La trace du sang

C'est avec plaisir que nous retrouvons le personnage d'Enzo MacLeod. Celui qui s'est donné pour challenge de résoudre des meurtres anciens non élucidés, va encore mettre les pieds où il ne faut pas. Sa fille est visée par un attentat, lui est accusé du meurtre de sa dernière maitresse et il apprend qu'il est gravement malade. Que se passe-t-il ?

Il va vite comprendre qu'il est victime d'une machination et que le tueur ne veut pas être retrouvé. Lentement, il va reconstituer les pièces du puzzle et faire voyager le lecteur dans diverses villes au fil de son enquête.

Une Plongée dans le passé mais aussi dans sa propre histoire, du suspense, des rebondissements jusqu'aux dernières pages, des sentiments... C'est ce qu'on demande à un polar : mission accomplie !

Merci à Babelio et aux éditions du Rouergue pour l'envoi du livre dans le cadre de Masse Critique.
Lien : http://lespapotisdesophie.ha..

Enzo Mac Leod vient d'apprendre qu'il était atteint d'une forme de leucémie foudroyante, mais sa famille a besoin de lui car un meurtrier sans visage lui nuit.

En effet, sa fille Kirsty échappe par miracle à un attentat. le club de sport de son fils est quant à lui victime d'un incendie criminel. IL est clair qu'à travers eux, c'est Enzo que l'on veut atteindre.

Enzo Mac Leod a déjà résolu deux affaires non élucidées et s'était juré dans résoudre d'autres. Quelqu'un ne veut pas que l'on remonte jusqu'à lui, mais qui ?? Çà c'est ce qu'Enzo va essayer de savoir.

Cette enquête nous emmènera dans le passé à Cadaquès, petit village espagnol où un enfant de deux ans avait été enlevé il y a presque quarante ans...

Dès les premières pages, on est séduit par la plume de Peter May , l'intrigue se met rapidement en place. Petit à petit, les protagonistes sont dévoilés, leur vie nous est contée, les pièces du puzzle sont disposées et au fil des pages, elles s'imbriquent les unes dans les autres.

C'est prenant, palpitant, Peter May est un très joli raconteur d'histoires à l'imagination débordante. C'est cohérent, on pense avoir compris qui est derrière tout cela et puis cela s'efface, des rebondissements, d'autres éléments arrivent nous tenant en haleine jusqu'au bout.

J'ai vraiment passé un excellent moment de lecture, l'écriture de Peter May m'enchante.

Ce roman fait partie de la collection "Assassins sans visage" mais il peut être lu indépendamment des autres sans aucun problème. Il me donne envie de découvrir le reste de la série.

Merci à Rouergue Noir pour cette belle découverte, j'avais apprécié et découvert l'auteur avec "L'île du serment". La trilogie écossaise m'attend dans mes lectures de cet été.

Ma note : 9/10

Lien : http://nathavh49.blogspot.be..

Je continue la lecture de la série "assassins sans visage" de Peter May avec le tome 3 "La trace du sang" paru aux Editions du Rouergue et ici dans une version "facile à lire" (car ma médiathèque ne l'avait que dans cette version).

Dans cet opus, Enzo Macleod, notre ancien expert écossais, va apprendre beaucoup de choses...
Dès les 1eres pages, on lui annonce un cancer incurable, puis sa fille aînée va être victime collatérale d'un attentat et d'autres péripéties encore... dont il soupconne qu'il est le point commun de toutes ces attaques... Mais pourquoi ? Probablement sa quête de découvrir encore l'un des assassins évoqué dans le livre du journaliste Raffin.

En parallèle, on découvre un tueur qui a une histoire peu commune.

J'ai trouvé que c'était une enquête plus portée sur le personnage principal et sa famille. Une enquête encore bien ficelée par l'auteur qui ne me déçoit jamais.
La suite bientôt !

Il nous semble que cette intrigue est bien plus personnelle qu'il n'y parait. On prend plaisir à suivre la famille d'Enzo Macleod, alors que celui-ci enquête toujours sur les affaires non résolues du livre de Roger Raffin.

On se surprend même à avoir peur pour nos personnages. On doit cela à l'excellente écriture de Peter May qui nous plonge dans une chouette course contre la montre.