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sur 413 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Durant la guerre du Vietnam, le narrateur, nommé Capitaine, est une taupe, officiellement bras droit d'un général du Vietnam du Sud. Comme le dit un de ses amis, il est bien planqué :”La mission d'un espion est de se cacher là où tout le monde peut le voir et où il peut tout voir”. Ce livre est sa confession.
A l'époque, en 1975, ils sont trois amis, trois frères de sang, Capitaine, Bon et Man. Ils se nomment Les trois mousquetaires. Bon est nationaliste, Man et Capitaine, communistes. Un peuple, des familles divisés, et entre eux Les États-Unis, un sujet qui ne fera que du mal. C'est cette triste histoire que nous abordons dans ces pages, d'un passé qui semble lointain mais qui se répète depuis à volonté sur d'autres scènes géographiques mondiales, une guerre civile menée d'une main de maître, celle des différentes puissances mondiales....et qui finit toujours mal.
Tout est ambigu chez cet homme, fils naturel d'un prêtre catholique et de sa bonne vietnamienne, né dans le Nord,enfui lorsque les communistes l'occuperont, et passé au sud, leur espion, pas facile une identité nette avec cette donne-là. Il en souffre aussi, d'où le nom du livre....un sympathisant, un homme capable de sympathiser avec les deux côtés.
À la chute de Saigon, ces «  hauts dignitaires » des forces armées du Vietnam du Sud , on les retrouve en Californie, où ils poursuivent leurs «business », y compris notre taupe. le business de la taupe va se corser.....

J'ai trouvé cette histoire trop américanisée, fortement teintée du racisme de “l'homme blanc” pour la race jaune mais aussi vice versa, de la condescendance du narrateur pour eux. Ces deux dernières remarques ne sont pas nécessairement dans le sens négatif. Les dialogues du Capitaine avec l'arrogant « Auteur » de Hollywood soulignent bien l'arrogance couplée d'ignorance de l'Américain et d'autres vérités sur un peuple qui a voté dernièrement à la majorité pour un type comme Trump, sont très juste vues. J'attendais juste une histoire plus originale, une perspective plus vietnamienne, alors que c'est hybride, vu que déjà, c'est écrit en anglais.
Ce personnage de taupe aussi ne m'a pas vraiment convaincue, même à la fin,....un personnage ordinaire, que le narrateur lui-même confesse (« such a man best belonged in a low-budget movie, a Hollywood film », un homme pareil ne pouvait être qu'un personnage de film hollywoodien bon marché). J'ai eu du mal à saisir certains points dans son histoire, comme l'interêt de raconter et comparer ses ébats sexuels zoophiles ( ici il est question d'une poulpe) avec le massacre, la torture,.....de la guerre; il pense que le premier n'est pas obscène, comparé au massacre et à la torture de milliers de personne, quel rapport ? ; j'ai été peu convaincue de l'intérêt pour les communistes de ses lettres à la tante, ou de ses réflexions analytiques ou philosophiques, genre "fast food", des recettes à l'américaine, simplistes, sur des questions existentielles, “A person's strength was always his weakness, and vice versa.”( la force de quelqu'un est toujours sa faiblesse et vice versa), rien de bien profond. Même la fin est hollywoodienne,....ce n'est que mon avis bien sûr .

Bref ce livre ne m'a rien apportée de nouveau sur cette guerre ni sur ce pays, ni en réflexions, en générale, sinon qu'une fois encore à me faire révolter à la pensée de tout ces morts, ces vies gâchées. Pour quel résultat ? le pays est toujours communiste, dans le sens de ce qui reste de cette idéologie. Ceux qui les gouvernent sont toujours aussi corrompus et maintiennent toujours étroitement leur joug sur les civiles, sauf que peut-être le peuple vit un tout petit peu mieux mais toujours assez loin de l'aisance. Finalement qui en a profité ? les marchands d'armes et de toutes sortes de drogue et autres contrebandiers, sans compter les dirigeants communistes du pays, qui eux-mêmes peinent à croire à leur propre idéologie. Si on les avait laissés seuls se débrouiller, ils s'en seraient beaucoup mieux sortis que tout ce gâchis, car c'est un peuple très travailleur et très débrouillard.
Mais je ne regrette pas de l'avoir lu. C'est bien écrit ( v.o.), un anglais bien manié mixé à un humour subtile, d'où je pense son prix Pulitzer plutôt que pour l' histoire (à moins que appréciée pour son côté très américain :) ), dont le coté humain des contradictions du narrateur et sa lucidité à la fin, ajoutés à la nostalgie de l'exil n'en restent pas moins émouvants .
La seule chose importante que je retiens de ce livre c'est l'Amitié, primordiale pour moi.
Je remercie palamede dont l'excellent billet m'a poussée à le lire, alors que je n'en avais nullement l'intention.
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« J'avais à peine l'occasion de dormir, car un agent dormant est presque toujours victime d'insomnie. Peut-être James Bond arrivait-il à dormir tranquillement sur ce lit de clous qu'est la vie d'espion – pas moi. » p.101 Isolée comme un agent infiltré cette phrase travaillée pourrait faire silencieusement son chemin jusqu'à subrepticement modifier l'opinion du lecteur. Hélas, trop nombreuses elles se font remarquer, finie la discrétion, oubliée la subtilité, anéanties les chances de surprise. Bonjour la lourdeur, de la répétition naît l'ennui d'un travail à la chaîne.

Pendant près de 400 pages, je n'ai pu m'empêcher de penser pfff que c'est long, pourquoi tant de détails, d'affirmations si tôt atténuées par d'autres informations venant partiellement les contredire, pourquoi des faits semblant importants au départ devenaient-ils évanescents ? C'est seulement à partir du chapitre 19, je le confesse, qu'il m'apparut de plus en plus clairement que trop d'informations tuent aussi sûrement l'information que trop d'effets de style ne tuent le style en effet. S'il y a une pratique reprise allégrement par le communisme à la religion c'est l'exercice de la confession auquel est contraint cet espion communiste infiltré dans la police spéciale du Sud Vietnam comme aide de camp d'un général ennemi.

Qu'il est difficile de conserver toute sa crédibilité quand on est sans cesse obligé de porter un masque et inévitablement appelé à participer à des actions contre son camp pour protéger sa couverture. Dangereux et sans gloire ce jeu d'information désinformation et grand le risque de finir par sympathiser à force d'être immergé dans l'autre camp. Si les déviances du capitalisme et les défauts des américains sont pointés en long et en large dans la première partie celles du communisme apparaissent criantes dans la seconde, en commun la corruption et les cercles de pouvoir.

La dénonciation des deux systèmes pose clairement la question de la représentativité qui est centrale dans le roman. L'on ne peut que s'interroger combien facilement un état peut perdre sa souveraineté dans le jeu géopolitique que mènent les puissants prenant appui sur les ambitions personnelles de quelques-uns pour servir leurs (pas si) propres intérêts. « Car la question de savoir qui était le peuple et ce qu'il souhaitait demeurait sans réponse. » p.282

Question d'autant plus complexe que nombre d'individus sont écartelés par leurs histoires dans le temps et l'espace ainsi que par leurs liens familiaux et d'amitiés. Ne serions nous pas tous des boat people, ou du moins en puissance ? Et ne sommes-nous pas surtout coupables de ce que nous ne faisons pas ? Au final pas mal de profondeur donc, mais plus de questions que de réponses. Je plains les chinois pour lesquels un renforcement de la pratique vient d'être annoncée par leur président Xi Jinping, autant que les turcs en prison ou les soldats au combat et les espions en mission ; les plus à plaindre ne sont-ils pas au bout du compte les migrants déracinés ?
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Dans "le Sympathisant", tous les ingrédients épicés d'un roman d'espionnage sont réunis :
 le titre équivoque , « sympathisant », un qualificatif qui en dit long ou pas assez finalement, sur celui qui est "sensé approuvé l'idéologie d'un parti ou d'une organisation sans en être membre ". Mais au final de quel parti concrètement ? , car il commettra des exactions, des abominations dans les deux camps.
 L'alternance du passé, du présent et d'un futur plus ou moins incertain basés sur des évènements historiques effectifs, une actualité prégnante.
 Un agent double, « the mole », la taupe, un eurasien, (un homme, aussi soufrant de sa dualité de par ses origines)
 Des huis-clos sinistres , de l'alcool fort (dont le whisky, bien sûr) , des tonnes de cigarettes (intoxiquée par toute cette fumée âcre, je toussote encore), des petites
« pépées »…
 de l'humour, de la dérision, de la violence, des mensonges, des complots, du sang …

L'action démarre le 30 avril 1975, mois « le plus cruel de tous », quand s'achève la Guerre du Vietnam, fin d'un long conflit pour certains, début d'une paix précaire pour d'autres, départ en exil pour beaucoup.
Le capitaine, le narrateur, c'est lui l'espion, l'agent secret, l'homme au double visage, exfiltré de justesse avec le Général de l'armée du Sud-Vietnam , et un autre compagnon intime qui perdra sa femme et son bébé sur le tarmac de Saigon.
Lui, est en réalité au service des communistes, les nouveaux dirigeants du Vietnam, mais il prend la route de l'exil pour poursuivre la surveillance du Général et de son armée en déroute car les perdants ont des velléités de revanche…

Une belle maîtrise du style et l'écriture , de nombreux détails historiques intéressants, mais… je n'ai pas été charmée par le narrateur, un personnage finalement un peu trop cabossé par la vie ,moins intéressant que je ne l'imaginais, dommage.
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Si tout ce que l'on croit savoir de la guerre du Vietnam se réduit à quelques films américains, ce premier roman, prix Pulitzer, risque de mettre à mal quelques certitudes.

Ce roman est la longue auto critique d'un homme dont on ne saura jamais le nom.
Fruit d'une liaison scandaleuse entre une jeune vietnamienne et un prêtre français, sa couleur n'est ni jaune ni blanche… Ayant fait ses études aux USA, sa culture est à la fois orientale et occidentale… Capitaine dans l'armée du Sud Vietnam, il est agent double pour le compte des communistes du nord... le sympathisant sans nom le dit lui même :
« j'étais cet homme aux deux esprits, moi et moi-même »

Viet Thanh Nguyen livre ici une critique intelligente d'une société américaine, dont le complexe de supériorité pousse les minorités à se sentir inférieures, tout en vantant sa volonté d'intégration et son rêve américain. C'est aussi l'histoire poignante d'un homme qui se sent seul, déchiré entre son idéal politique et cette liberté occidentale qui le fascine.

Cette confession monocorde pourrait paraître ennuyeuse si elle n'avait d'indéniables qualités d'écriture. Passant sans transition de la narration aux dialogues, mêlant souvenirs, réflexions et faits réels, l'auteur nous envoûte dans un récit complexe mais passionnant pour qui veut se donner un peu de peine. L'humour le second degré et l'auto dérision dont fait preuve le narrateur en font un personnage étonnamment attachant et ce n'était pas gagné au départ... J'avoue un légère lassitude à la moitié du roman, mais le dernier tiers reprend aux tripes et ne m'a pas lâché jusqu'à la fin.

De la débâcle de l'armée US à Saïgon jusqu'aux camps de rééducation communistes, on assistera à la tragédie des boat people, à l'horreur de torture, et même au tournage d'Apocalypse Now de Coppola.

Je remercie Babelio et les éditions Belfond de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage qui m'a sorti un peu de ma zone de confort, pour mon plus grand plaisir...

Pour les amateurs de gauloiserie, je ne peux passer sous silence qu'en un mois j'ai appris l'usage que l'on pouvait faire du rôti familial en France dans les années 50 (une vie française, JP DUBOIS) et la même tradition chez les jeunes vietnamiens avec un calmar (le sympathisant ,Viet Thanh Nguyen ) ... Je crois qu'une recherche s'impose... Vos témoignages sont les bienvenues... ^^
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Les vietcongs sont aux portes de Saigon, le narrateur prépare l'évacuation du général sud vietnamien dont il est l'aide de camp. L'attente à l'aéroport, la promiscuité,les bombes, le départ pour Guam une ville de tentes provisoires, faire la queue pour manger, ils sont devenus des réfugiés apatrides.

San Diego, un travail administratif au sein de l'université, et l'envoi des premières lettres avec entre les lignes un message rédigé à l'encre invisible à base d'amidon de riz, car le narrateur est un espion communiste. le général et Claude un agent de la CIA sont persuadés qu'il y a parmi eux un espion et cet espion il faut l'éliminer…

Une plongée à l'intérieur de la guerre du Vietnam, à travers la confession d'un agent secret. La chute de Saigon, la confusion, le chaos et la terreur, les bombes au napalm, les camps de rééducation, les interrogatoires où le prisonnier est prêt à avouer n'importe pour abréger ses souffrances. Les tortures psychologiques qui vous font perdre votre identité .A la fois thriller et drame historique,un roman dont la lecture n'est pas facile qui apporte une perspective différente sur la guerre du Vietnam et ses conséquences.

Lien : http://notreavis.canalblog.c..
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J'avais entamé ce livre avec gourmandise : vivre la fin de l'aventure américaine au Vietnam en 1975 vue par un agent double communiste vietnamien, puis son implantation aux États-Unis, c'était alléchant.
Et je suis déçu : cet agent double, je n'ai toujours pas compris pourquoi il était communiste, son regard sur le monde occidental est insignifiant.
Le seul véritable intérêt que j'ai trouvé au livre réside dans certaines digressions, souvent comiques ou loufoques. Ainsi celle dont j'ai tiré une citation, où le narrateur voulant satisfaire sa libido se livre à une pénétration dans un calmar. Bon appétit !
Quant au style il s'avère plutôt lourdingue et parfois prétentieux : pourquoi avoir supprimé les tirets dans les dialogues ? Vient un moment où on ne sait plus qui parle, et même si on est encore dans le dialogue. Pourquoi donc s'ingénier à compliquer la vie du lecteur ?
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Livre de la rentrée aux éditions 10/18, prix Pulitzer fiction 2016, oeuvre saluée par la critique, j'ai commencé « le sympathisant » de Viet Thanh Nguyen avec une envie quasi boulimique de dévorer ce livre. J'ai refermé ce dernier avec une certaine amertume.

Vietnam, 1975, un avion attend les rares élus sélectionnés pour fuir le pays au plus vite. Alors que les communistes vont bientôt pénétrer dans l'enceinte de Saigon, un général et son capitaine discutent des derniers préparatifs avant un départ forcé vers la Californie. le coeur lourd, les nouveaux immigrés vietnamiens, anciens soldats pour la plupart, doivent trouver leur place dans ce nouveau monde. Et c'est encore plus vrai pour notre narrateur - dont on ne connaitra pas le nom – qui est un espion au service des communistes.

En proie aux doutes, à des actions irréversibles et douteuses pour conserver sa couverture intacte et continuer à délivrer des informations à ses camarades restés au pays, notre agent double nous accorde sa confession.

Le pitch est parfait. Une histoire d'espion sous fond politique et de guerre sale ? Je signe tout de suite. En plus, le style est absolument irréprochable. C'est vraiment très bien écrit, parfois même poétique et toujours décrit avec force et conviction. le gros malus pour moi, est la lenteur du récit. C'est long, extrêmement long… Je me suis souvent sentie ennuyée par des descriptions et une mise en place qui s'étire inlassablement. de fait, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et à me sentir concernée par le sort des personnages. le contraste est d'autant plus marquant avec des personnages secondaires voués à une mort certaine pour qui - et ce n'est pas habituel - je n'ai ressenti aucune empathie.

C'est donc pour moi, une oeuvre politique et stylistique engagée et réussie mais pour le reste, je suis assez mitigée quant à l'impact qu'aura ce livre sur moi. J'ai l'impression qu'il ne me marquera que très peu et m'a surtout permis de me rafraîchir la mémoire en ce qui concerne le contexte de la guerre du Vietnam. Peut-être à relire dans d'autres conditions et avec un autre état d'esprit que le mien en ce moment. Profondément ambivalent, je pense que le mieux est de se faire une idée personnelle de ce livre qui en touchera certains et d'autres non.

Lien : http://www.chroniquesdurenar..
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La chute de Saigon en 1975, la fuite de certains privilégiés à bord d'avions bondés vers les Etats-Unis, la vie des Vietnamiens aux USA, le retour au Vietnam et les boat people. Vastes sujets couverts dans ce roman au travers d'un agent à la solde des communistes infiltré dans les rangs de l'armée sud vietnamienne. Autant l'histoire m'a paru intéressante, autant la lecture m'a pesé après les quelque 150 premières pages. le style d'écriture ne m'a pas trop réussi et je me suis perdue dans cette interminable histoire d'espion.
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Un homme rédige son autocritique : au lendemain de la guerre du Vietnam, cet agent double est parti vivre aux Etats-Unis. Double, il l'est aussi par son métissage.
Ce roman est intéressant sociologiquement, parfois un peu long. Le héros se cherche entre culture orientale et occidentale et est hanté par ses contradictions, ce qui en fait un personnage riche.
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Selon que l'on se place du côté américain ou du côté vietnamien, la prise de Saigon en 1975 fut une chute ou une libération. Pour le héros sans nom de ce roman, agent dormant du Nord Vietnam communiste, infiltré dans l'armée du Sud comme intendant militaire, ce fut surtout un déracinement. Car bien qu'ayant fait ses études de littérature aux Etats-Unis, le retour en catastrophe à Los Angeles de cet agent double et son exil au milieu d'une population Sud-Vietnamienne déracinée et rejetée par tous, ne sera pas une sinécure.
Et comment rester intègre à ses convictions révolutionnaires quand on est baigné dans la société capitaliste que l'on combat depuis toujours ? Un dilemme auquel sera confronté notre personnage jusqu'à son retour au pays bien plus violent qu'il n'avait imaginé.
Une écriture très « masculine », drôle et crue à la fois, avec des expressions mêlant humour et sordide. Plusieurs scènes de guerre, de torture, de viol, même si elles sont le reflet de la réalité, sont difficiles à supporter et se sont avéré des épreuves pour moi en tant que lectrice.
Ce roman, à la fois témoignage et récit, m'a plongée dans cette période difficile de l'après-guerre du Vietnam, avec une implacable analyse des protagonistes qui m'a parfois glacé le sang.
Un peu trop dur pour moi, j'ai dû m'accrocher pour le terminer même si j'ai apprécié son intérêt historique.
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