C’est un homme admirable, de ces personnes qui donnent envie de croire encore à l’humanité.
- Fais-moi confiance, Borys, je vais te trouver une autre famille...
- Madame, s'il vous plaît, dites-moi combien on peut avoir de mamans ? Parce que moi, je viens de perdre la deuxième. (p. 37)
J'ai mis des années à accepter d'avoir survécu.
C'est en secourant toutes les détresses qu'on arrêtera les guerres.
Je l'entends encore dire : « Les gens doivent être divisés en deux catégories ! Les bons et les méchants. Leur race, religion ou nationalité n’a aucune importance ».
Mais moi,j'ai besoin de vivre. Et je ne peux le faire qu'en allant là où j'ai décidé.
La vie m'a appris à ne jamais juger.
J'essayais de tirer parti de chaque instant de sérénité.
Tu sais bien que je serai toujours là pour toi.
J’ai apprécié de retrouver la référence à Martin Gray dans cette BD. (Page 42)