Prêcher l’intolérance ne mène nulle part.
- Plus que la peste, ce sont les gens qui me terrifient.
- C’est un martyr né. Vous seriez obligé de le tuer pour s’empêcher de se tuer lui-même.
- S’il est une chose que ne cesse de me sidérer, c’est le comportement totalement impitoyable dont nous, les Américains, sommes capables de faire preuve les uns envers les autres.
La peste est un fléau qui nivelle tout.
- Demain, nous nous efforcerons de prouver quel brave américain travailleur et intègre vous êtes. Nous mettrons aussi l’accent sur les privations dont vous avez souffert dans votre milieu d’origine, - et à quel point parvenir au sommet a été difficile.
- Les privations dont j’ai souffert ? Qu’est-ce que vous voulez dire par privations ?
- Vos parents ont dû travailler dur pour gagner leur vie, n’est-ce pas ? Voilà un exemple de privation.
- Vous n’êtes pas sans savoir que mon père était le président du groupe bancaire privé Glantz et Howell. Ce n’est pas tout à fait le genre de magasin de quartier minable que vous avez l’air de décrire.
- Nous tenterons de la faire croire et nous atténuerons cet aspect.
Les gens ont les politiciens qu’ils méritent.
Ce que racontent les journaux et la télé ne semble pas vraiment correspondre à la réalité.
- Vous êtes un scientifique, et qui plus est l’un des plus éminents, mais vous avez également un passé en demi-teinte.
- Parce que je me suis querellé avec ces grandes gueules de Princeton, et que j’ai dit aux gens de chez Dupont d’aller se faire foutre. C’est ça, un passé en demi-teinte ?
La peste ne fait pas de discrimination.