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EAN : 9782365770750
256 pages
Urban Comics Editions (28/09/2012)
3.63/5   26 notes
Résumé :
Arrivé depuis peu à Metropolis, Clark Kent prend ses marques en tant que reporter, et fraye avec les journalistes du Daily Planet, Jimmy Olsen et Lois Lane. Mais il défend également la justice sous le costume de Superman, s’en prenant autant à la corruption politique qu’aux machines futuristes qui envahissent sa ville ! (contient Action Comics # 1-8).
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Alpagué par mes dernières lectures de Superman version DC Renaissance, j'ai décidé de continuer en reprenant les choses au début, avec une nouvelle version des origines du super-héros (Renaissance était un reboot, rappelons-le). C'est Grant Morrison qui est aux commandes.

Je suis bien séduit par ce que j'ai lu. J'ai bien apprécié de découvrir cet apprenti héros qui fait ses premières armes à Métropolis en t-shirt, jean et rangers (et cape de mauvaise facture) qui se déchirent sous l'ampleur des coups et de la friction provoquée par se vitesse. J'ai en revanche trouvé un peu cliché toute cette poursuite et cet emprisonnement que l'armée lui fait subir. C'est réaliste, c'est sûr : un super gars débarque d'on ne sait où, évidemment que l'armée va y voir une menace potentielle. Mais ça le rapproche trop de Hulk, du coup (en moins crétin).
Mais ça reste un détail. le personnage de Clark Kent, en journaliste pourfendeur de la pègre protégée par le pouvoir, est très bien travaillé. Un bon point aussi pour Lex Luthor, toujours aussi présomptueux et sûr de lui, mais un peu plus gras (en tout c'est l'impression que ça fait). La transformation de Brainiac en organisme interstellaire chargé de collecter les vestiges des civilisations planétaires qu'il désigne comme perdues (et élimine aussi sec) est impeccable.

Le dessin de Rag Morales est vif. Sa vision de Krypton est extraordinaire d'originalité. Mais il a du mal à stabiliser les visages qui changent trop d'aspect d'une case à l'autre. Andy Kubert n'est pas mauvais non plus. On sent déjà cependant la valse des dessinateurs qui se succèdent au sein d'un même épisode. Je déteste ça.
Mais niveau scénario : c'est un succès.
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Première approche, énorme malentendu.
J'imaginais déjà un nouveau duo légendaire Superman/Véro Genèse combattre le super vilain à grands coups de super jambon Madrange. Pas crédible pour un sou.
Pouf, pouf, je recommence...

Métropolis peut dormir tranquille, Superman veille au grain. D'ailleurs j'aperçois ce seigneur des airs en approche et en...falzar?!?!
Queuôa, quid du moule-burnes qui fit sa légende lors des mythiques Blue Fucking Nights de chez Michou ?
Les fondamentaux, les gars, les fondamentaux, merde !
Pouf, pouf, je re-recommence...

Métropolis peut...recommence.
L'objet livre est conséquent, on sent le super-héros pas vraiment accro aux 35 h.
Et pour cause, c'est pas le taf qui manque.
Entre deux sauvetages d'une populace toujours en adoration devant son demi-dieu, un léger malentendu à régler avec son ennemi héréditaire qu'est Lex Luthor et une menace extra-terrestre à juguler, pas le temps de se poser devant les anges de la télé. Dommaaaage...
Plusieurs récits, autant de scénaristes et de dessinateurs au service de ce tâcheron légendaire qu'est Superman.
Ma préférence, et de très loin, va à la paire Morales/Morrison qui vous balance d'entrée de jeu une aventure dense et enlevée.
Pour ce qui est des suivantes, j'aurais un avis plus mitigé, le bon alternant avec le plus discutable.

Ce Superman Genèse saura convaincre dans sa globalité pour peu que l'on ne soit pas en recherche d'excellence...

3.5/5
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En 2011, à la suite du crossover Flashpoint, DC Comics remet à zéro l'ensemble de son univers partagé dans une opération batpisée "New 52". le personnage de Superman a droit à 2 nouvelles séries : Superman et Action Comics. La particularité de cette dernière est de se dérouler au début des apparitions de Superman. le présent tome comprend les épisodes 1 à 8 de la série débutée en 2011. Tous les scénarios sont de Grant Morrison.

1ère histoire (épisodes 1 à 4, 7 & 8, dessins de Rags Morales, avec l'aide Brent Anderson pour 1 épisode, Gene Ha pour 7 pages, et Brad Walker pour le dernier épisode, encrage de Rick Bryant, John Dell, Sean Pearsons et Bob McLeod en fonction des épisodes) - À Metropolis, un curieux jeune homme à la force herculéenne et à la vitesse impressionnante s'en prend à Glen Glennmorgan un capitaine d'industrie habitué à rogner sur la qualité aux mépris des règles de sécurité. La police est impuissante à l'arrêter. L'armée (par l'intermédiaire du général Sam Lane, le père de Lois) a requis l'aide de Lex Luthor comme consultant extérieur, et grâce à ses idées et sa stratégie ce jeune qui se fait appeler Superman est fait prisonnier.

Superman est un personnage créé par Jerry Siegel et Joe Shuster dont les premières aventures ont été éditées en 1938 (à commencer par Archives Superman 1939-1940). La première modification significative dans la continuité du personnage intervint en 1969 quand DC Comics introduit la notion de terres parallèles dans son univers partagé. le Superman originel ayant combattu pendant la seconde guerre mondiale prend de l'âge et vit sur la Terre-2, alors que sur notre Terre (la terre principale) Superman est arrivé sur Terre après la seconde guerre mondiale. La seconde modification majeure apportée au personnage intervient quand DC Comics décide de simplifier son univers partagé avec terres parallèles à gogo. En 1986, l'histoire Crisis on Infinite Earths met fin à la continuité en place et la minisérie L'homme d'acier de John Byrne fait repartir le personnage à zéro en introduisant des changements significatifs dans son histoire tels que Pa & Ma Kent sont toujours en vie, il n'a jamais été Superboy et ses niveaux de pouvoirs sont rabaissés.

Ce nouveau démarrage de 2011 constitue une remise à zéro complète et donc Grant Morrison a une latitude équivalente à celle de John Byrne en 1986 pour redéfinir plusieurs éléments du canon du personnage. Sa mission est complexe car il doit bâtir une histoire suffisante par elle-même, lisible par les nouveaux lecteurs ne connaissant rien du personnage (en existe-t-il vraiment ?), servir de point de départ pour toutes les histoires qui suivront pour ce personnage et donc être d'une logique interne à toute épreuve tout en offrant des possibilités d'extension pour des années à venir. Petit défi supplémentaire : Morrison doit réussir à introduire assez d'originalité pour ne pas donner l'impression de répéter une histoire déjà redite ad nauseam.

Grant Morrison a pris le parti de situer cette première histoire au tout début de la carrière de Superman, alors qu'il ne porte pas encore son costume traditionnel, qu'il n'y a pas d'autre superhéros à l'horizon, qu'il est tout jeune adulte et qu'il ne dispose pas encore de la plénitude de ses pouvoirs (pas de capacité de vol autonome). le résultat est incroyablement novateur. Voici un jeune homme vif, souriant, espiègle, aimant la vie, défendant les opprimés. Rags Morales lui donne une apparence cohérente avec ce caractère : un jeune sûr de son bon droit, ayant l'assurance que peuvent donner ses pouvoirs physiques, prêt à sourire, avec une légère tendance toute naturelle à parader. Morales habille Clark Kent de vêtements amples pour cacher sa musculature et lui donne une coupe de cheveux à la Harry Potter, à la fois crédible et irrésistible.

Rags Morales utilise une idée toute simple, et très efficace pour donner une apparence spécifique au personnage. Comme prévu dans le scénario, Superman ne porte pas son costume bleu et rouge ; Morales lui donne un simple T-shirt avec un S, un jean rapiécé au genou et des godillots d'un autre âge. Cette forme de proto-costume entérine de manière parfaite le fait qu'il s'agit des débuts de Superman. Cette apparence issue d'une campagne surannée et un peu idéalisée est renforcée par le décalage avec la modernité de Metropolis où Lois et Jimmy utilisent des smartphones et tiennent chacun un blog. Même s'il apparaît que Morales fatigue d'épisode en épisode et qu'il était temps qu'il passe la main à un autre illustrateur, il a su créer une nouvelle identité visuelle forte pour les débuts de Superman. Une case dans le premier épisode permet de découvrir la source d'inspiration de Morales : il apparaît les lettres WE sur un mur, écrites avec la graphie utilisée par Will Eisner pour signer ses oeuvres.

De son coté, Morrison jongle donc avec une histoire à raconter, et des éléments de continuité à redéfinir et à poser. Pour l'intrigue, il a choisi la trame de l'extraterrestre qui vient pour détruire la Terre. le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il s'agit d'un cliché éculé aussi original que le robot destructeur (ah, tiens, il y en a aussi). Ce n'est pas parce que cet extraterrestre a des liens organiques avec Superman et Krypton qu'il en devient plus original. Heureusement cette intrigue soporifique et usée jusqu'à la corde est compensée par une personnification savoureuse des principaux personnages (Lois Lane, Jimmy Olsen, Lex Luthor, etc.) avec des variations originales et intelligentes, et l'apparition de quelques personnages originaux très intrigants dont madame Nyxlygsptlnz, la logeuse de Clark Kent ou encore l'insaisissable associé de Glennmorgan. Il réussit également à intégrer un ou deux concepts ébouriffants dont il a le secret tels que la véritable origine d'internet. Pour un nouveau lecteur, c'est un vrai plaisir d'assister aux débuts du personnage dans un scénario qui s'intéresse aux personnages. Pour un ancien lecteur, c'est un plaisir rare que de lire une histoire originale de Superman, novatrice et respectueuse des personnages. Grant Morrison tient son pari de raconter une histoire prenante et surprenante des origines de Superman.

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2ème histoire (épisodes 5 & 6, dessins d'Andy Kubert, encrage de Jesse Delperdang) - Dans un lointain système solaire, sur une planète appelée Krypton, Lara et Jor-El font face à l'effondrement de leur planète. Leur enfant est recueilli sur Terre par un couple de fermiers, mais l'armée récupère le vaisseau dans lequel il est arrivé, avec en particulier son système de propulsion et le carburant.

C'est l'occasion pour Grant Morrison de développer sa vision de la vie sur Krypton, le mode de vie, le positionnement de Jor-El, mais aussi d'inclure un voyage dans le temps, avec des visiteurs du futur et de définir les nouvelles règles du jeu concernant la kryptonite. Morrison s'amuse comme un petit fou avec une structure complexe (les voyages dans le temps, ça donne souvent mal à la tête) et une réinstauration de plusieurs éléments kitch qui avaient disparu avec la nouvelle continuité instauré à partir de "L'homme d'acier". le lecteur peut à nouveau apprécier la structure narrative élaborée et l'amour de Morrison pour les éléments les plus farfelus de la continuité pré-Crisis. Il peut aussi craindre que ces mêmes éléments aux mains de scénaristes moins doués ne fassent retomber le personnage dans des histoires infantiles. Seul l'avenir permettra de savoir. Les illustrations de Kubert sont faciles à lire, détaillées, agréables à regarder, mais assez fades à mon goût. Après 2 épisodes, il n'y a aucun visuel qui me reste à l'esprit.

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Histoires supplémentaires - (1) Steel (Henry Irons) sauve des vies alors qu'une partie de Metropolis a été enlevée et emmenée dans l'espace, en 16 pages. le scénario est de Sholly Fisch, et les illustrations de Brad Walker. (2) Jonathan et Martha viennent de se marier et essaye de concevoir un enfant, en 8 pages. (3) le temps est venu pour Clark Kent de quitter le Kansas et de faire ses adieux à ses 2 meilleurs amis, en 8 pages. le scénario de ces 2 dernières histoires est également de Sholly Fish, et les illustrations de Chris Cross.

Ces 3 histoires se lisent rapidement ; elles sont linéaires et simples. Elles permettent de développer le personnage d'Henry Irons, de préciser les relations de couple des parents Kent, et d'introduire les 2 amis d'enfance de Clark. Walker et Crisscross réalisent des illustrations détaillées et immersives. Walker apporte une texture plus importante à ses dessins qui en deviennent plus intenses.

Le tome se termine avec la reproduction des 8 couvertures variantes, de quelques croquis préparatoires accompagnés de brefs commentaires de Grant Morrison, de Rags Morales et de Gene Ha.
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Je ne suis pas fan de Superman à la base. J'aime bien, comme divertissement, mais pas plus. Que ce soit en série télés ou au cinéma, c'est un des héros de DC Comics qui a le plus été adapté. Des "Superman" avec Christopher Reeve au reboot avec Henry Cavill, de "Lois & clark" à "Smallville", l'histoire de Superman a.k.a Clark Kent, on la connaît, peu importe les variations. J'aurais tendance à dire qu'on la connaît un peu trop.

Du coup, c'est pas compliqué, les redémarrages de ce personnage, j'en ai super-marre ! Mais dans le cadre des "The New 52" aux USA, la série "Action Comics" a choisi de revenir aux sources et nous voilà en compagnie d'un héros tout jeune, dans un costume peu élaboré.

Était-ce utile ? Même pour les néophytes ? Franchement je sais pas trop. Superman est déjà très ancré dans la culture pop, un peu comme Batman ou Spider-man. du coup, le rappel continu des origines de ce super-héros devient trop redondant.

Les variations sont là mais n'empêchent pas le sentiment de déjà-vu. L'histoire n'est pas toujours très claire. Les dessins ne sont pas toujours du même niveau et j'ai eu la sensation qu'entre Superman et Clark Kent, le visage changé beaucoup trop.

Je pense sincèrement, qu'il doit y avoir beaucoup mieux pour se lancer dans l'univers de Superman. Pour le moment, je conseillerais plutôt de lire par exemple "Aquaman" qui nous propose un héros méconnu dans une série de qualité.
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Le fameux relaunch « The New 52 » de DC Comics, rebaptisé DC Renaissance par Urban Comics, se poursuit donc avec la remise à zéro de la série Action Comics par Grant Morrison. « Superman : Genèse » reprend donc les huit premiers épisodes U.S. d'Action Comics, qu'Urban Comics a eu la bonne idée de publier dans le bon ordre. le premier arc avait en effet été interrompu après le quatrième épisode pour permettre à Rag Morales de reprendre son souffle, pour ne reprendre qu'au septième épisode. L'éditeur français a donc la bonne idée de reprendre d'abord l'intégralité du premier arc (Action Comics #1-4, #7-8), suivi des back-ups des numéros d'Action Comics #4 à #7 et du deuxième arc dessiné par Andy Kubert (Action Comics #5-6).

Cette histoire qui se situe au début de la nouvelle chronologie DC (les super-héros ne sont apparus qu'il y a 5 ans), avant la formation de la Justice League, s'attaque donc aux origines de Superman. Clark Kent n'a quitté sa campagne natale que depuis quelques mois et effectue ses premiers pas en tant que super-héros. Clark Kent est un jeune journaliste idéaliste, qui a du mal à payer ses loyers et qui fait un peu penser à Peter Parker. Il n'est plus aussi naïf que son ancienne version, a plus d'assurance et semble bien décidé à utiliser sa plume pour faire bouger les choses à Metropolis et pour combattre les mêmes injustices que Superman. Ce dernier utilise d'ailleurs ses pouvoirs pour combattre la corruption et défendre les plus défavorisés. Il est encore vêtu d'un jean, d'un simple T-shirt et d'une misérable cape et n'est pas encore pleinement conscient du potentiel de ses pouvoirs. On est donc bien loin du symbole de l'Amérique capitaliste et le fait de découvrir un héros plus vulnérable, plus fougueux, qui s'en prend aux multinationales, est finalement assez intéressant.

Malheureusement, Grant Morrison choisit de ne pas s'attarder sur ce Superman qui ne vole pas encore et qui doit repousser les limites de ses pouvoirs pour s'en sortir indemne. La jeunesse de Clark à Smallville et son départ de Krypton sont rapidement survolés en flashback et le personnage (pourtant intéressant) de Clark est vite laissé de côté au profit d'un récit qui joue pleinement la carte de l'action. Malgré des éléments intéressants, l'évolution du personnage est beaucoup trop rapide et une fois la menace extra-terrestre présente, le récit perd beaucoup de son intérêt.

Si je n'ai pas trop aimé la fin du premier arc en compagnie d'un Brainiac aspirant Metropolis dans une bouteille, j'ai trouvé le deuxième arc carrément indigeste. Superman qui effectue un bond dans le temps suite à l'arrivée de la Légion des Super-Héros, pour y affronter une armée « Anti-Superman » qui s'est emparée de la batterie du vaisseau qui l'a emmené sur Terre : c'est beaucoup trop complexe pour moi. Bref, j'ai décroché, même si le dessin d'Andy Kubert est toujours aussi plaisant.

Les back-ups sont assez brefs, mais beaucoup plus plaisants à lire. Scénarisés par Sholly Fish, ces histoires permettent de s'attarder sur le personnage de Steel, de revenir sur le passé de Clark et de sa famille, juste avant son arrivée sur Terre et peu avant son départ pour Metropolis. C'est plutôt sympa, sans être transcendant.

Visuellement, l'alternance de dessinateurs a toujours tendance à me déranger, surtout qu'ici, leurs styles varient tout de même beaucoup. Si la majorité de l'album est dessinée par Rag Morales, le lecteur a également droit aux passages d'Andy Kubert, Brent Anderson, Gene Ha, Brad Walker et Chris Cross. le trait expressif et dynamique de Morales sied parfaitement au récit, même si la qualité du dessin varie parfois d'une planche à l'autre.

Un album qui n'est pas mauvais, mais si vous voulez lire du Grant Morrison sur Superman, lisez plutôt All Star-Superman.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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critiques presse (5)
ActuaBD
15 février 2016
Un récit orienté action, sans temps mort où Sup’ partage la vedette avec son amie d’enfance : l’intrépide et tête brûlée Lana Lang !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BullesEtOnomatopees
25 avril 2013
Action Comics se révèle donc être une bonne série mettant en scène Superman. Malgré un scénario parfois brouillon, elle est globalement intéressante.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
ActuaBD
03 janvier 2013
DC redonne à Action Comics ses lettres de noblesses en revisitant, une fois encore, les origines de son super-héros phare. Ce travail échoit à Grant Morrison, le visionnaire, qui livre ici un jeune Superman plus en phase avec ses premières aventures
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
01 août 2012
De ce reboot [de l'univers de DC Comics] , finalement, s'il ne fallait garder que quelques séries, celle là serait certainement parmi le peloton de tête !
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
22 septembre 2011
Action Comics est une sorte de brise fraîche depuis le marasme d’avant le reboot, tel Action Comics 900 et l’inégale dernière saga Return of Doomsday.
Nous avons vraiment hâte de lire le prochain numéro.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
— J'ai absorbé la dernière multidiff de Jor-El où il dit que les récents tremblements de terre de Krypton correspondent à la théorie tectonique de Dal-Vo. Mais ça ne signifie pas qu'il a raison pour la fin du monde.
— Espérons que non ; la fin du monde gâcherait ma fête.
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Lex Luthor n'as jamais joué du bongo !
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