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Depuis le premier tome de sillage je suis complètement sous le charme des graphismes et de l'imagination du dessinateur.. les êtres non humains de cette série me bluffe a chaque fois. Et pour le coup ce tome 18 en est rempli.. des déjà vus, des inconnus.. mais aussi une flotte de vaisseaus incroyables.. bref j'en ai pris plein les yeux.

Pour l'histoire, elle m'a semblé un ton en dessous, mais c'est aussi cette multitude qui nuit au scénario.
Navis a toujours son grand coeur et sa grande gueule... enfin de quoi me réjouir a chaque voyage interstellaire sur ou avec Sillage
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Ce tome 18 maintient la série dans une régularité et une efficacité qui n'ont plus à être prouvé en proposant une histoire qui suit directement, ou presque, les événements du tome précédent. L'ornosphère dont on ne savait rien, révèle sa vraie nature, et son extrême dangerosité, au point de mettre en péril la survie même de Sillage et de la totalité des peuples qui le constituent.
C'est une véritable course contre la montre dans laquelle se lancent Nävis, Bobo, Snivel et la petite Juliette, qui n'est autre que le Jules du tome 17. À ce propos, celui ci change de sexe sans qu'on nous donne une once d'explications. Juste une remarque de Snivel en fin de tome 17, qui disait qu'il n'est pas ce qu'il paraît être. J'espère que ce personnage va évoluer par la suite, son potentiel pouvant être énorme. Et si le gamin en question était capable de changer de sexe à volonté et que sa personnalité s'en trouvait elle aussi complètement transformée? C'est déjà le cas ici, puisque Jules n'a rien à voir avec Juliette. Quand le premier est une tête pensante, sûr de lui et confiant à toute épreuve, la seconde ne cesse de remettre en question son utilité et ses choix. Cela pourrait devenir intéressant pour la suite et donner lieu à de chouettes intrigues. Mais je ne suis pas l'auteur .
Toujours est il que ce tome 18 se définit par le rythme haletant du récit qui ne laisse aucun temps mort au lecteur. Jean David Morvan trouve encore des choses à dire sur son univers, et des aventures palpitantes à faire vivre à son héroïne. On le suivra donc encore...
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Suite à son séjour sur Tri-JJ-68 Navis a rapporté une autochtone et une mission. Pour la petite surdouée nommée Juliette se faire accepter par Sillage sera une simple formalité surtout que ses talents vont être très utiles à Navis pour sauver le convoi interstellaire de cette terrible épidémie qui répand à la vitesse de la lumière.

Un bon tome de Sillage sans grosse surprise mais plutot appréciable. ca se lit avec plaisir et on ne s'ennuie pas.
La petite Juliette est bien plus sympathique dans ce tome. Il faut dire qu'elle a subit, en plus de sa révélation sur son sexe, une métamorphose psychologique. le gamin surdoué et sur de lui, très prétentieux et largement casse pied sur les bords c'est transformé en une filette qui doute de son utilité et de ses capacités.
Navis, Bobo, Snivel et le magister sont égaux à eux même. Et petit à petit on apprend à connaitre Yannseï.
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Avec ce tome Sillage, qui avait connu un moins durant quelques tomes, redevient une lecture agréable, appréciable. Evidemment nous ne retrouvons pas la fraicheur des premiers tomes.
Nävis, qui est parfois agaçante par sa réussite et ses airs hautains (on attend toujours qu'elle soit un peu plus humaine), partage la vedette avec la petite et intelligente Juliette qui n'en ai pas moins sensible, et Bobo qui se découvre une nouvelle facette. Et puis face à une épidémie contagieuse, les sillagiens se serrent les coudes pour une ambiance de fin du monde pleine de solidarité.
De l'action, une histoire bien montée même si elle est cousue de fils blancs. La fin est un peu facile.
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J'aime toujours autant l'univers de Sillage et ses personnages. Un space-opéra riche en aliens, débats et conflits, luttes et malfrats, vaisseaux spatiaux et humour agréable.
Depuis le tome 15, on a plus affaire à des one-shots pour continuer la sage qu'une véritable série suivant une trame jusqu'à sa résolution finale. Ce qui était le cas avant.
Mais ce tome, qui propose un problème de terrorisme biologique résonne étrangement à notre actualité. Un virus se répand presque par mégarde et menace de créer un véritable génocide au sein du convoi. Une course contre la montre pour trouver un antidote est lancé.
La série perd de son intérêt un peu. Mais il m'est toujours agréable de tomber sur le dernier tome à la bibliothèque et de savourer les dernières aventures de Navis et de ses compagnons. Même si il n'y a plus l'envie de les avoir absolument dans mes propres étagères.
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Suite immédiate du tome précédent. Jules alias Juliette finalement pour rester dans le convoi doit être acceptée et avoir une marraine qui doit le défendre.
En parallèle on découvre que l'objet volé dans le musée dans le tome précédent est un faux et que le vrai vient d'exploser dans le convoi : il s'agit d'une bombe "sale" qui répand une épidémie fulgurante et mortelle. Elle s'attaque en premier aux psy actifs (que n'est pas Navis ni Juliette d'ailleurs), Bobo est un peu moins immunisé et va être contaminé. Une nouvelle mission pour Navis et son équipe!
Plus dans l'action pure que dans le précédent tome, moins de réflexions.
A lire.
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bien mieux que le 17 qui était carrément nul , on retrouve enfin la vraie BD
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