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4,29

sur 4936 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Manderley... Ce magnifique manoir anglais est l'oeuvre de Rebecca de Winter, une femme du monde que tout le monde idolâtre. Mais si chacun se vante d'assister aux fêtes et aux bals, personne ne sait vraiment ce qui se passe dans le silence des chambres et des petis salons. C'est à la suite du décès tragique de Rebecca que la seconde épouse de Max de Winter va découvrir de nombreux secrets. Mais ça ne sera pas sans y perdre de sa naïveté...
Une grand roman que cet ouvrage de Daphné du Maurier !! On s'y installe doucement, les 300 premières pages étant plutôt lentes et descriptives, mais on s'attache aux personnages et on sent bien qu'il y a un mystère terrifiant et qu'il pourrait bien faire basculer l'histoire. C'est rien de le dire !!!
Mais je vous laisse découvrir par vous même si Manderley n'est pas autre chose qu'un simple manoir, un refuge pour quelques ombres sombres peut être...
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Rebecca, Daphné du Maurier. Un titre et un nom qui frappent, qui résonnent dans les mémoires. Tant de gens en parlent ! Tu l'as forcément lu, me dit-on. Je me suis interrogé. Ai-je lu Rebecca, ce best-seller qui date de 1938 ? Un jour peut-être, il y a longtemps... Mais non. En le lisant ces jours-ci, je me suis rendu compte que non, c'était la première fois. Je ne crois pas non plus avoir vu le film d'Hitchcock.

L'atmosphère fantasmagorique d'une demeure majestueuse, enserrée dans une flore furieusement luxuriante, et dans les principaux rôles, une orpheline pauvre et gentille, un prince charmant (ou presque) et une méchante sorcière… Ne serions-nous pas dans un conte féérique ? J'exagère un peu. Certains parlent d'un livre d'inspiration gothique. S'ils le disent !...

Toujours est-il que la narratrice du roman est une jeune femme naïve, mal attifée, à peine mignonnette, tellement insignifiante qu'on n'en connaîtra pas le prénom. Elle accepte la surprenante et expéditive demande en mariage de Maxim de Winter, un richissime lord anglais de vingt ans plus âgé, veuf depuis à peine un an, qu'elle a rencontré quelques jours plus tôt. Elle se retrouve ainsi châtelaine à Manderley, une propriété somptueuse sur la côte ouest de l'Angleterre.

Châtelaine ? Pas si vite. Notre Cendrillon est dépassée par l'ampleur somptuaire du train de maison de Manderley, d'autant plus que plane le souvenir de Rebecca, la précédente madame de Winter, une femme à la personnalité éblouissante, que personne ne peut oublier, à commencer semble-t-il par son mari. Son fantôme omniprésent étouffe les velléités d'exister de la narratrice qui multiplie les maladresses, les fautes de goût et les erreurs de jugement. Il est vrai qu'elle est manipulée sournoisement par l'ancienne gouvernante de Rebecca, une femme à l'allure sépulcrale, indissolublement attachée à sa maîtresse décédée.

Lectrice, lecteur, la majeure partie du récit te fera vivre auprès des riches aristocrates de Manderley. Tu partageras leur oisiveté ponctuée d'événements cérémonieux insignifiants, tel le fameux five o'clock tea servi chaque jour à quatre heures et demi pile. Tu t'agaceras des niaiseries et des fantasmes de la jeune madame de Winter, pétrifiée par les sautes d'humeur de son mari et par les manigances fielleuses de la gouvernante. Tu arpenteras l'immense domaine, t'émerveilleras des massifs de fleurs multicolores butinées par les abeilles, te berceras du clapotis des vagues mêlé au cri des oiseaux, t'enivreras des effluves de l'air marin et des senteurs végétales imprégnées de pluie ou de soleil.

A moins que tu n'aies une passion pour les romances, tu pourrais trouver que le récit traîne en longueur. Ne t'y trompe pas ! Daphné du Maurier maîtrisait parfaitement son sujet et le rythme de développement des intrigues. A l'instar des résidents de Manderley oppressés par une chaleur lourde de fin d'été, tu seras peu à peu envahi(e) par le sentiment diffus d'un malaise, de l'inéluctabilité d'un événement imprévu. Peut-être partageras-tu les angoisses de la narratrice : pourquoi l'a-t-il épousée ?

Soudain, alors que l'orage approche et que tombent les premières gouttes, une surprenante révélation fait basculer l'ouvrage dans un registre différent, celui du roman noir à suspens. Les énigmes, les coups de théâtre et les renversements improbables de situation ne cesseront pas jusqu'à la dernière page. Mais Daphné du Maurier se voulait maîtresse des horloges. Alors que tu attends frénétiquement des réponses, tu dois patienter le temps d'une conversation banale, d'une digression sur le sens de la vie ou d'une contemplation bucolique.

Tu apprécies les romances et les thrillers ? Alors Rebecca pourrait être un de tes livres fétiches. Ma faible sensibilité à l'angoisse romanesque me prive du plaisir que tu y trouves, mais la qualité de l'écriture est incontestable et je reconnais avoir été captivé par l'incertitude des dernières pages.

La cohérence du récit apparaît rétrospectivement. L'auteure a toutefois pris un malin plaisir à ne pas lever certaines ambiguïtés, ce qui laisse libre cours à toutes sortes d'interprétations et de supputations. De quoi donner à Rebecca son image mythique de livre étrange et équivoque.

Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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Lu et relu plusieurs fois, vu et revu à diverses reprises, je sors de ce livre un peu déçue. Si la plume de Daphné du Maurier reste éclatante, les personnages me sont apparus comme trop caricaturaux.

Maxim est pour moi un horrible macho, peu soucieux de sa jeune femme innocente comme l'enfant qui vient de naître et je l'ai trouvée bien des fois à la limite de la débilité mentale. Quant à Rebecca ... eh bien Rebecca (non, non, je ne trahirai rien ... ), elle est un peu trop parodiée elle aussi. Reste madame Danvers, abusive également mais finalement, c'est le personnage qui m'a le plus touchée car gouvernante de Rebecca, elle l'idolâtrait comme sa fille ( à tout le moins).

Avec le temps et un romantisme qui probablement s'amenuise, j'ai donc trouvé les personnages peu crédibles ... bien sûr il a été écrit dans les années 30 (les années folles, tu parles !). Quoi qu'il en soit, j'ai quand même passé un agréable moment malgré mes restrictions. A lire une fois dans sa vie !
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L'héroïne jeune, ingénue et manquant de répartie (tous les personnages d'ailleurs se demandent pourquoi Maxim de Winter l'a épousée) sert de contrepoint à Rebecca qui hante encore les esprits et le domaine de Manderley. Daphné du Maurier sait instiller le doute pour mieux décrire les relations équivoques entre les différents protagonistes. le procédé de miroirs entre les deux madame de Winter est assez ingénieux pour nous permettre de comprendre les non-dits et de jouer sur les apparences.
Un classique à lire ou à redécouvrir d'urgence.


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Les premiers instants de la jeune et gauche Mrs de Winter à Manderley, un splendide manoir de Cornouailles, sont désagréables. La nouvelle épouse de Maxim de Winter est immédiatement confrontée à l'hostilité de la gouvernante, très attachée à Rebecca, l'ancienne Mrs de Winter morte noyée. Au fil du temps, la jeune femme, dans un état d'angoisse et de tension qui vont crescendo, ressent l'épouse morte comme une rivale. Il faudra un événement extérieur pour qu'enfin elle soit libérée de ses épouvantables doutes.

Racontée par la voix de la nouvelle Mrs de Winter dont, curieusement, on ne connaîtra jamais le prénom, cette histoire fait écho, à de nombreuses reprises, à celle de Jane Eyre de Charlotte Brontë, une auteure que Daphné du Maurier, semble-t-il, aimait beaucoup. Une oeuvre inclassable, dont Alfred Hitchcock a su magnifiquement reproduire l'ambiance oppressante et la progression dramatique, qui peut sembler désuète, mais ne l'est qu'en apparence, une fois lue, elle ne s'oublie jamais.
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Rebecca, ce livre est connu grâce au film d'Hitchock ! (que je n'ai jamais vu).
Rebecca, c'est en tout premier lieu un livre, devenu un classique, de Daphné du Maurier ! (que je n'avais jamais lu).
L'erreur est en partie réparée. J'ai lu le livre !

Ce que j'en ai pensé ?!!...
Ce n'est pas un coup de coeur. Mais une fois lancée dans la lecture, les pages se tournent facilement, et la lecture suit son cours.
Rebecca est morte. Et pourtant elle est présente dans l'histoire du début à la fin. Peu à peu, on découvre qui était cette femme à travers les yeux de la nouvelle maîtresse de maison, dont on ne connaîtra jamais le prénom.
Une morte nommée, et une vivante non nommée…
Daphné du Maurier réussit à nous faire passer de l'ennui (en effet, cette nouvelle épouse est très jeune, timide, sans caractère, fade, limite inintéressante… On se demande d'ailleurs ce qu'à pu lui trouver M. de Winter), limite énervante par sa non réaction face à l'accueil glacial de la gouvernante, à la compassion, et peu à peu on se réveille avec elle, lorsqu'elle découvre la vérité de son mari… Contrairement à elle, je me suis prise à douter…
En revanche, la fin m'a quelque peu déçue… Et donc, cela se termine ainsi !!!

Chapeau cependant à Mme du Maurier qui nous dessert ici un beau portrait de femme, voire deux portraits de femmes totalement opposés.

Je suis contente d'avoir lu ce livre, mais je ne suis pas sûre qu'il m'en restera grand chose dans quelques années !
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Étrange que ce roman ait dû attendre aussi longtemps avant d'émerger des profondeurs de ma PAL* mais voilà une erreur réparée, je viens de l'achever.

Ce n'est pas le premier roman de Daphné du Maurier que je lis, loin s'en faut, donc ce ne fut pas une découverte à proprement parler côté style. Maintenant, côté récit, comme je me targue d'être toujours honnête vis-à-vis de moi-même, je dois avouer que les deux premiers tiers du roman m'ont paru tout simplement soporifiques à tel point qu'après m'être étonnée que ce roman ne me soit pas encore passé entre les mains, j'ai bien cru qu'il m'en tomberait !

Mais, sans doute le spectre maléfique de Rebecca, l'ex-Mme de Winter, sentit-il mes velléités d'abandon car quelques pages plus loin, entamant la dernière partie de l'oeuvre, je me suis décidée à aller jusqu'au bout. Hélas, ce fut pour constater qu'il devient urgent que je me préoccupe d'éradiquer une fois pour toute la tare qui me condamne à toujours découvrir trop tôt ce qui va arriver.

***ALERT SPOILER***
Deux fois hélas, encore une fois, je découvris prématurément que Rebecca n'était pas la gentille femme parfaite que la nouvelle Mme de Winter, la narratrice, se plaisait à se représenter mais bien une "connasse" comme disent les soeurs Girard, que Favell était évidemment le cousin-amant de ladite Rebecca, que Max de Winter, son veuf, ne l'avait jamais aimée et qu'elle était condamnée à mourir brusquement d'une maladie fulgurante. Enfin, il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour comprendre qu'il va arriver des bricoles à Manderley, la demeure chouchoutée des de Winter.

Mais suis-je vraiment la seule à avoir deviné tout cela à l'avance ? Quel lecteur n'a pas trouvé suspect, entre autres points, qu'une honorable maîtresse de manoir anglais possède une maisonnette sur la plage pour recevoir ses invités au clair de lune ? Quel lecteur n'a pas compris que Mme Danvers était la méchante et qu'elle allait tout faire pour pourrir l'existence de la nouvelle Mme de Winter ?

Manderley, tout manoir qu'il est, est sans conteste le personnage qui m'a le plus séduite... lui et son propriétaire, Max de Winter, qui incarne le type même du gentleman (à ce détail près qu'il a zigouillé son épouse). Vraiment très séduisant. Je ne vois d'ailleurs pas très bien pourquoi il a épousé une femme si insignifiante qu'elle n'a pas de nom (oui, là j'avoue férocement que je n'ai pas apprécié de ne pouvoir donner un prénom à la narratrice à qui j'ai quand même tenu compagnie pendant 378 pages, c'est le monde à l'envers !). Mais bref, ok, gageons que cet homme fragilisé par sa situation se soit amouraché d'une femme de compagnie en tout point semblable à une souris ? J'en appelle, chers amis lecteurs, à votre honnêteté : lequel d'entre vous ne l'a pas trouvée horripilante dans ses maladresses, ses hésitations et ses introspections pendant les premières semaines passées à Manderley ? En ce qui me concerne, elle a failli avoir raison de ma patience et l'envie de la secouer comme un prunier m'a démangé les bras plus d'une fois.

Du point de vue psychologique, on reconnaît parfaitement la touche particulière de Daphné du Maurier, toujours très attentive à fouiller ses personnages (d'où les longueurs) et à ménager le suspens chez son lecteur, dans l'hypothèse où il ne devine pas à l'avance le dénouement. Si cela avait été mon cas, je ne doute pas que j'aurais vraiment beaucoup apprécié ma lecture. Dans les circonstances présentes, je l'ai juste appréciée, d'où ma note que d'aucuns jugeront peut-être un peu sévère.

Enfin, une chose est sûre, je relirai du Du Maurier, aucun suspense sur ce point. J'en attends davantage du film d'Hitchcock sur lequel je vais à présent me jeter !

*Pile à lire (oui, aussi étrange que cela puisse me paraître, j'ai découvert que tous les lecteurs ne comprenaient pas cet acronyme).
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Rebecca c'est cette femme dont tout le monde parle, partout la nuit comme le jour, adulée et référencée comme parfaite. Pourtant Rebecca est morte il y a dix mois. Maxim de Winter, mari endeuillé de Rebecca se remarie. La malheureuse élue est une très jeune fille, ancienne domestique. Elle est simple, timide, peu confiante et surtout aspirée dans les labyrinthes tortureux du domaine de Manderley où rôde dans chaque recoin le spectre de Rebecca.
La narratrice sans nom s'engoufre dans les secrets de son mari, attaquée par les insinuations des uns et des autres d'être insignifiante au regard de la belle et parfaite Rebecca. madame Danvers, domestique au domaine est d'une effroyable perversion suspendue comme une reine déchue au fantôme de Rebecca.

L'atmosphère mystérieuse et tendue est bien rendue tout le long du roman. Beaucoup de longueurs néanmoins pour en découvrir si peu, l'épouse sans nom m'a semblé souvent très enfantine, comparée à Alice (au pays des merveilles: quel reflet peu flatteur), on a envie de la secouer comme un prunier, son mari se montre absent, assez égocentrique à vouloir être aimé sans état d'âme réciproque pour cette jeune épouse.

La fin du roman est davantage intéressant. Les mystères sont délivrés et avec eux, les peurs de la jeune épouse. Maxim de Winter se livre à une déclaration d'amour qui semble être la clé afin que l'épouse se réveille de sa torpeur et prenne enfin confiance en elle.

Les mots et la vérité sont toujours salvateurs quand l'ombre du silence s'englue au service des morts et du mal.
L'amour quand il ouvre ses bras libère avec lui un monde de possibles et de paix.
Daphné du Maurier laisse avec Rebecca un roman réussi. A une table avec Hitchcock dans un vieux manoir hanté, ils ont du s'en raconter des choses ces deux là.
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Relire Rebecca quand, comme tout le monde, on l'a lu à l'âge adolescent, c'est prendre à la fois un bain de jouvence et un coup de vieux !
Souvenirs de cette ambiance incroyable, brumeuse, la mer non loin d'ici, le feuillage, le silence, les meubles et les gens lourds de secrets... Dans mon souvenir, il se "passait" plus de choses, mais en fait c'est davantage un roman d'ambiance, avec une montée inexorable de l'angoisse. le regard de la narratrice, faussement naïve, ajoute à ce crescendo. J'ai adoré le "tea time", le côté british de ce texte, le décor, le rythme... Un peu de Downton Abbey par moments...
Bref, un classique à redécouvrir absolument.
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Une lecture agréable et qui tient en haleine, quel plaisir!
Je découvre Daphné du Maurier grâce à ce roman, j'avoue que je ne savais pas grand chose sur elle avant cette lecture, mais j'en lirai d'autres s'ils sont du même acabit.
Je ne suis pas surprise d'apprendre qu'Hitchcock en ait fait un film, l'atmosphère du roman s'y prête parfaitement.
Je dirais que Rebecca est un roman surprenant: débutant comme une romance à l'eau de rose - une jeune demoiselle de compagnie orpheline et naïve tombant amoureuse à Monte-Carlo d'un aristocrate qui pourrait être son père et qui la demande en mariage avant de l'amener (pas sur son cheval blanc) à Manderley, son château anglais... j'avoue avoir eu des doutes au début de la lecture. Mais Daphné du Maurier sait instiller la juste dose de mystère nécessaire pour garder la curiosité intacte, avant de dénoter d'une plume magnifique lorsqu'il s'agit de décrire les jardins du château et ses fleurs, la forêt qui la jouxte et qui mène à la crique, et enfin les ciels anglais toujours changeants.
Insidieusement, la narration totalement interne - celle de cette jeune femme dont, si je ne me trompe pas, on ne connaîtra jamais le nom - laisse de larges zones d'ombre quant au passé de Maxim et à la personnalité de Rebecca, sa défunte première épouse, dont la présence reste omniprésente au château de Manderley. Ce sont ces zones, que la narratrice, par ailleurs préfère ne pas connaître, que nous lecteurs attendons impatiemment d'être mis en lumière mais pour cela, il faudra prendre le temps.
La focalisation interne, donc le récit raconté uniquement par le regard de la jeune épouse, est très intéressant. Elle observe et surtout, passe son temps à imaginer ce qui se passerait si..., à supposer, déduire des choses avec le peu qu'elle sait et que son époux veut bien partager avec elle. Bref, ce point de vue fonctionne très bien au niveau de l'intrigue.
Pour le reste, je n'ai pas vraiment apprécié les personnages à part Béatrice, la soeur de Maxim, et son mari Giles, mais je suppose que c'est volontaire.
C'est une découverte de lecture 100% Babelio donc merci à mes amis babeliotes pour ça!
Je vais bientôt regarder l'adaptation de Hitchcock et probablement celle qui va sortir dans deux semaines sur Netflix, par curiosité!
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