Ce n’est pas parce qu’ils sont morts qu’ils n’existent plus.
Je ne peux pas aimer personne parce que ce ne serait pas juste pour la personne qui m’aimeraient en retour. Je ne te ferai jamais de mal, mais je ne peux pas te promettre que je ne vais pas te détruire petit à petit, jusqu’à ce que tu sois en pièces, comme moi.
Si tout disparaissait et que ne demeurât que lui, je pourrai continuer à exister, mais si tout le reste demeurait et qu’il disparaissait, l’univers deviendrait à mes yeux un parfait inconnu.
J’ai toujours été différent, mais pour moi, la différence, c’est la normalité.
Je ne te pardonnerai jamais de m'avoir quittée ainsi. J'aimerai juste que toi, tu puisses me pardonner. Tu m'as sauvé la vie.
Et pour finir, j'ajoute :
Pourquoi n'ai-je pas pu sauver la tienne ?
Tu es toutes les couleurs en une, à leur maximum d'éclat.
Que ton oeil rejoigne le soleil, ton âme le vent… Tu es toutes les couleurs en une , à leur maximum d’éclat
Je suis enracinée, mais je m'écroule. (...) Si tout disparaissait et que ne demeurât que lui, je pourrais continuer à exister, mais si tout le reste demeurait et qu'il disparaissait, l'univers deviendrait à mes yeux un parfait inconnu.
Autrefois, dix pages ne m'auraient pas effrayée. Si le prof en demandait dix, je lui en rendais vingt. Et s'il en voulait vingt, je lui en fournissais trente, J'étais plus douée pour écrire que pour jouer mon rôle de fille, de petite amie et même de saeur. Écrire, c'était tout pour moi. Dorénavant, ça m''est impossible.