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Citations sur La Route de Chlifa (13)

c'est l'histoire d'un petit obsedée sexuel qui tombe amoureux d'une fille parce qu'il voit son sein mais après il la trompe avec sa soeur quand il lui touche sein avant que la chèvre explose
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Je ne sais pas encore pourquoi on vit. Je ne le saurai peut-être jamais. Mais il me semble qu'on a pas le droit de se laisser mourir. Ne serait-ce que par simple respect pour tous ceux qui meurent et qui auraient voulu vivre.
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Quelques heures plus tard, pendant qu’ils attendent le moment propice pour franchir la Ligne verte, Karim se demande pourquoi, en dépit du bon sens, il a décidé d’accompagner Maha dans sa folle équipée.

Parce qu’il a senti le besoin de protéger la sœur et le frère de Nada ? Par réflexe de chevalier sans peur et sans reproche ? C’est peut-être l’explication la plus simple, mais elle ne le satisfait qu’à moitié.

À son grand étonnement, il se rend soudain compte que ce qui l’a décidé à partir, c’est justement le côté insensé de cette expédition par-delà le mont Liban. Une expédition qui est aux antipodes de la vie qu’il mène depuis des mois. Le contraire de la peur, des cachettes souterraines, de l’inaction. Brusquement, Karim a eu le goût de vivre, pas de végéter.

Et il n’y a plus personne pour le retenir à Beyrouth.

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Bonjour , jaimerais sdire ma critique , comme le dit si bien chuck norisse , lexplosion de la chevre est tres illarente , mais se livre est tres grossier !!!
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C'est le 8 janvier que Karim a fait irruption dans notre vie. Le 8 janvier que tout s'est mis en branle.
À vrai dire, personne n'avait remarqué le nouveau avant que Nancy mette le pied dans la classe et s'exclame, avec sa discrétion habituelle:
«Wow! C'est-tu notre cadeau de Noël, ça?»
Tous les regards ont convergé vers «ça», qui était un gars assis dans la dernière rangée, presque au fond de la classe. Puis, dans un silence inhabituel et sous vingt-huit paires d'yeux particulièrement attentifs, Nancy s'est lancée à l'assaut du nouveau.
«Comment tu t'appelles?
— Karim.
— C'est un nom arabe, ça?
— Oui.
— T'es arabe?
— Oui.
— Tu viens d'où?
— Du Liban.
— T'es pas trop trop jasant, hein?»
Nancy a attendu une réponse qui n'est pas venue. Puis, comme elle s'apprêtait à poser une autre question, la voix de Robert s'est fait entendre. Robert, c'est le prof de français, qui venait d'entrer sans qu'on s'en rende compte.
«Évidemment, tout le monde ne peut pas être aussi jasant que Nancy Chartrand. Pas vrai, Nancy?»
Celle-ci a haussé les épaules d'un air désinvolte.
«C'est toi qui dis toujours qu'il faut accueillir les nouveaux avec gentillesse, les intégrer au groupe et tout. Tu devrais être content que je me montre accueillante.
— Content peut-être, étonné sûrement. Il me semble que tu ne manifestes pas toujours autant d'empressement à accueillir les nouveaux.
— Peut-être pas, mais il est beau, lui, au moins...»
Toutes les filles ont approuvé bruyamment. Les gars, eux, ont pris un air dégoûté. «Un ostie d'Arabe, a grommelé Dave. Si c'est ça qui l'excite...»
«Bon, a poursuivi Robert, maintenant qu'on connaît les goûts de Nancy en matière d'hommes, on va peut-être pouvoir commencer le cours. Mais avant, je voudrais souhaiter la bienvenue à Karim. Karim Nakad, c'est bien ça? a-t-il précisé en consultant un petit papier jaune.
— Oui, Monsieur, a répondu celui-ci en se levant, ce qui lui a attiré des rires méprisants de la part de Dave et sa gang.
— Un conseil, a précisé Robert. Reste assis quand tu réponds et appelle-moi Robert. Ça va éviter que certains individus se mettent chaque fois à glousser comme un troupeau de poules émoustillées. O.K.?»
Le nouveau s'est contenté de hocher la tête avant de se rasseoir. Nancy avait raison. Il n'était pas très très jasant.
«Parfait. À présent, si nous reprenions cette règle du participe passé des verbes essentiellement pronominaux que vous avez eu tant de mal à comprendre avant Noël et que vous avez sûrement étudiée tous les jours durant les vacances.
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Toute patience trouve sa récompense.
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un livre qui traverse l'âme...
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Une histoire unique et inspirée
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C'est le 8 janvier que Karim a fait irruption dans notre vie. Le 8 janvier que tout s'est mis en branle.



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Pour ça aussi Nancy avait raison : ce
gars-là était beau. Tellement beau qu’il
déton nait même un peu dans la classe. Disons
qu’il aurait semblé plus à sa place sur fond de
sable et de ciel, chevauchant un chameau
superbement dédaigneux ou un fier cour sier
lancé au galop entre les dunes. Ne me
deman dez surtout pas s’il y a des déserts ou
des chameaux au Liban, je n’en sais rien.
Mais ça donne une idée de l’allure de ce
gars-là, genre prince du désert, sauvage et
farouche. Grand, mince, les traits fins, la
peau mate, les cheveux noirs et broussailleux,
le regard perçant. L’image même du héros
sans peur et sans reproche qu’on aimerait
bien voir voler à notre secours en cas de feu,
de tremblement de terre… ou d’examen de
chimie.
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