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Critique de unbrindesyboulette


L'amour, le vrai.

Les romans d'Agnès Martin Lugand sont tous des coups de coeur et maintenant, je ne sais plus lequel est mon préféré. « La Déraison » fait partie de ceux-là, de mes gros coups de coeur, tout comme « Les gens heureux lisent et boivent du café » et « La Datcha » ou comme « Une évidence ». Oui je ne sais pas choisir. Mais franchement, Agnès Martin Lugand sait me faire battre mon coeur trop fort, me faire couler des larmes, me faire lire son roman d'une traite mais sans en avoir envie car quand j'ai terminé de lire, j'en ai encore plus envie de découvrir encore et encore son histoire.

Avec « La Déraison », je fus envoûtée dès les premières pages. J'ai ressenti toute la puissance de l'histoire de Madeleine et de Joshua. La puissance d'une histoire d'amour forte, incroyable, majestueuse. Une histoire avortée mais une histoire qui doit reprendre, qui doit continuer. J'ai aussi ressenti la puissance du personnage de Madeleine. Une femme incroyable. Elle se sait condamner par la maladie et elle va être époustouflante dans ce combat qu'elle doit mener soutenue par ses proches. Tous vont faire tout leur possible pour que Madeleine et Joshua se retrouve dans ce lieu, leur lieu synonyme de leur amour.

J'avoue, je suis jalouse d'Agnès Martin Lugand. Jalouse de sa plume, de ses histoires, de ses mots, de son imagination, de sa puissance à emporter ses lecteurs.
« La Déraison », c'est beau. C'est une ode à la vie, à l'amour. C'est indéfinissable puissant. C'est joyeux et triste.

Bref, j'ai aimé lire « La Déraison ».
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