Parfois, on est coincée parce qu’on ne trouve pas la sortie. Les émotions les plus difficiles – la colère, le chagrin, le désespoir, l’impuissance – peuvent être trop perfides pour qu’on les traverse seule. On se perd et on a besoin de quelqu’un d’autre, d’une présence aimante, pour nous aider à retrouver notre chemin.
Les émotions sont des tunnels. Si vous les traversez jusqu’au bout, vous trouvez la lumière.
L’épuisement se produit lorsqu’on se trouve coincée dans une émotion.
Le problème, ce n'est pas que les femmes n'essaient pas. Au contraire, on passe notre vie à essayer, à essayer de faire et d'être toutes ces choses qu'on exige de nous.
Le repos mental n'est pas synonyme de paresse ; c'est le temps nécessaire au cerveau pour intégrer le monde extérieur.
Que faire de ce chagrin ? Traverser le tunnel. Le laisser avancer en vous.
La vérité vous libèrera, mais d'abord elle vous mettra en rage.
Ce n'est pas parce qu'on ne voit pas quelque chose que cette chose n'existe pas.
Le bien-être ce n'est pas un état mais une action.
𝐿𝑒𝑠 𝑒́𝑚𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑢𝑛𝑛𝑒𝑙𝑠.
𝑆𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑧 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡,
𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒.
Being alone as an infant isn’t just lonely; it’s a matter of life and death—and it’s not just that babies die if they aren’t fed and kept warm and held out of reach of predatory carnivores. Babies can literally die of loneliness itself, even if their other needs are met.
Contact with another person is a basic biological need; loneliness is a form of starvation.