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Citations sur Chroniques de San Francisco, tome 4 : Babycakes (11)

La discrétion reste le dernier rempart que la galanterie puisse opposer à la curiosité.
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La plupart des riches sont pénibles. Non parce qu’ils sont différents, mais parce qu’ils font semblant de ne pas remarquer la différence. (p. 17).
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Est-ce que rien du tout vaut toujours mieux que n'importe quoi ?
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Les bookmakers londoniens avaient ouvert les paris : la capitale allait-elle enfin connaître quarante-huit heures d'affilée sans averses ?
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Loin d'etre le meilleur, il garde quand même la même qualité d'écriture, même s'il est moins dans le même temps de folie que les autres, on prend quand plaisir à retrouver les personnages passés.
De plus l'histoire est bcp plus sombre que les précédent, cela est du à un événement particulier, qui fait écho au drame de l'époque, l'arrivé du SIDA, et c'est pour ça que ce livre reste un bon livre, il est contemporain de son époque.
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- On verra ce que tu me diras dans quinze ans, plaisanta Mona avec une grimace. Quand on a vingt-trois ans, c'est pas grave de photocopier des bites. À trente-huit ans, si.
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La veille du départ de Michael,Mary Ann se retrouva dans l'obligation de passer la nuit au zoo de San Francisco pour attendre la naissance d'un ours polaire.Elle bivouaqua avec son équipe pendant sept heures à côté de l'iceberg an ciment que Blubber,la future mère, était bien forcée d'appeler son chez-elle.Alors qu'approchait la huitième heure,Connie Bradshaw arriva,voutée sous le poids de sa grossesse comme une noble bête de somme.
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Autrefois, Mona trouvait que Seattle était l’endroit où les vieux hippies pouvaient trouver une retraite idéale. Le climat était tempéré, sur le plan politique la ville était plutôt tolérante, et un nombre extraordinaire de ses habitants considéraient encore le macramé avec bienveillance.
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Ses cheveux, d'un blond terne, séparés par une raie au milieu, suivaient la courbe de ses joues comme une paire de parenthèses encadrant un concept creux.
p. 215
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Il se passait quelque chose. Il sentit que la douce ivresse du sherry commençait à se dissiper. C'était pour cela qu'il redoutait généralement les retours : on vous préparait à apprendre des nouvelles qu'on avait gardées secrètes pour ne pas vous gâcher vos vacances. Sa première pensée fut celle-là : Qui d'autre est mort?
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