Par le fer et par le feu

c'est laite

En premier lieu, le roman se déroule à l'époque des grandes découvertes, dans les îles de Caraïbes. Kodibio, le prince du peuple Taïnos, fils d'Anakaona, se fait capturer par les conquistadors espagnols après que son village soit envahi. Les survivants du massacre, incluant lui et sa mère, sont amenés aux colonies espagnoles pour se faire vendre en tant qu'esclaves. Personne n'a voulu acheter ces derniers. La mère de Kodibio, Anacaona, reine du royaume de Xaragua, est alors exécutée. le frère Bartolomé de Las Casas, un religieux qui croit que les Indigènes méritent les mêmes droits que leurs confrères européens et que ceux-ci sont autre chose que des pièces. Une amitié naît entre le frère et le jeune Indien et Kodibio adopte le mode de vie et la religion européenne. Les années passe et Bartolomé et Kodibio partent, contre leur gré, pour une expédition dont le but est de conquérir Cuba et de convertir les indigènes des lieux. On assiste à une énorme cruauté de la part des conquistadors espagnols envers les Indigènes. On assiste après à une courte période de quiétude, avant que Kodibio, cherchant le sens de la vie et tanné de vivre une vie civilisée, retourne au royaume de Xaragua, ravagé par les conquistadors européens et se laisse perdre dans la forêt. Les personnages du roman Par le fer et par le feu ont fait partie d'une histoire mouvementée, cependant, on ne s'attache pas facilement à ceux-ci.

En deuxième lieu, comme mentionné auparavant, on ne s'attache pas facilement aux personnages du roman, certains, comme le capitaine Panfilo de Narvaez, étaient dégoutants. On aurait, en particulier de la difficulté à croire que des humains de telle cruauté auraient pu exister à ces temps quand le capitaine avait dit «Eh bien, nous les pendrons à ces deux branches par groupe de treize, afin d'honorer la mémoire de Notre Seigneur Jésus-Christ et de ses douze apôtres. Quant à leur chef, en souvenir de Judas, vous me le suspendrez seul, à cet arbre, là-bas, mais pas trop haut. Je veux que ses pieds touchent presque à terre pour qu'il paie longuement la mort de ma nina.»

En bref, il n'est pas à suggérer ce roman à un ami, car l'histoire, médiocre, manquait d'émotion ou de punch.

Critiques de Babelio

Tout d'abord, voici un court résumé du livre pas mal long à lire. Les Espagnols ont envahi le village d'un Indien nommé Kodibio. Ils ont pendu sa mère. Un Père Espagnol qui s'appelait Bartolomé a pris le jeune indien, Kodibio et l'élève comme si c'était son fils. Pour le reste du livre, Père Bartolomé et Kodibio essayent d'arrêter la maltraitance envers les Indiens. Vers la fin, Kodibio se jette à la forêt qui, abîme l'histoire. Passons au personnage du livre. Passons aux personnages.
Finalement, les personnages qui laissent totalement indifférents sont le Père Bartolomé qui essaye de sauver les Indiens mais ne réussit jamais et en plus, à la fin du livre, on nous dit que la population des gens qu'ils voulaient sauver sont tous morts. Alors, en vérité, l'auteur n'a pas su stimuler la curiosité du lecteur et celui-ci est définitivement resté sur son appétit.

Critiques de Babelio

Tout d'abord, voici un court résumé du livre pas mal long à lire. Les Espagnols ont envahi le village d'un Indien nommé Kodibio. Ils ont pendu sa mère. Un Père Espagnol qui s'appelait Bartolomé a pris le jeune indien, Kodibio et l'élève comme si c'était son fils. Pour le reste du livre, Père Bartolomé et Kodibio essayent d'arrêter la maltraitance envers les Indiens. Vers la fin, Kodibio se jette à la forêt qui, abîme l'histoire. Passons au personnage du livre. Passons aux personnages.
Finalement, les personnages qui laissent totalement indifférents sont le Père Bartolomé qui essaye de sauver les Indiens mais ne réussit jamais et en plus, à la fin du livre, on nous dit que la population des gens qu'ils voulaient sauver sont tous morts. Alors, en vérité, l'auteur n'a pas su stimuler la curiosité du lecteur et celui-ci est définitivement resté sur son appétit.

Un amérindien courageux et déterminé
Tout d'abord, disons que ce roman est bon. L'auteur, Daniel Mativat, représente très bien les difficultés que les Amérindiens ont subi lors de la période de la colonisation des Amériques, par le point de vue d'un personnage principal. Son nom est Kodobio. Grâce à lui, le lecteur peut comprendre les misères des Amérindiens, comme l'esclavage, les invasions, l'injustice et l'inégalité. Kodobio va avoir beaucoup d'aventures. Il a été sauvé d'une évasion, ensuite il a été abandonné pour un certain temps, il a été mis dans une mine ou il travaillait jour et nuit. Il a presque mourut d'une maladie. Quand Bartolomé a retrouvé Kodobio, qui avait échappé de la mine après qu'une femme dont il se rattachait beaucoup est décédée, il l'a ramené chez lui, ou il a tombé en amour avec une espagnole. Il est ensuite allé aux Amériques où il a regardé son peuple se faire massacré. Quand Kodobio est revenu il s'est presque fait tuer car il voulait marier Manuela, il a ensuite quitté Bartolomé pour retourner ବ son pays natal.
Enfin, le lecteur peut apprécier le personnage principal, Kodobio, car il est très courageux et indépendant. Il est n'a pas froid aux yeux, car il reste avec Bartolomé, un prêtre espagnol qui lui avait sauvé la vie, pendant presque tout le long du roman, même s'ils côtoient des personnages dangereux comme le vilain Panfilo de Narvaez. Comme ce livre aux aventures périlleuses et aux personnages touchants est recommandé pour ceux et celles qui veulent savoir davantage sur la vie des Amérindiens!