Les Imbéciles heureux

Je crois que ce sont des histoires que je préfère lire… celles qui traitent de l'amitié! Si vous avez lu Julie de Lestrange et que vous avez aimé, vous aimerez « Les imbéciles heureux ». Quand on a connu des amitiés fortes et l'esprit de groupe, on se reconnaît forcément…
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Ce livre est une pépite qui se lit vite et bien. On s identifié bien aux personnages pour peu qu on ait la trentaine ou la quarantaine. J aurais adoré vivre ce que vivent les personnages.
l accroche est écrite rapidement et la fin est superbe. A LIRE absolument.

Ce livre questionne sur la question du bonheur, du deuil, de l'amitié. Des amis décident de reformer la bande de lycéens qu'ils étaient 20 ans plus tôt suite au décès de l'un d'eux. L'idée de l'auteur est bonne mais je n'ai pas vraiment accroché à cette histoire et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Manque de profondeur, style ?

Florence, Camille et Marie sont amies depuis vingt ans, à l'époque elles faisaient même partie d'une bande d'amis, Les imbéciles heureux, tous rencontrés au lycée et perdus de vue avec le temps. Mais lorsque Florence perd brutalement son mari elle se fait une promesse: réunir toute la bande pour se retrouver et rendre un bel hommage à Charly.

Lorsque j'ai commencé ce roman j'étais clairement à la recherche d'une lecture légère, d'un bon feel-good pour ne pas le nommer. C'est donc avec cette idée en tête que j'ai abordé celui-ci et je me suis donc rapidement laissée surprendre par son histoire, débutant par un drame et laissant entrevoir beaucoup de douceur très rapidement.

On suit ces trois amies, à un moment décisif de leur existence où dans le deuil chacune dresse le bilan de sa vie et tente de la reprendre en main.

Même si ce roman ne sera pas un coup de coeur j'ai apprécié ce moment passé auprès de ce petit groupe, alors si vous rechercher un roman léger et qui vous donne le sourire pour les vacances, celui-ci devrait vous plaire!

J'avais déjà lu le livre "sales gosses" du même auteur. D'ailleurs on retrouve certains personnages dans ce livre. C'est le même style que Zoé Brisby pour ceux qui connaissent l'auteure.
Je l'ai dévoré, ça se lit bien et malgré le côté tristounet c'est beau.
J'ai beaucoup aimé le côté amitié, et les différentes personnalités qui arrivent à s'entendre, ça m'a rappelé mes "jeunes" années !! et en plus ça m'a rappelé mon rôle auprès de mes copines. Moi qui suis toujours le seul élément qui donne des nouvelles à tout le monde !

En cette soirée lyonnaise de décembre, la fête des lumières bat son plein quand Florence perd la sienne : attendu à cette soirée raclette (ou fondue ?) entre amis, son Charly ne viendra plus, la vie en a décidé autrement, puisqu'elle a mis sur son chemin un octogénaire sénile à contre-sens…

Florence a perdu l'amour de sa vie mais certainement pas son frère et ses amis.

La bande d'inséparables, « imbéciles heureux » fait front pour l'aider à traverser la tempête sans sombrer, accrochés à un rêve un peu fou : retrouver un peu de leurs 20 ans et de leur point de vue de l'époque sur le bonheur, bien décidés à faire tourner la roue de la vie si celle-ci manque d'air.

A l'heure des questions des couples qui se séparent et des vies professionnelles bien trop chargées, cette année de deuil fait paradoxalement flotter sur la joyeuse bande d'amis un vent d'insouciance et de légèreté.



Ce roman est une ode aux amitiés solides, celles qui partagent votre quotidien mais également vos plus grandes peines, qui ne sont jamais loin malgré les années et les kilomètres.



Si vous avez aimé Jeanne et sa bande d'octogénaires déjantés dans « Les sales gosses », n'hésitez pas à retrouver Florence, sa petite fille, plongée dans un tourbillon d'émotions.

La plume de Charlye Ménestrier Mc Grath vous invite à suivre les petits rayons de soleil qui se cachent dans les ciels les plus gris. Quant à moi, je file… j'ai rendez-vous avec « Les durs à cuire » pour les vacances.

Les Imbéciles Heureux, c'est une bande de potes de lycée. Ils ont fait leurs études ensemble en 1996. « Qu'est ce que le bonheur selon vous ? » Cette grande question, Camille l'a posé à ses amis face caméra pour son projet d'arts plastiques.
Vingt ans plus tard, le noyau du groupe est toujours inséparable mais certains se sont perdus de vue. Ne reste que Florence, Camille, Marie, Charly et Nicolas autour de la table.
Un soir, Florence a l'idée de tous les réunir, pour se retrouver comme au bon vieux temps. Mais le même soir, elle reçoit un appel qui va bouleverser sa vie à jamais : son mari Charly vient de mourir dans un accident de voiture.
C'est alors qu'une longue période de deuil commence. Cet événement va rebattre les cartes, il va ouvrir les yeux des personnages. Ne passent-t-ils pas à côté de leur vie ? de ce qu'ils veulent vraiment faire ? A l'approche de la quarantaine, ces questions deviennent urgentes. le deuil, la séparation et la surcharge professionnelle ne font que précipiter le changement nécessaire, peut-être, à leur bonheur.

Au vu de la couverture colorée, je ne m'attendais pas forcément à commencer ce livre avec un décès à la troisième page ! L'histoire n'est pas vraiment triste pour autant, elle garde quand même une certaine légèreté en raison du caractère des personnages.
C'était une lecture agréable mais elle ne me restera pas en mémoire très longtemps... Je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher aux personnages, ni à m'identifier à eux (peut-être parce que je ne suis pas de la même génération ?). D'ailleurs, je les ai souvent confondu.
J'ai cependant apprécié la construction du récit avec quelques retours en 1996. le développement des personnages était intéressant aussi. On les voit évoluer, reprendre le dessus, par eux-mêmes ou avec l'aide de leurs amis.
Ce livre relate une belle histoire d'amitié qui a su perdurer au fil des années.
Une lecture en demi-teinte donc.

J'ai adoré, totalement mon style. Une lecture fraîche, une hode à l'amitié, bourrée d'émotions.
Franchement on le lit d'une traite.
Une lecture qui fait du bien, qui m'a fait pensé au film " #lespetitsmouchoirs " que j'aime tant.
Une totale réussite pour ma part.

Adoré. J'ai pas pu le lâcher. J'ai beaucoup apprécié l'histoire , j'aurai aimé faire partie de cette bande de potes. Et en plus j'ai apprécié de retrouver Jeanne la si tendre et optimiste ainsi que Paddy les héros du précédent roman Les sales gosses.
Il y a beaucoup d'humanité et en amour dans ce roman. Hâte de lire le prochain 💙

Après le premier roman de Charlye Ménétrier McGrath que j'ai lu l'an dernier, je reste fidèle à l'auteure et à nos échanges toujours sympathiques. Il me tardait de découvrir son second roman. Ici, plus d'octogénaires mais une bande de trentenaires bien décidée à retrouver leurs amis des années lycée.

C'est suite au décès de son époux adoré, Charlye, que Florence va un jour avoir cette idée folle de réunir toute leur bande d'amis du lycée. Si elle est restée très proche de ses 2 meilleures amies, le temps a mis de la distance avec d'autres qu'elle n'a pas revus. Prise par un deuil brutal, la jeune femme va un jour entendre les mots qui vont lui permettre d'aller de l'avant. Et ce projet est pile ce qu'il lui faut pour envisager une nouvelle page à sa vie.

Dans ce roman, on fait connaissance de divers personnages en même temps au début. Si je n'ai eu aucun mal à intégrer Florence, la jeune veuve, et Nicolas, son frère, je me suis emmêlé les pinceaux plus d'une fois entre Camille et Marie, ses 2 meilleures amies. Mais c'est classique chez moi dans les bandes de personnages, je suis très longue à la détente ! J'y arriverai mieux avec les dessins des personnages à côté du texte mais zut ce sont des BD qu'il me faudrait lire alors et non des romans !

Mis à part cette difficulté toute personnelle, j'ai aimé les tribulations de la bande, égayée par les souvenirs du passé, via les cassettes de Camille. Quand elle était ado, elle avait interrogé et filmé ses amis sur leur vision du bonheur. 20 ans après, on va redécouvrir avec eux leurs anciennes cassettes. Et s'interroger de nouveau sur ce qui fait le bonheur dans leurs vies. Je me suis vraiment reconnue dans cette bande qui regarde en arrière sur ce qu'elle a construit dans la vie et, comme eux, je ressens que les accomplissements (mari, enfants, job, maison, chien, vacances and co) ne sont pas des corollaires du bonheur.

Avec légèreté et sans jamais nous plomber malgré le deuil à l'origine de l'histoire, Charlye Ménétrier McGrath m'a promenée à ses côtés dans des tranches de vie modernes qui font écho en moi puisqu'elles sont bien de ma génération. C'est léger, drôle, frais, actuel et ça se lit très facilement. J'ai particulièrement aimé la fin et le quiproquo que la bande va connaitre dans sa prise de contact avec Sébastien alias Ross, l'un des amis de la bande.
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