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3,48

sur 198 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le Conseiller constitue le premier volet d'une grande fresque historique relatant le règne des Tudors. Dans ce premier volet, nous découvrons l'ascension sociale de Cromwell, simple fils de forgeron aux plus hautes fonctions du royaume et son "amitié" avec le monarque, Henri VIII qui est en conflit avec la papauté afin de divorcer de son épouse légitime Catherine et épouser sa concubine, Anne Boleyn.


Ce livre est un pavé historique. Je termine ce livre avec un sentiment mitigé....
J'ai suivi avec plaisir les différentes intrigues, les fausses amitiés, les connivences, les promesses, la montée de certains personnages à de hautes fonctions et la déchéance d'autres pour des raisons parfois futiles....le cadre sombre de cette époque avec les exécutions par bûcher des hérétiques, le conflit entre l'église et l'Angleterre, les guerres de pouvoir.... le livre est plutôt bien documenté et rend l'immersion du lecteur dans cette époque plutôt aisée. le tout n'est pas romancé à outrance et reste assez fidèle aux événements.


Par contre... j'ai eu un gros souci avec ce style d'écriture. Tout est relaté à la troisième personne au travers du regard de Cromwell. Cela donne la sensation par moment de lire le journal de celui-ci. C'est froid, distant, sans réel parti pris. Les faits sont relatés de manière distante comme si Cromwell ne désirait froisser personne. Les chapitres sont très longs et les événements s'enchaînent par moment comme des successions de faits mais au final, nous n'apprenons pas énormément de choses des visées de Cromwell. Il a pourtant eu un impact important et tout cela est mis au rebut. Dommage....


Indéniablement, un très bon roman historique mais un style lourd qui risque de rebuter les courageux.
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Une chose est sûre, cette trilogie dépoussière bien comme il faut l'époque des Tudors grâce au point de vue plein d'humour de Thomas Cromwell, l'homme ambitieux qui parvint à se hisser dans l'ombre du roi Henry VIII. le sujet est vaste, intéressant, mais extrêmement copieux, il faut l'avouer. Et c'est peut-être ce qui a fait que j'ai lu ce premier tome lentement mais sûrement. Hilary Mantel ne prend pas ses lecteurs pour des imbéciles, elle les immerge complètement dans son récit, les inondant d'un flot de références historiques pointues. La dame maîtrise son sujet, ce n'est pas le lecteur qui dira le contraire.

Je pense que c'est un roman qui ne se lit pas de la même façon selon notre degré de connaissances en rapport avec cette époque. Ceux qui en sont friands pourront saisir toutes les subtilités politiques, les autres se contenteront de se laisser séduire par le point de vue Cromwell, ce qui n'est pas désagréable non plus. Je me situe entre les deux puisque je suivais la série Les Tudors avec assiduité, même si je pense qu'il faut en prendre et en laisser, c'est évident, pour pleinement apprécier la saveur que l'auteure a donnée à ses protagonistes.

Le style est surprenant et nécessite plusieurs pages de lecture pour qu'on se familiarise avec, car Hilary Mantel donne un côté théâtral à son récit en utilisant un « il » qui fait toujours référence à Thomas Cromwell, son héros attitré. Avec du recul, on se rend compte que le choix est judicieux étant donné qu'on ne perd rien des pensées truculentes du personnage, mais à la fois on gagne en perception puisque des mouvements d'une caméra, qui plonge presque à l'intérieur des autres protagonistes, nous permettent de pousser plus loin l'analyse que l'on peut faire d'eux. Je déplore peut-être qu'on ait l'impression de rester en huis-clos car les décors sont minimalistes et récurrents, mais c'est à l'échelle des complots et trahisons, dirons-nous, et cela nous permet de rester dans une dimension plus intimiste.

J'ai grandement apprécié que le ton soit frais et finalement très contemporain dans le traitement des rapports entre les personnages, je pense notamment à la relation très intéressante qui lie Cromwell au cardinal de Wolsey. En se focalisant sur Thomas Cromwell, Hilary Mantel confère une humanité certaine à son récit, c'est un outsider qui arrive peu à peu à s'immiscer dans les hautes sphères grâce à son intelligence. Si le récit est loin d'être larmoyant, la pudeur du personnage lorsqu'il évoque sa vie personnelle, son enfance ou la mort de sa femme, est touchante.

Un livre à lire, donc, pour le plaisir de revenir sur les trahisons à l'époque des Tudors en adoptant un point de vue frais concernant, du moins dans ce premier tome, l'affaire du divorce d'Henry VIII avec Catherine qui va conduire à un bouleversement des rapports entre la monarchie et la papauté.

PS : Chapeau bas au traducteur pour avoir su retranscrire la saveur du récit, ce qui n'était pas une mince affaire compte tenu de la particularité du point de vue.
Lien : http://truebloodaddict.net/2..
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Cette histoire, certes, a été racontée de mille manières possibles ; à la fois à travers d'autres interprétations littéraires et adaptations au petit et au grand écran comme la célèbre série télévisée "Les Tudors" avec Jonathan Rhys-Meyer dans le rôle d'Henri VIII, d'il n'y a pas si longtemps et même l'adaptation de cette triologie ,la série woolf hall" Dès lors, qu'apporte ce livre publié en 2009 à tout ce qui a déjà été fait sur la même scène ?
C'est un roman historique, certes, mais cela ne doit pas détourner notre attention de l'essentiel. Ni l'influence d'Anne Boleyn sur Henri VIII, ni la personnalité inconstante du roi d'Angleterre ne doivent primer sur ce qui est au coeur de l'histoire : l'ascension implacable de Thomas Cromwell au pouvoir. Ce qui me fascine le plus dans le style de l'écrivaine anglaise, c'est la manière dont elle crée le personnage de Cromwell. Elle l'esquisse en utilisant des anecdotes de sa vie, des commentaires du reste des personnages et même en utilisant le propre monologue intérieur du politicien. Sa personnalité complexe grandit, s'élargit, surmonte la chute de son protecteur, le cardinal Wolsey, qui le laisse un instant dans une apparente vulnérabilité. A partir de ce moment, les événements se sont déroulés avec une apparente facilité, le roi Henri devenant de plus en plus dépendant de Cromwell, encore plus qu'il ne semble l'être d'Anne Boleyn. le style de Mantel n'est pas facile à suivre avec ses flashbacks continuels sur la vie de Cromwell, sur son enfance, sur sa jeunesse en Italie. Sa relation avec son fils Grégoire est très intéressante, dans laquelle il y a un mélange de déception et en même temps le soulagement du père qui voit que son fils choisit une vie moins implacable, moins violente.
C'est un roman intimiste en réalité : L'intimité du minimaliste qui, paradoxalement, contrôle le monde, le destin des peuples et des hommes. Malgré tout ça ce roman historique appartient à ce qu'on appelle "le nouveau roman historique" Littérature complexe à n'en plus pouvoir. Pas d'histoire fictive parallèle. Quelques personnages fictifs qui se connectent avec les personnages historiques et rendent la lecture moins aride. Les dialogues sont déroutants, car ils mélangent les pensées des personnage avec leur paroles ; Enfin de compte on et jamais bien de ce qui est dit et de ce qui est pensée . Souvent même on a l'impression que ce n'est pas le même personnage qui démarre et finie une phrase ou une pensée. Il y a une multitude de personnages pas vraiment nécessaires (comme dans la vie en fait) dans l'histoire qui rendent la lecture encore plus fastidieuse. Les ressources littéraires du nouveau roman historique sont bien là mais ce qui échoue, c'est la manière de les exprimer. C'est une littérature linguistiquement complexe dans laquelle le lecteur se perd. Un style très particulier donc et qui personnellement ne me plaît pas.
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Un bilan très mitigé pour ce premier tome d'une trilogie qui s'attaque à l'histoire de Thomas Cromwell, conseiller du roi Henry VIII. Si l'intérêt historique est indéniable et qu'il est évident sur le sujet a été fouillé méticuleusement, j'avoue avoir eu beaucoup de mal à finir ce roman et pourtant, c'est une période de l'histoire anglaise qui m'a toujours fascinée. Les choix de l'auteure en matière de narration m'ont beaucoup gênée car, dans ce cas en particulier, j'ai trouvé que le style indirect libre, combiné à la multitude de personnages, rend certains passages ambigus. de plus, le flot continu des pensées de Cromwell est parfois indigeste et, à mon sens, dessert l'histoire. Un récit en langue anglaise au présent me pose toujours problème et ce roman ne fait pas exception. En effet, l'utilisation de ce temps, s'il donne en général l'impression au lecteur de "coller" en quelque sorte au narrateur, m'a rendu la lecture du texte plus fastidieuse encore, me donnant l'impression de me noyer dans une logorrhée interminable.
Si je ne peux que reconnaitre les talents d'historienne de l'auteure, je ne me lancerai pas dans la lecture des second et troisième tomes.
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Avec le conseiller, Hilary Mantel raconte une histoire romancée du point de vue de Thomas Cromwell. On suit son ascension politique, ses manoeuvres stratégiques et sa vie à la cour du roi Henry VIII. On découvre un personnage secret, complexe et on se retrouve très vite embarqué dans l'histoire (ou dans l'Histoire). On plonge dans une Angleterre troublée. On suit les petites trahisons et intrigues qui se jouent à la cour du roi dans un contexte où chaque courtisan risque sa tête. Dans l'ombre des Tudors est suivi de deux autres tomes : le pouvoir et La disgrâce. le pouvoir traite de la disgrâce d'Anne Boleyn et de l'ascension de Jane Seymour tandis que La disgrâce se déroule lors des dernières années de la vie de Thomas Cromwell.
Petit bémol, le livre est très long. j'ai fini par me lasser à la fin et je n'ai pas acheté la suite.
Lien : http://www.marguerite-et-tro..
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Malheureusement, je n'ai pas été réellement emballée dans ma lecture. Ce livre a eu quelques prix littéraires, donc je m'attendais à ce que la plume soit particulière… mais pas à ce point-là. Et c'est ce qui m'a principalement bloqué. J'ai mis quasiment 15 jours à lire ce livre car tout simplement je n'arrivais pas à rentrer totalement dans l'histoire. Pourtant c'est une histoire que je connais et qui me passionne… Mais j'ai trouvé ici que le style de l'auteur desservait l'histoire en ne la traitant pas de manière suffisamment précise.

En fait, en ouvrant ce roman, je m'attendais à découvrir l'histoire des Tudors du point de vue de Thomas Cromwell, qui est un personnage qui me fascine beaucoup. Or, je me suis retrouvée à lire l'enfance et l'ascension de Thomas Cromwell, dont les Tudors sont évidemment les personnages secondaires. Et c'est cela qui m'a gênée, car de ce fait les faits historiques ne sont pas retranscrits de manière très précise. Ce sont donc mes attentes qui ont été déçues…

Et c'est un autre défaut du roman, selon moi : la multitude de personnages. Si vous ne connaissez pas un minimum l'histoire d'Angleterre au temps des Tudors, je vous déconseille de vous aventurer dans ce livre car il ne vous apprendra pas énormément de choses. Entre les conseillers, les contes, les ducs, les rois, les dames de compagnie, les avocats, les enfants, je me suis parfois demandé avec qui j'étais dans le livre. Tout cela relève d'un travail de fourmi de la part de l'auteure, qui est très bien renseignée sur les fonctions de cette époque et le mode de fonctionnement de la Cour, mais on s'y perd un peu si on ne connait pas un minimum les noms les plus importants de l'époque.

J'ai également trouvé que le roman n'était pas suffisamment aéré. Exemple tout simple, il est arrivé qu'un dialogue se termine et que la ligne d'en-dessous, mais vraiment juste en-dessous (sans saut de ligne) on se retrouve à un autre endroit une semaine plus tard. Sans qu'on nous le dise de manière claire… J'étais parfois un peu confuse dans ma lecture – et ajoutez à ça mon état de fatigue actuel, et c'est perdant, forcément !
Par ailleurs, certains dialogues étaient parfois difficiles à suivre : des conversation à trois ou quatre protagonistes sans que le nom du personnage qui parle soit indiqué à côté de la ligne de dialogue par exemple… Ou des dialogues du type : « Il me dit tel chose, et je lui répondis telle chose, ce à quoi il répliqua telle dernière chose. » Assez bizarre…

J'ai trouvé par ailleurs que le récit n'avait pas d'enjeu. Bon, je sais, vous allez dire que je chipote, que c'est un roman inspiré d'une vie, etc. Mais alors, quid de la couverture ??? Je ne sais pas vous, mais moi elle me promet du sang, un petit côté thriller… Et bien non en fait ! On suit l'ascension du personnage, les quelques intrigues et les relations cordiales avec les ambassadeurs et autres membres de l'aristocratie britannique, et c'est tout. Sauf si l'on considère que les faits historiques sont les enjeux de l'histoire, n'en attendez pas d'autres il n'y en a pas !

La lecture des 500 premières pages (sur 810 au total) a été réellement laborieuse… Après 500 pages, dès que Cromwell est nommé conseiller, le récit s'accélère et on rentre dans le vif du sujet : les luttes de pouvoir. C'est le réel intérêt du livre : voir de quelle manière un simple film de forgeron est devenu premier conseiller du roi à une époque où les privilèges de l'aristocratie menaient le pays. Thomas Cromwell est un vrai personnage de roman, charismatique, plein d'esprit, assez perfide en un sens, et il est le miroir de toute la Cour d'Angleterre. Sans ce personnage au coeur du récit, je pense que j'aurais abandonné le livre.

Au final, j'ai tout de même apprécié cette lecture de par son sujet et son personnage principal, même si je n'ai pas accroché au style de l'auteur. Peut-être ai-je lu trop de livres sur cette période ces trois derniers mois… En tout cas, je pense lire le tome 2 l'année prochaine, tout doucement et sans me presser, qui traitera là de la chute de la reine Anne Boleyn, ce qui devrait donc être très intéressant.

14/20
Lien : https://matoutepetiteculture..
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J'avais entendu parler de ce livre comme d'un chef d'oeuvre et j'avoue que je n'ai pas été déçue. C'est du grand roman historique, il n'y a pas de doute.
Pourtant, le passage continuel entre le discours direct et indirect m'a un peu gênée, ce qui explique que ma note ne soit pas plus élevée. de plus, j'ai eu un peu de mal à m'y retrouver avec tous ces personnages: l'emploi très fréquent des pronoms personnels fait que j'avais parfois du mal à suivre. Donc à un moment donné, c'est vrai que j'ai dû me motiver pour continuer.
Encouragez-vous donc, si vous vous retrouvez dans cette même situation, car cet ouvrage en vaut réellement la peine!
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Ce grand roman historique retrace une période très importante dans l'histoire de l'Angleterre de 1527 à 1535.

Henri VIII est devenu roi en 1509 à la mort de son père. Arthur, son frère aîné , est décédé en 1502 après 20 semaines de mariage avec Catherine d'Aragon. En 1509 il épouse la veuve de son frère.
Après plusieurs années de mariage, Henri VIII décide de faire annuler son mariage afin d'épouser Anne Boleyn. Cette décision est à l'origine de la création de l'Église anglicane indépendante de Rome. Henri VII devient le chef suprême de l'Église en Angleterre.

C'est donc dans ce contexte historique qu' Hilary Mantel situe le 1er tome de sa trilogie (à ce sujet le 3eme tome est-il paru en français ?). le personnage principal n'est pas Henri VIII mais Thomas Cromwel (je crois que je ne suis pas la seule à avoir confondu au début Thomas avec Olivier : merci wikipedia !).

Thomas d'origine très modeste (père forgeron) après des séjours instructifs à l'étranger revient en Angleterre avec la qualité d'avocat. Après avoir exercé auprès du cardinal Wolsey, il deviendra de plus en plus proche du roi jusqu'à devenir "chef ministre" et jouera un rôle important dans la Réforme.
Ses vies, privée légèrement romancée faute d'archives et publique plutôt documentée, nous sont racontées dans ce gros roman. Nous y rencontrons de nombreux personnages historiques : Henri VIII ses femmes, maitresses, enfants, ses partisans dont Cromwel, ses adversaires comme Tomas More. Difficile de les citer tous.
Honnêtement d'Henri VIII, en dehors de son coté Barbe Bleue, je ne connaissais pas grand chose. Ce roman m'a instruite sur cette période importante pour l'Angleterre. J'ai ainsi appris que son projet d'épouser Anne Boleyn était une affaire politique et religieuses non seulement en Angleterre mais également dans l' ensemble de l'Europe du 16eme siècle. Ont été concernés non seulement le pape Clément VII, qui refusait d'annuler le premier mariage, mais également Charles Quint et François 1er.

J'avoue qu'au cours de cette lecture j'ai parfois perdu le fil du roman compte tenu des nombreux événements et personnages dont l'appellation change parfois (prénom, nom, titre....). En revanche je n'ai pas été déroutée par le style de H. Mantel.
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Après avoir lu le deuxième tome de cette série (vous connaissez ma manie de tout prendre dans le désordre), j'avais très envie de découvrir le début des aventures de Thomas Cromwell. Ce roman mélange la période allant de 1527 à 1535 à des flash-backs sur la vie de Thomas Cromwell. Contrairement à ce qui se passe dans le deuxième tome, il n'a pas encore pris l'importance qu'il aura auprès du roi Henry qui lui, est lassé de sa femme Catherine qui ne sait pas lui faire un hériter (ou le garder car des enfants garçons sont tout de même nés). Il a donc commencé à courtiser Anne Boleyn mais nous ne suivons ça que de loin puisque c'est à travers les yeux de Thomas que nous est racontée l'histoire, même s'il n'en est pas le narrateur, et que lui n'a pas encore un accès direct aux intrigues de la cour.

J'ai moins aimé ce tome que le deuxième, très probablement parce que Thomas Cromwell n'est pas encore au coeur de l'intrigue. Ce que j'ai préféré, c'est tout ce qui a trait à sa famille. En épousant sa femme, il a passé une sorte de contrat mais cela ne l'a pas empêché d'avoir beaucoup d'affection pour elle.

Lizzie wanted children; he wanted a wife with city contacts and some money behind them.

Le thème du mariage arrangé est d'ailleurs très présent puisqu'il l'est à travers Cromwell, le roi mais aussi Mary Boleyn qui est à la recherche d'un mari qui pourrait devenir le père de ses enfants, nés de son premier mariage.

Même si je préfère quand Cromwell est à la cour, il est intéressant de voir dans ce tome la mort qui rôde partout, mais tout de même un peu plus en dehors que la cour qu'en dedans.

It's not the hand of God kills our children. It's disease and hunger and war, rat bites and bad air...

Ce roman est aussi une critique de l'Eglise, présenté comme le lieu de l'hypocrisie et même de la falsification puisqu'elle est soupçonnée d'avoir réécrit L Histoire comme ça l'arrangeait, étant la détentrice du savoir.

Lien : http://vallit.canalblog.com/..
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