C'est frais, c'est dynamique, sympathique, distrayant ! On retrouve dans ce tome 3 les personnages de Barbary Lane comme ceux de la 3ème saison d'une série télé que l'on suit avec plaisir.
Ce livre est sans prétention mais c'est une lecture idéale quand le stress du travail prend le dessus. On s'y plonge sans a priori et on se laisse porter par les aventures de cette joyeuse maisonnée.
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Après le 2e tome que j'avais adoré, je m'attendais à retrouver une suite à la hauteur. Malheureusement j'ai eu du mal à accepter les choix de l'auteur...
Je ne m'attendais pas à cette longue ellipse de plusieurs années. Alors que tout se terminait bien au tome précédent, on retrouve les protagonistes malheureux ou bien changé. Les ex de Mary Ann et Michael sont partis, Brian a une nouvelle petite amie dont le choix m'a surpris, Mona à qui je commençais à m'attacher, a disparu de San Fransisco...
Ajouté à cela, ce tome m'a paru particulièrement sombre (alors que les autres gardaient un ton assez léger) et certaines situations tombaient dans l'absurde: une journaliste séquestrée par Anna Madrigal comme si c'était ordinaire etc.
Malheureusement, je n'ai pas accroché à ce tome-là et ne lirai pas la suite.
J'espère pour vous qu'il en sera autrement durant votre lecture!
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Nouvelle décennie, nouvelles aventures pour les locataires de Barbary Lane. San Francisco se lance dans les année 1980 pour le meilleur et pour le pire. Entre croisière vers l'Alaska, Kidnapping, projet de mariage, agression homophobe, secte, séquestration de journaliste, boost de carrière, etc. les différents personnages n'ont pas tellement l'occasion de s'ennuyer.
Encore une fois, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. C'est pareil à chaque tome et c'est une des raisons qui font que je n'ai toujours pas terminé cette saga. Contrairement au précédent, j'ai poursuivi mon survol jusqu'à la fin. Cette fois, pas de déclic, il a fallu que je m'accroche pour tenir le cap. Trop rocambolesque pour mon humeur littéraire du moment.
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3ème opus des chroniques de San Francisco.
J'ai tout d'abord été un peu désorienté au départ par ces changements de personnages et d'atmosphère.
Un fois familiarisé avec cette nouvelle ambiance ça se lit tous seul! L'intrigue de fond est bien construite et intéressante. C'est amusant car ans le second volet je regrettai la place insipide que tenait le personnage de Dédé, et ici c'est tous le contraire!
Toujours un bon moment à passer!
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J'en avais beaucoup entendu parler et puis j'ai eu l'occasion de le lire. Ses points forts : un roman alerte, de l'imagination, une trame assez facile à suivre. Ses points forts : une fin un peu « légère », des personnages caricaturaux.
Attendez-vous à plonger dans un autre monde : celui du début des années 80, avant le sida, dans la galaxie homosexuelle de San Francisco. Il faut aimer et même si l'auteur rend cela léger, c'est parfois lourd et on est bien content de revenir, quand on a fini de lire le livre, dans notre monde.
Un dernier point : un livre écrit et fait pour des américains de préférence homos et de San Francisco: je passe sûrement à côté de beaucoup de connotations ou de messages.
Un livre de gare ou d'aéroport (d'ailleurs je l'ai lu dans le train).
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Je me faisais une joie de retrouver toute la petite tribu de Barbary Lane. Mais la sauce a moins pris avec ce troisième opus. D'une part, Mona disparaît complètement de la circulation et madame Madrigal n'a plus qu'un rôle secondaire. le personnage de Michael s'essouffle un peu. En fait, ce troisième roman est beaucoup plus axé sur Mary Ann et DeDe Halcyon, embarquées dans une histoire rocambolesque qui prend toute la place. L'arrivée de la chroniqueuse mondaine Prue Giroux dans l'aventure ne relève malheureusement pas le scénario qui se traîne en longueur, et dont l'intérêt peine à s'installer, d'autant plus qu'on voit venir l'intrigue de très très loin. Seul le dernier quart du roman devient vraiment trépidant, enchaînant les coups de théâtre sur un rythme effréné, terminant ainsi cette lecture sur une note plus dynamique (bien que les événements soient dramatiques à souhait)
Bref, une lecture en demi teinte qui se sauve du naufrage grâce à la dernière partie du roman.
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Merci à mes partenaires du #tournoidesbooksplorateurscompulsifs qui m'ont fait découvrir la fonction réservation en ligne de ma bibliothèque, j'ai pu y dénicher le tome 3 des aventures de Mary Ann, Michael et cie, à défaut de peut-être le trouver un jour en brocante. C'est celui que j'ai le moins aimé. Pas non plus déçue mais presque, j'ai eu l'impression que tout était centré sur une seule histoire : DeDe et Jonestown. Les autres ont presque inexisté, disons que leur passage était plus anecdotique, moins intéressant, peu développé. Et sans compter ce début où on est catapulté 4 ans après la fin des Nouvelles chroniques de San Francisco, j'ai vérifié trois fois que je n'en avais pas manqué un entre temps, je n'ai pas du tout aimé ne rien comprendre au début. Alors que j'avais tellement adoré le tome 2, ce troisième tome m'a fait retomber de mon nuage d'adoration comme un soufflé raté. Rajoutons ce Brian que je n'ai jamais aimé qui se retrouve subitement bien plus au premier plan qu'avant, c'était le pompom.
J'ai surtout été marquée par le changement, pardon, le fossé entre la fin du tome 2 et le début du tome 3. J'avais l'impression de ne pas être dans la même saga, un peu comme lorsqu'une série est reprise par un autre réalisateur, vous voyez ce que je veux dire ? Je suis complètement refroidie pour lire le quatrième qui m'attend déjà dans ma PAL. Je vais laisser passer plusieurs mois je pense pour m'y remettre. J'en attendais peut-être trop si vite après la lecture du précédent alors je ne veux pas refaire la même erreur.
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