AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,43

sur 64 notes
5
6 avis
4
19 avis
3
14 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai choisi ce roman car les polars nordiques me plaisent énormément…

L'intrigue démarre de manière intéressante avec la découverte d'une jeune femme assassinée dans un cimetière. Elle a bien été remarquée tôt le matin par une femme d'un certain âge qui promenait son chien, mais elle a pris la fuite car ledit chien avait commencé à manger un doigt de la main de la victime…

La nouvelle du meurtre arrive sur la Hotline d'un journal sur laquelle intervient Annika, journaliste stagiaire. La victime que l'on finira par identifier s'appelle Josefin et travaillait comme strip-teaseuse dans une boîte de nuit tendance porno Studio Sex (fine allusion à une émission de télévision Studio six aux pratiques de caniveaux…

L'enquête nous entraîne, nous perd même parfois, sur des pistes variées : un homme politique, qui reçoit dans un appartement caché des jeunes femmes, limites prostituées, avec un détour intéressant vers des comportements de ministres et d'un parti politique pur le moins douteux, puis on fait un détour vers le milieu de la pornographie alors que l'auteure nous distille des fragments du journal intime d'une jeune femme victime de maltraitance de la part de son compagnon dont on apprendra l'identité bien plus tard.

En fait, ce roman est très surprenant. Tout d'abord, c'est une jeune journaliste stagiaire Annika Bengtzon, qui semble mener l'enquête alors que le commissaire apparaît seulement de temps en temps. de plus les protagonistes sont plutôt étranges.

Liza Marklund décrit sans complaisance le milieu du journalisme, à sensation ou non, où tous les coups sont bons pour obtenir un scoop, puis une embauche lorsqu'on est stagiaire comme Annika, les dérives de la télévision qui font tout sauf de l'information et privilégie le sensationnel, quitte à mentir et salir les réputations…

L'auteure évoque aussi la maltraitance dont sont victimes les femmes manipulées par des pervers.

J'ai apprécié le côté scandale politique, avec le gouvernement social-démocrate qui a fiché tous les citoyens pour pouvoir faire pression et se maintenir au pouvoir…

Ce roman permet de passer un bon moment, mais je reste sur ma faim, n'est pas Arnaldur Indridason (ou Henning Mankell) qui veut, malgré ce que prétend la couverture…

Un grand merci à NetGalley et aux éditions HLAB qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteure.

#Studio6uneEnquêteDannikaBengtzon #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
Commenter  J’apprécie          260
Autre roman découvert grâce aux éditions HLAB, via net galley : Studio 6, tome 1 de la série Annika Bengtzon de Lisa Marklund.
Annika Bengtzon est chargée de répondre aux appels de la Hot Line de la Presse du soir, quotidien suédois à sensation où elle est stagiaire.
Un jour, un anonyme lui livre un scoop : le corps nu d'une jeune fille a été découvert dans un cimetière de Stockholm. Elle a visiblement été étranglée. C'est le meurtre de l'été !
La jeune femme va mener l'enquête pour découvrir qui elle est, qui l'a tué, car pour devenir journaliste il lui faut faire ses preuves...
Studio 6 est donc le premier tome de la série Annika Bengtzon. Nous ne suivons donc pas une inspectrice de police mais une journaliste débutante, ce qui est très intéressant. L'angle choisit par l'auteure change un peu.
Je ne suis pas une grande amatrice de la littérature suédoise, je me perds souvent avec les noms des villes, des gens mais là ma fois je dois avouer que ça a été.
Annika nous emmène sur les traces dune jeune stripteaseuse, dans un club plutôt mal famé. Par moment j'ai trouvé l'ambiance assez glauque. On va également découvrir un ministre impliqué dans une sombre affaire.. C'est parfois un peu compliqué, un peu trop alambiqué pour moi. Je me suis perdue ici et là.
J'ai eu quelques difficultés à apprécier le personnage d'Annika. Il lui arrive quelque chose qui m'a mis assez mal à l'aise.
Et la fin m'a un peu dérangée car ça manque d'empathie, nous découvrons ce qui arrive aux différents personnages par communiqués de presse. C'est assez impersonnel.
L'ensemble n'est pas désagréable à lire, toutefois je ne suis pas totalement convaincue par ma lecture.
Vu mon avis mitigé, je mets trois étoiles et demie, je ne suis pas certaine de découvrir les autres tomes de cette série.
Commenter  J’apprécie          140
Ce roman est paru une première fois en 2011 sous le titre assez racoleur de « Studio sex » dont il est fait allusion dans le roman. le nouveau titre est plus sobre et permet certainement d'élargir un lectorat qui aurait pu être rebuté lors de la première parution.
On suit la première enquête d'une jeune stagiaire dans un journal « La Presse du soir » qui va s'attacher d'abord à l'assassinat d'une jeune fille de 19 ans, stripteaseuse dans une boîte le « Studio sex ». Mais ces recherches vont l'orienter étrangement vers un ministre et un scandale politique. Rien n'est épargné à cette jeune femme : les difficultés à mener l'enquête, la pression exercée par le journal, les manipulations de certains de ses collègues sans compter un petit-ami exigeant qui ne supporte pas qu'elle vive sans lui.
Je dois dire que j'ai été déroutée par ce roman car l'enquête initiale (à savoir le meurtre) passe au second plan pour privilégier le complot politique. Mais ni l'un ni l'autre n'ont de résolution franche et la fin m'a surprise par la violence qui s'abat soudain sur l'héroïne. Et je suis d'autant plus surprise que le personnage d'Anika est repris dans d'autres tomes. Aussi ai-je apprécié ce roman sans être totalement emballée.
Je remercie en tout cas les Editions Hachette et Netgalley de m'avoir permis de découvrir cette auteure.
Commenter  J’apprécie          130
#Studio6uneEnquêteDannikaBengtzon #NetGalleyFrance

« Studio 6 » est un roman à l'intrigue soutenue par la plume de Liza MARKLUND, autrice suédoise qui sait se rendre maître d'une intrigue, d'un rythme et d'un questionnement éthique que la société devrait s'imposer plus souvent.
Annika Bengtzon, journaliste stagiaire au quotidien « La presse du soir » a pour elle la fougue de la jeunesse, la soif de vérité du débutant et la méconnaissance des complaisances de service des salles de rédaction. Elle heurte donc, crée des inimitiés et des jalousies, jalonne son parcours de coups d'éclat, de coups de génie et de coups bas qu'elle donne et reçoit. Cette fougue emporte le lecteur dans une histoire de meurtre sexuel et sordide, impliquant un premier ministre et, derrière lui, tout le parti et ses magouilles.
Il y a, dans cette enquête d'une journaliste d'investigation encore stagiaire, une belle claque donnée à quelques timoniers des agissements sombres et nauséeux de notre Société ! Une belle réussite.
Le livre, de plus, se suffit à lui-même et la compréhension des personnages ne nécessite pas d'avoir lu les enquêtes dans l'ordre chronologique de leur écriture d'origine. Cela étant dit, le lecteur aura, plus que probablement envie de découvrir les autres écrits de Liza MARKLUND… et il n'aura pas à la regretter ! Bonne lecture à tous et merci à NetGalley et aux éditions HLAB
Commenter  J’apprécie          130
Par une journée d'été inhabituellement chaude pour la Suède, le corps nu d'une jeune fille de 19 ans est retrouvé dans le cimetière juif du parc de Kronoberg à Stockholm. C'est celui d'une strip-teaseuse qui travaillait dans le club porno "Studio 6", fréquenté entre autres par des hommes du show-biz et des politiciens. L'un d'entre eux, le ministre du commerce extérieur, Christer Lundgren, habite non loin du lieu du crime...

Annika Bengszon est stagiaire au journal "La presse du soir" et bien décidée à devenir une brillante journaliste. Pleine de l'enthousiasme de la jeunesse et frappée par le destin de cette jeune femme, Josefin, qui voulait également devenir journaliste, si parallèle au sien aussi dans sa vie privée, elle se lance dans une enquête mêlant naïveté, souci de la vérité et inconscience, débusquant hypocrisies et corruptions dans le monde de la politique comme dans celui des médias...ce qui lui coûtera très cher.

N'hésitant pas à payer de sa personne, même au delà de ses convictions, courageuse, opiniâtre, ayant elle aussi à se débarrasser de ses démons, elle apportera assez d'éléments pour résoudre cette affaire, retrouvera l'estime d'elle-même. Et échappera à sa terrible destinée...

Un très bon thriller scandinave, original par sa forme, qui nous tient en haleine jusqu'au bout. Avec une pointe de féminisme qui ne gâte rien...
Commenter  J’apprécie          120
Dans cette série, j'avais lu et apprécié il y a longtemps Deadline, comme les premiers volumes de la série ont été réédités en début d'année par les Editions HLAB, j'ai profité de découvrir les premières aventures d'Annika Bengtzon. Un grand merci à HLAB et à Netgalley pour ce partenariat très apprécié.

Annika est une jeune journaliste de province qui fait un intérim dans un tabloïd de Stockholm. Les places sont cher, car un seul intérimaire se verra offrir un stage de six mois à la fin de l'été. Sur la hotline du journal, surnommée Canal Frissons, Annika apprend qu'un meurtre a eu lieu dans un vieux cimetière juif abandonné. Elle s'y précipite avec un photographe et arrive avant la police. La victime est une jeune fille qui semble avoir été étranglée.

Du coup Annika enquête sur Josefin, la police est peu présente et la jeune journaliste semble mener l'enquête toute seule. La jeune victime était étudiante, mais surtout travaillait dans un club porno. Un ministre qui habite tout près du lieu du crime est soupçonné d'en être l'auteur, sur fond de campagne électorale et du scandale du fichage des Suédois par le parti social-démocrate, tandis qu'Annika est persuadée que le coupable est Joachim, propriétaire du club porno et petit ami violent de Josefin.

L'enquête est très intéressante, mais la fin très glauque et pas à la hauteur du reste du livre, comme c'est malheureusement souvent le cas dans les thrillers. le titre est un jeu de mot sur « sex » en anglais, à la fois six et sexe. le club porte le même nom qu'une célèbre émission de radio suédoise. Dans ce livre, l'auteur dénonce à la fois l'industrie du sexe, dont les femmes sont souvent des victimes consentantes, comme Patricia et Josefin, et la presse de caniveau où les journalistes ne reculent devant rien pour décrocher un scoop et n'hésitent pas à manipuler leurs collègues et le public. L'ambiance au journal est à la concurrence sans merci et aux pratiques discutables. Annika réfléchit souvent aux aspects éthiques de son métier et elle est plus attirée par le journalisme d'investigation que par la presse à scandales, même si elle est prête à en passer par là pour percer dans ce milieu hostile. le mélange de politique, de pornographie et de presse à scandales est explosif et intéressant. Ce thriller très prenant est tout de même un peu gâché par son dénouement peu vraisemblable sur le plan professionnel et très glauque sur le plan privé pour Annika. C'est toutefois un livre agréable à lire et je vais prochainement découvrir trois autres aventures de cette héroïne attachante.
#Studio6uneEnquêteDannikaBengtzon #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
Commenter  J’apprécie          110
Ce ne fut pas une lecture plaisante, autant vous le dire tout de suite.
Vous me direz "pas de chance".
Ce fut une lecture poisseuse mais intéressante : j'estime toujours que ce n'est pas parce que je n'ai pas aimé un livre qu'il n'est pas bon !
Nous sommes en Suède, à la rédaction d'un journal, et permettez-moi de vous dire que ce journal n'est pas très bien organisé : il s'agit de presse à sensation, non d'un journal d'investigation, avec enquête sérieuse à la clef. J'ai presque envie de dire : "regardez un peu cette ligne où n'importe quel individu un peu zinzin peut appeler et dire ce qu'il a envie de dire, avec, parfois, une petite chance que ce soit publié dans le journal." Où va-t-on ? Droit dans le sensationnalisme et le mur. Je vous rassure : les émissions dites "sérieuses", les concurrents de la presse écrite qu'il s'agit de battre ne sont pas épargnés. La chasse au scoop est leur sport favori, le tout est de se demander quel prix ils sont prêts à payer pour cela, dans tous les sens du terme. Quand aux dites enquêtes "de fond", il faut se demander là aussi quel moyen l'on met pour les faire, et quelle complicité permet de les mener à bien. Dernier élément : les stagiaires. OU la chair fraîche pour alimenter la rédaction à peu de frais. Laissons-les se battre entre eux, au sens figuré, pour obtenir une place, pour placer le bon article. Laissons-les surtout faire ce qu'ils veulent, tant qu'ils publient, et s'ils commettent des erreurs, et bien lavons-nous en les mains. Personne pour les chapeauter, personne pour s'assurer qu'un minimum d'éthique est assuré.
On en oublierait presque qu'un meurtre a été commis. J'ai failli ajouter "un meurtre atroce" mais tous les meurtres, si l'on y réfléchit un peu, sont atroces. le regard change selon les circonstances - selon aussi la manière dont la victime est présentée. La presse ou le pouvoir de manipuler. La justice, ou l'impossibilité d'enquêter ou de coincer le meurtrier. Oui, à l'heure où les séries télévisées nous gavent d'enquêtes résolues en 52 minutes, il est bon de rappeler que les policiers se retrouvent pieds et poings liés quand ils manquent de preuves et quand le meurtrier a un alibi solide.
A une époque où l'on a encore une forte tendance à montrer certaines victimes comme des coupables, surtout si elles sont des jeunes filles qui ne suivent pas la voie tracée par leurs parents, ce roman montre à quel point il est facile, sur un terme plus ou moins long, d'enfermer une jeune femme dans une prison mentale, de lui faire croire qu'elle ne vaut rien et que seule, elle ne s'en sortira pas. Les extraits du journal intime d'une des victimes sont là pour nous le rappeler, de l'intérieur.
Alors oui, je n'ai pas aimé ce roman, il ne correspond pas à mes goûts. Il parle néanmoins de sujets forts, qu'il est toujours intéressant de voir mis en lumière.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          92
Le corps nu d'une jeune fille est retrouvé dans un cimetière. Une jeune journaliste intérimaire, Annika Bengtzon est sur le coup. L'intrigue, qui a tué la jeune strip-teaseuse de dix-neuf ans est aussi prenante que l'évolution d'Annika qui est journaliste intérimaire dans un tabloïd et qui rêve de supprimer le mot intérimaire de sa fonction.
Suivre l'enquête de l'intérieur du journal La Presse du Soir, constitue le point fort de l'oeuvre. Un tabloïd, des journalistes, des journalistes intérimaires, un rédacteur en chef et pas de la place pour tout le monde. Déterminée et courageuse, Annika sait provoquer la chance et obtenir des informations. Même si parfois, elle va trop loin.
L'auteur multiplie les fausses pistes et les rebondissements, et on tourne les pages pour savoir la suite, sans déception parce que Liza Marklund nous ménage quelques surprises.
Un bon roman policier, facile à lire et prenant.
Commenter  J’apprécie          70
Il faut d'abord préciser que l'ouvrage original a été publié en 1999, il y a donc vingt ans. Il s'agit du deuxième tome (mais chronologiquement, c'est le premier pour les enquêtes) d'une série en dix volumes, concernant Annika Bengtzon. le premier est «Deadline», paru en 1998 et en France en 2002[1].
Le sixième de la série est « le Testament de Nobel », dont vous pouvez lire ici ma chronique. Ma première remarque concerne le titre : pourquoi l'éditeur n'a-t-il pas gardé le titre original (« Studio Sex ») ? Cela correspond davantage au contenu de l'ouvrage.

Il ne faut pas s'attendre à beaucoup d'action, c'est assez plat à ce niveau.
[...]
Lire la suite sur:
Lien : https://www.aupresdeslivres...
Commenter  J’apprécie          50
Après quelques expériences désastreuses de lecture de thriller scandinaves, je me replonge doucement dans ce genre et cette lecture a été une vraie bouffée d'air.


Annika Bengtzon, journaliste de son état, fait ses armes pendant quelques semaines dans les locaux du prestigieux La presse du soir. Intérimaire stagiaire, elle est chargée de répondre à la Hot Line du journal. Rien de glorieux entre les illuminés, les monomaniaques, et les hystériques, les appels n'offrent rien de particulier et surtout d'intéressant. Mal an bon an, elle est tout de même très fière d'être ici à la capitale. Un seul coup de téléphone va changer la donne et la plongée au coeur d'une enquête qui se révèle ardue et dangereuse.


Le corps d'une jeune femme dénuée est retrouvé dans un cimetière de la capitale. Les hématomes marquent son corps, un de ses doigts a été sectionné, les yeux grands ouverts sur un ciel appesanti par la chaleur et des marques de strangulation. Annika assiste a sa première scène de crime et dire qu'elle est choquée est un euphémisme. Pourtant, elle a enregistré le moindre détail qu'il lui est apparu. Remise de ses émotions, elle plonge dans cette enquête avec une énergie effroyable. Telle une obsédée, elle va à la pêche aux informations, appelant différent protagonistes ou témoins, recoupant toutes les informations. Elle fait un travail formidable, peut-être trop même, et les retombées sont destructrices pour ce petit bout de femme.


Lisa Marklund m'a plongée dans l'univers du journalisme avec ces petits détails et ces personnages secondaires qui ont tous l'air de requins affamés. Une ambiance très suffocante et méprisante où les tensions augmentent au fil du temps. Une enquête avec de nombreux éléments à prendre en compte et qui prend une tournure plutôt inattendue. D'une intrigue initiale s'en rajoute une autre en parallèle qui celle ci s'oriente vers les grandes sphères de la politique suédoise. Lisa Marklund maîtrise avec une perfection innée tout ce petit monde. J'ai été très vite embarquée dans enquête. Elle a su me surprendre à de nombreux points mais surtout j'ai été subjuguée par la personnalité d'Annika Bengtzon. Une jeune femme qui a de la suite dans ses idées et qui est têtue, revêche, fonceuse et caractérielle. Mais sous cette apparence impressionnante, se cache une femme meurtrie et on ne le comprend qu'à la fin. J'ai beaucoup apprécié l'interaction entre l'inspecteur Q et Annika : une complicité évidente qui j'espère se prolonge par la suite.


J'ai vraiment été transportée par cette lecture : des intrigues, une atmosphère inquiétante, un personnage principal étonnant et une plume qui m'a accaparé dès le départ. Beaucoup de détails mais ils n'alourdissent pas le texte, bien au contraire. Je suis vraiment heureuse de mettre lancée dans cette lecture et un soulagement d'avoir pu la mener jusqu'au point final. MEURTRE EN PRIME TIME, une autre enquête d'Annika Bengtzon, a rejoint ma tablette, j'ai hâte d'avoir le temps de le lire et de voir ce qu'Annika nous réserve.


Lien : https://lesmisschocolatinebo..
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (144) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2877 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}