Je crois que tous les somnifères que l'on avale lorsqu'on est adulte, ce sont toutes les berceuses que l'on ne nous a pas chantées quand on était enfant.
(...) L'amour, c'est moi, la poésie c'est moi, la vulgarité c'est aussi moi, la littérature c'est moi, la musique c'est moi, l'humour c'est moi...
- La modestie c'est quelqu'un d'autre apparemment...
Alors je veux que l'on continue. Adieu. Ma réponse est "OUI".
Je crois que tous les somnifères que l'on avale lorsqu'on est adulte, ce sont les berceuses que l'on ne nous a pas chantées quand on était enfant.
Je crois que tous les somnifères que l'on avale lorsqu'on est adulte, ce sont toutes les berceuses que l'on ne nous a pas chantées quand on était enfant.
Alors quand elle s'est mise à pleurer, je lui ai dit que j'allais y réfléchir. Pas parce que j'allais y réfléchir, non, juste pour qu'elle s'arrête de pleurer. Une lâcheté de l'immédiat, de celles qui font encore plus de dégâts par la suite. Une lâcheté d'homme.
Ce que je veux te faire comprendre, c'est qu'il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent. Le bonheur n'est pas un projet. Sois-en bien conscient. Vis, et ne t'encombre pas l'esprit de questions inutiles.
Pour faire court, le destin est un synonyme de "réalité". Dire "c'était mon destin" revient à dire "ça m'est arrivé", tout le reste n'est que croyance ou superstition, c'est la même chose. Simplement vous voulez donner à cette réalité un sens particulier, un relief positif ou négatif. Vous parlez du destin pour des amours folles ou des décès tragiques, la plupart du temps. Mais jamais pour ce qui est anodin.
Ce que je veux te faire comprendre, c'est qu'il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent. Le bonheur n'est pas un projet.
On parle souvent d'un sixième sens : ce sixième sens, c'est le plaisir. Lui seul dirige les cinq autres : il s'en sert pour litre, les éteint pour exister, les ranime avant de mourir.