au puits dans le jardin – seul moment où elle sort de l'abri offert par le bâtiment – elle le fait en aveugle, les yeux bandés. Elle ne doit absolument pas ouvrir les yeux à l'extérieur, elle ne doit absolument pas regarder.
Mais cette nuit-là, sa décision est prise. le brouillard est là et va donc pouvoir cacher leur fuite. Elle réveille ses deux enfants et tous les trois quittent la maison, montent dans une barque et s'apprêtent à descendre la rivière sur 30 kilomètres, le tout les yeux bandés, seule et maigre protection contre… mais contre quoi d'abord ?

C'est ce que l'on va petit à petit découvrir grâce à une narration à deux niveaux. La première est au présent et correspond à la fuite de Malorie et de ses deux enfants en barque pour rejoindre un refuge hypothétique et donc d'autres survivants. Entre deux chapitres dédiés à cette navigation à l'aveugle, Josh Malerman offre des flash-back qui reviennent sur les événements survenus ces quatre dernières années : de la première mort surprenante en Russie à la montée de la panique générale dans le monde entier.
A chaque fois, tout semble alors commencer par la vision de quelqu'un ou quelque chose. Celui ou celle qui voit, devient fou, s'attaque aux personnes physiquement proches et finit par se suicider. Les médias s'emparent des faits divers isolés et la psychose se met en place. Puisque c'est le fait de voir qui semble mener à la folie meurtrière, les gens se bandent les yeux et se barricadent chez eux. Malorie traverse toutes ces épreuves, pendant plus de quatre ans.

Tout au long du roman, les personnages – et donc le lecteur – avancent les yeux fermés, tous les autres sens en alerte. Ne pas voir – et donc ne pas avoir de descriptions visuelles – laisse la place à l'imagination, ce qui entraîne des scènes carrément angoissantes ! C'est là où l'auteur est très fort car tout est dans la suggestion et le lecteur retient son souffle à plusieurs reprises.
Je me souviens surtout de la scène du puits, une des premières qui nous est décrites. Un des survivants auprès duquel Malorie s'est réfugié, doit aller chercher de l'eau dans le puits, les yeux bandés évidemment. Il doit parcourir plusieurs mètres à l'aveugle, se guidant grâce à des points de repère placés au sol, tous ses sens aux aguets, imaginant que, peut-être, le danger n'est qu'à quelques centimètres de lui. Après tout, peut-être est-il entouré de dizaines de « créatures » malfaisantes qui n'attendent qu'un faux pas de sa part ? Il est tendu, tout comme lecteur ; alors lorsqu'un son retentit, c'est le sursaut ! D'où provient le bruit ? Qui l'a créé ? Et si en sortant le seau du puits il touchait quelque chose d'inconnu ? Et si en faisant le chemin inverse pour rentrer dans la maison il trébuchait sur quelque chose de non identifié ?
Josh Malerman joue avec notre peur du noir, de l'inconnu et avec notre imagination débridée. Toutes les hypothèses sont permises et l'angoisse est plus que jamais au rendez-vous ! Ça fonctionne extrêmement bien, de la première à la dernière ligne.

Malheureusement, on arrive à la fin du roman après l'avoir dévoré, sans avoir de réponses au pourquoi du comment. Quel est ce mal inconnu ? S'agit-il de créatures ? D'où vient-il ? Pourquoi ? Est-ce qu'il existe vraiment ou est-ce que c'est justement à force de suggestion et à cause de la psychose générale que les gens en sont arrivés là ? A de telles extrémités ?
Alors oui, l'important c'est le cheminement, le fait que les gens peuvent arriver à la folie à force d'enfermement, de pression et de suggestion… Je comprends que Josh Malerman n'ait pas souhaité apporter ces éléments qui auraient peut-être pu en décevoir plus d'un et qui, finalement, n'ont pas tellement d'importance pour expliquer l'évolution et les agissements de l'héroïne, mais je fais tout de même partie de ces lecteurs qui aiment avoir toutes les clefs lorsqu'ils referment un livre.
Je suis donc à la fois très admirative du travail de l'auteur et en même temps très frustrée de ne pas tout savoir, de ne pas tout contrôler… comme les personnages de l'histoire !

Une narration brillante. Ou comment raconter une histoire sans aucune description visuelle, tout en suggérant, tout en actionnant l'imagination du lecteur. Bravo pour le tour de maître !
Lien : http://bazardelalitterature...
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