Hitler l'avait écrit dans Mein Kampf : l'empire germanique d'Orient ne serait achevé qu'une fois la Russie détruite. Mais il ne voulait pas refaire la bêtise d'une guerre sur deux fronts simultanés. Aussi, il aurait aimé que l'Italie, l'Espagne et le nouvel Etat français de Pétain fassent bloc dans une alliance anti-anglaise.
- Si je vous vois aujourd’hui pour la dernière fois, mon Führer, j’ai un aveu à vous faire… Mon Fuhrer… Je n’ai pas donné l’ordre de tout détruire, comme vous me l’aviez enjoint. J’ai saboté autant que possible vos consignes de terre brûlée, pour laisser le minimum et permettre à une nouvelle génération d’Allemands de vivre. Je vous demande pardon.
- Vous avez bien fait…
(Ministre des armements et de la production de guerre)
Je vaux mieux que Napoléon, mon petit Goebbels. Moi, je suis protégé par Dieu !
Monsieur Hitler, quand une nation fasciste offre son amitié, c’est pour l’éternité…
- Regarde ! Il y a un tarif réduit !
- Oui… Mais seulement pour les officiers.
- Euh ! Comme si les militaires étaient capables de comprendre quelque chose à l’Art ! Ils ne viennent à l’opéra que pour séduire les jeunes filles ! Ils vont à l’opéra pour draguer, je te dis !
- Oui, bon… T’énerve pas, Adolf ! Wagner va bientôt commencer…