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3,81

sur 3989 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Que dire de ce roman ? Pour être honnête, j'ai failli le refermer dès le départ, bien avant le secret !! Les 100 premières pages sont une accumulation de personnages et l'on passe de l'un à l'autre sans avoir le temps de bien les situer. Enfin, à la découverte du secret du mari, j'ai trouvé un petit intérêt à cette histoire et aux personnages. L'action arrive… et le livre se laisse lire.
Je n'ai pas vraiment compris l'engouement populaire de ce roman...
Le seul passage que j'ai vraiment apprécié est la conclusion à cette histoire !
Cette histoire, je l'oublierai très vite. Ma sensation est d'avoir lu une version littéraire australienne de Desperate Housewifes. Série américaine pour laquelle je n'ai vraiment pas accroché et donc pas du tout suivi.
Bon, je passe à autre chose !!
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Un succès international. Bravo! Tant mieux pour l'autrice et je me réjouis pour tout ceux qui ont aimé. Perso, petit roman lu dans l'avion. Les heures de vol ont été moins longues puisque j'étais dans la tête de Cécilia, Tess et Rachel. Ces femmes presque parfaites d'une banlieue presque parfaite de Sydney.
Donc un mari parfait qui a un gros secret, un deuxième avec des angoisses de pertes de cheveux et de crise de la quarantaine et puis...c'est presque tout. Les hommes s'effacent. Pourtant, tout tourne autour d'eux.
Alors, Cécilia, la parfaite, l'organisée, la bien cadrée, puis Tess quittant précipitamment Melbourne pour revenir à Sydney, puis Rachel survivant de peine et misère à un immense chagrin.
Et nous nous promenons ainsi dans la tête de chacune.
Écrit simplement, narration convenue, quelques longueurs mais on se prend au jeu de vouloir savoir.....
Finalement, un "Deseperate housewifes" australien avec qui nous passons un agréable moment. Comme lorsque qu'on nous reçoit pour le thé et que celui-ci ainsi que les biscuits et gâteaux sont parfaits.
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On suit quelques familles en Australie, durant la semaine pascale, chaque chapitre correspondant à un jour de cette semaine. Nous avons d'abord Cecilia, perfectionniste, traquant la moindre imperfection, animant ses réunions Tupperware de mains de maître, répondant au passage aux questions de sa fille qui se passionne, après une période dinosaures, au mur de Berlin.

Cecilia y était, à Berlin, lors de la chute du mur et elle en a rapporté un petit morceau qu'elle retrouve au grenier et découvre en même temps une vieille lettre écrite par son mari « à n'ouvrir qu'après ma mort. » et la question est : je l'ouvre ou je ne l'ouvre pas, très Shakespearien, n'est-il pas ?

Dans cette histoire, branchée catholique souvent, on trouve un autre drame, qui remonte à des années : la fille de Rachel et Ed est retrouvée assassinée, un chapelet à la main. Après la mort de son époux, Rachel ne rêve que de vengeance à défaut de trouver le vrai coupable…

Au passage, on trouve aussi Tess qui revient dans sa ville natale, car son mari lui a appris qu'il était tombé amoureux de sa cousine…

Ce roman est certes plaisant, mais je suis passée complétement à côté si je me réfère aux critiques enthousiastes que j'ai pu lire ça et là… j'ai trouvé l'histoire fade, les personnages caricaturaux et elle ne « me marquera certainement pas de manière durable », comme me le promettait la quatrième de couverture…
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Ma première lecture de Liane Moriarty.
Nous découvrons trois femmes, trois histoires, trois destins différents.
- Tess : Une femme trahie par son mari et sa meilleure amie. Elle quitte tout pour rejoindre sa mère malade, en emmenant son fils avec elle.
- Rachel : Une femme hantée par sa fille décédée.
- Cécilia : Une femme troublé par la découverte d'une lettre écrite par son mari qui lui est destinée. Elle est autorisée à l'ouvrir qu'après la mort de celui-ci. Y a t'il un problème car il est bien envie et en bonne santé. Que contient cette lettre ?
J'ai aimé l'atmosphère du livre et son intrigue, qui se déroule sur une semaine. Malgré un démarrage lent, à partir de l'ouverture de la lettre, tout s'enchaîne et s'accélère. De terribles secrets vont être révélés, des familles bouleversés, les trois histoires vont s'entremêlées avec des personnages qui deviennent peu à peu intéressants et attachants.
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Un Desperate Housewives à l'australienne, dit-on ça et là de ce roman.
D'accord mais alors, en plus soft, en moins loufoque, en plus subtile aussi mais en beaucoup moins drôle ...

J'ai lu aussi ça et là que ce livre était bourré d'émotion.
Peut-être, mais j'avoue que je suis passée un peu à côté alors. A aucun moment, je n'ai réussi à compatir aux tracas de nos trois héroïnes. Un petit peu plus avec Tess, la timide qui se fait littéralement piquer sous son nez son mari par sa cousine. Cécilia, la représentante dynamique en Tupperware, parfaite épouse et véritable moulin à paroles m'a excédée. Quant à Rachel, engluée par le deuil de sa fille, m'a plutôt ennuyée...

Quant au suspense, j'avoue qu'une fois le secret du mari divulgué (et ça vient assez tôt dans l'histoire), j'ai eu l'impression d'un soufflé tout raplapla, même si bien sûr, je suis restée curieuse des répercussions de ce terrible secret qui-te-déglingue-ta-vie-à-jamais.

Me voilà bien sévère !
J'ai tout de même passé un bon moment.
L'auteure passe à la moulinette histoires de couples et vie quotidienne. On peut s'y retrouver et en sourire car les mots incisifs sonnent souvent juste.
Le portrait psychologique des personnages est également une belle prouesse de la part de Liane Moriarty.

Mais voilà, je ne suis pas fan de ce genre de livre-détente.
Alors..tant pis.
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Le secret du mari. Il fallait bien un responsable ! Allez va pour le gazier. C'est vrai que statistiquement, ça tient la route (les mecs qui battent leur femme, qui tuent lors d'un divorce, femme et enfants…) Surtout quand on connaît la presque fin du roman. Mais j'avoue que maintenant, j'aimerais bien le même roman écrit par un homme qui balance le secret de l'épouse. Est-ce qu'on partirait sur du factuel tout de suite ? du lourd, de l'indéfendable ? le secret...
J'ai malgré tout bien aimé ce roman, mais je l'ai trouvé trop tourné vers la gent féminine. Les sorties d'école, les réunions tupperware, les femmes avec le job qui fait tourner la maisonnée ou celle qui s'échine à la maison pour que tout soit en ordre quand papa rentre, la mère endeuillée, la femme trahie (et par qui… sa cousine, encore une femme !), les petites filles vêtues de rose… bref, à haute dose fille-femme-mère-grand-mère... c'est l'overdose ! J'imagine que c'est voulu. Et je reconnais que les descriptions de certaines réalités ou situations sont fines et sentent le vécu. Pour autant, je ne me sentais pas concernée. Trop lissé tout ce decorum. Même pas une protagoniste qui se fait draguer par une autre ?! Mince alors, statistiquement, ça aussi ça tient pas la route.
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Si vous aussi vous avez écrasé une larme à la fin de « Desperate housewives », vous allez retrouver tout ce qui faisait le charme de la série dans « Le secret du mari ». Les ménagères australiennes naviguent elles aussi entre problèmes domestiques et meurtres de voisinage. On sourit, on se dit souvent « C'est bien vu », on trouve parfois que c'est longuet, mais les chapitres sont courts, alors on enchaîne.
L'histoire est plaisante, mais la fin met en évidence le défaut constitutif de ce roman: s'il y a secret, il n'y a pas mystère. On n'y trouve rien d'autre que ce qui y est écrit. Mention spéciale à la page 474: « Tu vois, le prix qu'on a payé ? » ouiiiiiii, on le voit. Cela fait 50 pages que le lecteur a compris. Ou bien page 490: « Cécilia (...) sourit comme si elle venait d'obtenir son passeport pour la liberté. » Ah ben dîtes, l'exposé de la benjamine sur le mur de Berlin, ressassé tout au long du livre, c'était donc symbolique ?
Ah et puis la métaphore pascale. le roman se déroule sur une semaine et prend fin le dimanche de Pâques. Les personnages ont subi des épreuves et trouvent la lumière. Personnellement, ça m'énerve toujours, le côté il-est-bon-d'avoir-mal-car-après-la-pluie-vient-le-beau-temps mais on assiste moins ici à la résurrection de Jesus qu'à celle de Lazare: c'est quand même pas la panacée, on est vivant, certes, mais on se sent nauséeux et on a le teint terreux.
Roman sympa et intéressant, donc, mais qu'on referme avec le vague sentiment qu'on a quand même un peu perdu son temps.
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Euh, bon, je suis peut-être une moraliste sévère et pas drôle, mais je suis contre le fait de se faire justice soi-même et si je suis bien persuadée par l'expérience que les gens se feront toujours passer en premier, eux, leurs familles, leurs enfants, je suis gênée aux entournures et presque choquée qu'une auteure nous le présente avec une forme de complaisance. En plus, sous forme de semaine sainte, ambiance rédemption. Mais bon, je ne suis pas une anglo-saxonne. Je ne vois aucune rédemption là-dedans, juste une bande d'égoïstes ultra-matérialistes très très contents d'eux. Et qui sont prêts à tout pour se protéger. Et que l'auteure protège, ce que ne ferait en aucun cas une bonne auteure. Comme Laura Kasischke ou Joyce Carroll Oates. Jamais elles n'auraient cette amitié visible pour ces horribles personnages des banlieues cossues d'Australie ou des Etats-Unis.
Cecilia la mère parfaite ...l'Housewife de compet'. Difficile d'expliquer sans spoiler, mais bon, c'est un robot. Elle ne peut pas exister.
Tess qui se fait larguer par son mari pour sa cousine-meilleure amie le lundi...Trahison de la mort qui devrait engendrer au minimum une catatonie, une déprime sévère...mais qui part chez sa mère à peine atteinte si on songe à ce que ressentirait une personne réelle...qui... bon, on ne peut rien dire...Mais bref, aussi crédible que le père Noël en string.
Rachel dont la fille a été assassinée. La plus subtile et crédible jusqu'à ce que, soyons claire, ça parte en cacahuètes vers la fin.
Sans parler des mecs, tous plus affreux et nuls les uns que les autres, mais outrageusement gâtés, pardonnés, par toutes leurs bonnes femmes ...Ce n'est pas si grave, après tout, et puis ce qui compte, c'est la famille.
Ah ! Pouah ! Quelle mentalité ! A ce compte-là, vidons les prisons de tous les assassins de filles. Après tout, c'est juste une erreur de jeunesse, et les familles qu'ils ont construites ont besoin de leur papa.
Vraiment, je n'ai pas aimé !
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On m'a prêté ce livre ; je l'ai donc lui rapidement, pour le rendre rapidement. C'était divertissant mais pas transcendant.

Au fil des pages, nous suivons la vie quotidienne de trois femmes australiennes qui arrivent à un moment clé de leur vie :
- Tess vient d'apprendre que son mari et sa cousine sont tombés amoureux,
- Cécilia découvre une vieille lettre que son mari a écrit il y a bien longtemps avec inscrit dessus "à n'ouvrir qu'après ma mort",
- Et le fils de Rachel lui annonce qu'il part vivre à New-York avec femme et enfant.

Nous comprenons au fur et à mesure que ces trois femmes sont reliées par une tragédie.
Je trouve que l'action arrive tardivement. J'ai réellement été curieuse à partir du moment où "le secret du mari" est révélé à la personne la plus concernée (comprendra qui pourra). C'est à dire à la fin du roman.
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Cela fait un moment que je voulais lire ce livre et je n'ai pas été déçu, un petit peu décontenancé au début car il s'agit plus d'un roman que d'un polar et donc le rythme est plus lent.

On suit plusieurs famille au début qui n'ont pas de liens entre elles et puis au fur et à mesure on se rend compte des connexions entre celles-ci. L'auteur tisse comme une toile d'araignée que l'on découvre fil après fil.

Tout débute vraiment lorsque Cécilia découvre une lettre de son mari John-David ou il est indiqué qu'elle ne doit l'ouvrir qu'après sa mort. Celle-ci pose des questions à ce sujet à son mari se trouvant en déplacement et celui-ci avance son retour afin que sa femme ne la lise pas.

Cécilia a pourtant tout pour être heureuse un mari , des enfants des ventes de Tupperware qui marchent très bien mais sa curiosité est plus forte que tout elle va ouvrir cette lettre.

Les autres personnages du récit son également très bien campé John-David le mari de Cécilia, leur fille Polly, Tess, Connor etc...

Tout s'accélère jusqu'à la fin et on trouve enfin le lien entre tous ses personnages, je suivrai à nouveau l'auteur avec son dernier bouquin.
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