Venom vs Carnage : Un enfant est né

Et dans la toute nouvelle collection de Panini, je demande – Venom vs Carnage : un enfant est née !
Me voici à faire la critique d'un ouvrage qui me tenait vraiment à coeur. Mais ce n'est pas pour sa qualité au niveau de l'histoire ou même des dessins, mais pour le type d'édition employée. En effet Panini comics à enfin pris conscience de l'impact de son nouveau rival Urban Comics ! Avec ces format cartonnés, l'éditeur français à envahi le marché en à vite connu un succès mérité. Outre le fait que leur collection soit simple, elle est aussi très bien organisé. Panini ne pouvant pas ce laisser volé tout le marché du Comics en France, ils ont pris la décisions d'imité leur concurrent.
Bonne nouvelle donc, puisque Venom vs Carnage est très bien édité à un ou deux détail près...

L'édition est faite dans le même format que propose Urban comics, ou même Delcourt, ou Glénat (c'est vous dire que Panini était vraiment en retard) à savoir un format comics classique en dure.
Voici le premier des bons points. Mais pourquoi alors suis-je moins emballé que le travail de l'éditeur Urban ? Tout simplement parce que Panini continu à nous mettre des pages en vrac, pas classé si je puis dire. A l'instar de ces formats Deluxe, les numéros que contient l'ouvrage ne sont pas séparer ; j'entend par là que nous avons toute l'histoire d'une seul traite. Or il aurait été plus judicieux je trouve de nous mettre des chapitres comme les autres éditeurs savent si bien le faire. Résultat nous nous retrouvons une fois de plus avec un « bordel » sans nom, et des couvertures de numéro mis au hasard dans tout le livre.
Autre point négatif, je trouve raide de devoir payé 12 € pour moins d'une centaine de pages.

Pour ce qui est du comics en lui même, on va quand même en parler : Peter MILLIGAN (scénariste) nous livre là une très bonne histoire en terme de baston et de tout ce qui ce rapproche au Symbiotes. « un enfant est né » raconte la naissance du fils de Carnage... Toxin.
Clayton CRAIN le dessinateur, sublime cette histoire de sa patte décidément très douer pour dessiner les Symbiotes. Il effectue là ces débuts si je ne me trompe sur les Symbiotes telle que Carnage, Venom ou d'autre. Douer pour le dessin et pour la couleur, il est véritablement fait pour ce genre de récit.

Pour conclure, je dirais que ce qui m'a fait acheté ce premier volume de la collection Marvel Dark de chez Panini ce n'est pas que le format qui annonce une révolution (je l'espère) des formats que propose l'éditeur Italien, mais plutôt ma passion pour les histoires concernant les Symbiotes et la patte incomparable en la matière de Clayton CRAIN. de plus, je n'avais pas eu le plaisir de lire cette histoire l'or de sa premier parution. Je n'y est donc pas perdu, mais pour ceux qui on déjà connaissance de ce run difficile de s'y risqué.

C'est certes très beau, du moins sur certaines cases car les dessins d'humains sont catastrophiques. Mais le scénario est tellement peu inspiré voir, pire, totalement incohérent avec l'univers des symbiotes, qu'il est difficile de ne pas être tristement déçu.
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