Nous préférons nommer Bête ce que nous ne comprenons pas. De la même manière que nous rejetons les fautes des cruautés humaines sur le diable et ses subterfuges. Lorsque nous nous débarrassons de la mythologie, la réalité humaine apparaît.
Le sang ne l'a pas transformée en femme, il l'a transformée en victime. Peut-être est-ce là la véritable métamorphose qui accompagne les menstruations.
On ne se rend compte de ce qu'on aime qu'au moment où on le perd