Le quatrième tome de « Banale à tout prix » viens d'être édité en France pour notre plus grand plaisir. Cette série est toujours en cours au Japon et compte déjà neufs tomes parus au pays du soleil levant. Les péripéties qui égayent le quotidien de Koiko et Tsurugi ne sont donc pas prêtes de s'arrêter.
Dans ce nouveau tome, le récit continu à se dérouler tout en douceur. Mais un évènement important va se produire : le fameux voyage scolaire, qui est un instant important de beaucoup de shojos, va bouleverser les habitudes de nos deux charmants lycéens. En effet, à la fin du tome trois, nous apprenions que les deux protagonistes principaux de ce récits allaient passer leur prochaine année scolaire au sein de la même classe. Dans ce quatrième tome, l'année à peine entamée, tous les élèves de la classe vont partir ensemble en excursion, et ainsi resserrer les liens qui les unissent.
Comment Koiko et Tsurugi vont-ils gérer la situation alors qu'ils essaye de faire comme s'ils ne se connaissait pas ? Et comment les choses vont-elles évoluées alors que la soeur de Koiko débute son travail de professeure de japonais au sein du lycée que fréquente sa petite soeur ? Toutes ces questions trouveront des réponses dans ce nouveau volume au cours duquel les choses vont finir par évoluer.
Le rythme de ce tome est vif et l'ambiance toujours aussi mignonne. On a vraiment hâte de voir nos deux tourtereaux sauter le pas et se mettre enfin en couple. Les dessins sont toujours aussi doux et agréable. La lecture reste fluide tandis que notre intérêt pour cette belle histoire d'amour toute en innocence ne diminue pas d'un pouce.
Si vous avez aimé les précédents tomes de « Banale à tout prix », celui-ci vous plaira également. Et il faut bien l'avouer, le cliffhanger de fin est assez fou pour donner à tous les lecteurs une envie fabuleuse de pouvoir se déplacer dans le temps pour lire immédiatement la suite de cette série dont il va malheureusement falloir attendre la parution prochaine 😉
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Koiko: Je me suis mal exprimée! Pour commencer, tu n'es pas un objet, on ne peut pas te donner à quelqu'un, c'est ridicule. Et puis, ce n'est pas comme si tu m'appartenais. Alors bon...
Tsurugi: ça ne me dérangerait pas de t'appartenir.
C'est difficile à expliquer... mais tu me manquais.