Chloé est une jolie femme, elle est blonde californienne, elle porte très bien le carré court et elle a de grands yeux verts. J’adore son regard, et grâce à notre mariage, elle est devenue une femme riche. Ses parents n’étaient que pharmaciens, à Zurich, en Suisse. Nous nous sommes rencontrés lors d’un séminaire, il y a maintenant huit ans. C’est une ancienne assistante de direction. Je l’ai conquise et je l’ai épousée car elle est tombée enceinte et m’a donné ma merveille. Je ne serai pas marié s’il n’y avait pas eu Apolline. Elle aurait été une simple maîtresse, de passage comme les autres. Mais Apolline est là et la famille, c’est sacré pour moi. Je ne divorcerai pas de Chloé, même si je ne peux pas me passer de mes maîtresses.
Elle est toujours rapide, c’est ma femme. Je la connais par cœur. Je ne pars plus à la recherche de son plaisir, je sais où aller et comment la faire jouir. Chez mes maîtresses, c’est toujours la nouveauté. Je les largue quand j’en ai marre et Marc se charge de leur faire garder le silence. A son tour, elle passe sa main dans mon pantalon et me branle. Je durcis instantanément. Je vais la prendre, maintenant, j’en ai envie. J’enlève le dernier rempart qui me cache son sexe. Je baisse mon pantalon. Je fais jaillir mon sexe et je m’enfonce en elle. Elle crie. Je rentre et je sors, elle aime cela. Et quand je la sens se raidir, je la prends comme j’en ai l’habitude. Je jouis ensuite, sans trop de plaisir.
Je suis un infidèle. J’aime me faire plaisir et j’aime donc baiser de jolies jeunes femmes. J’en ai besoin. Mais ce sont des maîtresses éphémères.
Par contre, je la mettrai bien dans mon lit. Une sportive ! Tout doit être ferme et elle doit être endurante.
Il y a toujours des moyens de contourner la loi !