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3,57

sur 354 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Alors, j'ai écouté les commentaires d'une vendeuse à la librairie qui vendait les mérites de ce livre : "C'est comme le Parfum en moins glauque (...) l'écriture est canon..."
Évidemment, avec de tels arguments, j'aurais dû me méfier ! Franchement, je me suis forcée de le finir pour connaître la fin "du suspens" que l'auteur nous fait miroiter lourdement tout le long du récit. L'histoire est intéressante, oui, vraiment ! le problème, c'est le traitement. C'est maladroit, banal, attendu, lourdingue... J'avais la sensation de me retrouver devant une mini-série bas de gamme. Même si vers la fin, on la sent plus à l'aile avec la plume.
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Livre terminé, je suis un peu perplexe pour en parler :
le sujet : assez original, l'un des deux personnages , Sylvain, exerce le métier peu connu, celui de thanatopracteur.
le deuxième personnage, Alice, une jeune femme, doctorante . Son sujet de thèse, observer pendant quelques semaines un thanatopracteur sur sa pratique.
Sylvain et Alice : deux personnages totalement différents qui finiront par se comprendre et se respecter.

De belles descriptions sur le parfum des morts, "clients" du thanatopracteur.
un suspens sur le passé de Sylvain, très vite éventé 😠
Le style et l'écriture : pas exceptionnel, plutôt le contraire !

côté positif : découverte d'un métier.


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N°1625 - Janvier 2022

Le parfum des cendresMarie Mangez – Finitude.

C'est une rencontre entre Sylvain Bragonard, un embaumeur, taiseux et solitaire et Alice, une doctorante pétillante et curieuse de cette pratique professionnelle et qui veut faire de ce métier le sujet de sa thèse. Sylvain a accepté sa présence à ses côtés sans trop savoir pourquoi puisqu'il ne sait pas dire non. Avant de le rencontrer, elle a déjà pris beaucoup de notes auprès de différents thanatopracteurs. Cela a été une belle rencontre entre ces deux êtres exactement contraires, autant Alice est pleine de vie et lui qui ne vit que dans la mort et avec les morts au point d'être presque constamment en marge de la société. Il leur parle et les distingue uniquement par l'odeur qu'ils dégagent. Évidemment on pense à Jean-Baptiste Grenouille du roman de Patrick Suskin (« Le parfum ») à qui il est fait référence dans le roman et c'est d'autant plus d'actualité que le virus de la covid, non content de prendre sa moisson de vies, s'attaque, temporairement parfois, notamment à l'odorat de ses victimes.
Sauf que dans le roman de Suskin, Grenouille est un assassin. Alice en vient donc à penser, devant l'étrangeté de Sylvain qu'il pourrait bien lui cacher quelque chose ! C'est une pensée furtive et néanmoins gratuite, mais cela lui traverse l'esprit et s'y imprime durablement. Est-ce pour cela qu'elle prend son rôle tellement au sérieux, au point de lui faire prendre un cuite ou d'explorer sa vie familiale et personnelle ? En tout cas elle s'attachera à briser cette cuirasse pour révéler le secret de Sylvain qui prend lui aussi ses racines dans la mort, mais dans une mort qui lui est très personnelle.
Je suis assez peu entré dans cette histoire rédigée avec des mots simples sans fioriture littéraire.
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Une silhouette allongée. Une vieille apparemment endormie. Un visage apaisé. Des effluves de groseilles qui l'enveloppe. Cet incipit doux et intriguant happe le lecteur pour l'engager dans une histoire à l'opposé de l'apparente délicatesse des premières lignes.
Sylvain, thanatopracteur, taiseux, replié sur soi, côtoie bien malgré lui Alice, une jeune thésarde qui travaille sur cette profession aussi mal-connue que fascinante. de non-dits en dérobades, on comprend assez vite qu'il y a anguille sous roche. Leurs multiples rencontres permettront-elles à Alice à percer ce mystère ?
Pour originale que soit l'intrigue, ce roman ne tient malheureusement pas ses promesses. Les premières pages passées, il tourne assez vite en rond avec une redondance des scènes de soins apportés aux dépouilles, doublée d'une approche capillotractée du drame intime de Sylvain. Dommage car les pages consacrées aux parfums et aux senteurs sont d'une rare sensibilité.
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Quand commence ce bouquin ?
J'ai eu l'impression de ne lire qu'une longue mise en bouche (appréciez l'humour compte tenu du sujet du livre sur le goût et les parfums).
Les descriptions de senteurs sont beaucoup trop longues et précises pour être appréciées, et l'histoire du retour à la vie d'un homme brisé grâce à la tempête nommée Alice sonne un peu trop feel-good à mon goût.
Je suis passée à côté de ma lecture, ça arrive, tant pis !
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En flânant dans les allées de la FNAC, c'est la couverture qui a attiré mon regard. C'est vrai, elle est belle mais malheureusement, elle n'a pas tenue ses promesses... ce fût une terrible déception.

Alors voilà, mon enthousiasme s'est arrêté là, à cette couv'... Je me suis clairement ennuyée, c'était interminable. A plusieurs reprises, l'abandon m'a effleuré l'esprit mais je gardais toujours espoir qu'un rebondissement inattendu vienne illuminer ce roman... Alors j'ai tenu bon. Mais non, il n'est jamais venu...

Absolument pas captivée par l'intrigue, ni touchée par les personnages.

Je n'aime pas dire du mal d'un bouquin. Je sais que c'est beaucoup de travail pour les auteurs, qu'ils y mettent souvent tout leur coeur. Alors j'espère que ce roman trouvera ses lecteurs. Ça n'a juste pas fonctionné avec moi !
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Livre écouté via audiolib lu par Sophie Frison.
En quelques mots, descriptif, odeur, vie.
J'ai mis deux étoiles car ce n'est pas un livre qui va me marquer tant par l'écriture (trop familière, je n'apprécie pas le langage vulgaire dans un roman et encore moins lorsque c'est lu) que l'histoire.

On suit Alice qui écrit une thèse sur la thanatopraxie on la trouve en compagnie d'un praticien, Sylvian Bragonard qui a vécu un drame 15 ans plus tôt.

J'ai fini ce livre pour savoir quel était ce drame, comment la relation va évoluer mais je n'en suis pas sortie en me disant "Wahou, super lecture !", mais plus bon, allez on passe à la suivante.

Je remercie les éditions Audiolib et NetGalley de m'avoir permis de découvrir ce roman.
#LeParfumdescendres #NetGalleyFrance
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