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Il s'agit du roman graphique qui a inspiré le film avec Brandon Lee qui incarne Éric Draven.
J'avais adoré ce film, donc lorsque j'ai vu que ce roman en était à l'origine, j'ai tout de suite foncé pour le lire.

Gros coup de coeur ❤
Le roman est encore plus sombre que le film.
Les graphismes sont vraiment incroyables, plusieurs planches additionnelles sont présentes et donnent une autre dimension au roman. On passe de la noirceur durant la vengeance d'Eric Draven, à la lumière pendant les flashbacks montrant sa vie avec sa fiancée Shelly avant leurs assassinats.
C'est un roman très prenant, on ressent les sentiments et les tourments du personnages. Sa peine, sa douleur, sa haine, sa détermination, sa vengeance, l'amour qu'il les liait...
Cela m'a donné envie de revoir ce magnifique film 🥰.
Si vous n'avez pas encore lu ce roman ou vu le film, foncez!!!!
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🔲 THE CROW 🔲

"Autour du soleil nous tournons en rond, comme le fait la lune autour de la terre. Ce n'est pas la mort qui nous tue, mais le vertige."

C'est l'histoire d'un mec fou amoureux ...
C'est l'histoire d'un drame vertigineux...
C'est l'histoire d'une descente aux enfers...
C'est l'histoire d'une vengeance...
C'est l'histoire de la noirceur, de la violence...

Une BD sombre, qui pourrait freiner bon nombre de lecteurs, mais qui s'attache à relayer le profond désespoir d'un homme endeuillé, rongé par la culpabilité.
Thé Crow, cet homme qui ne passe pas inaperçu, ça poursuivre dans relâche les hommes responsables de son malheur.

J'avais vu il y a de nombreuses années, l'adaptation cinématographique et j'en avais un bon souvenir. Avec la BD, j'ai retrouvé cet univers si caractéristique et qui fait désormais de The Crow, une légende !
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Pas de déclic avec cette histoire qui part dans tous les sens, peut-être du fait que c'est un fantôme qui la raconte et revit sans cesse tant les instants heureux en compagnie de l'amour de sa vie que ceux du désespoir de l'avoir perdue lors d'une agression sauvage de meurtriers auxquels il va faire payer le prix du sang.

Le trait est alerte, les dessins très travaillés avec des rendus de flous réussis, certaines planches pouvant sembler des peintures sont très belles.

Les vers de Baudelaire ne m'ont pas semblé s'insérer utilement dans l'histoire, confuse et répétitive. Les dialogues sont très pauvres.

Non, pas convaincu par The Crow.
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Ayant été profondément marqué très jeune par le film The Crow (et par Brandon Lee et son père)... Après des dizaines d'années, j'ai enfin pu poser par écrit ma vision (telle une suite directe du film) à travers mon tout premier roman court "Sarah : Les larmes du corbeau" que vous retrouverez sur ma page profil (et en vente sur Amazon au format ebook et papier broché).

« Si les êtres que nous aimons nous sont arrachés, pour qu'ils vivent longtemps, il ne faut jamais cesser de les aimer. Les immeubles brûlent, les gens meurent, mais l'amour véritable est éternel »


Lien : https://amzn.to/31fSFDT
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Le film « The Crow », c'est connu, est en quelque sorte le point culminant de la contre-culture gothique. Avec son ambiance sombre, son sujet fantastique et la mort sur le tournage de son acteur principal Brandon Lee, il a acquis le statut de film culte. On ne peut pas en dire autant de la bande-dessinée dont il en est issu, restée elle nettement plus confidentielle.

J'ai toujours trouvé que rien ne pouvait plus mettre mal à l'aise qu'une bande dessiné. le potentiel suggestif y est plus puissant que dans le livre, et l'auteur a bien plus de liberté pour créer son univers qu'au cinéma. On y entre à ses risques et périls. On en sort parfois avec l'envie de vomir, simplement à cause de quelques coups de crayons à peine esquivés. Telle est la puissance de cet art.

Quand il s'agit d'un jeune homme revenu d'entre les morts pour venger sa fiancée violée et assassinée par des voyous, et d'un dessin en noir et blanc au trait fin et aux ombres épaisses, on imagine ce que cela peut donner. C'est sombre, violent. Les corps éclatent, le sang coule. Et les moments de rédemptions surgissent soudainement, là où on ne les attendait pas.

Un comics mythique, atypique, et qui au final tient une place assez à part dans la culture américaine.
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Une des plus belles lettres d'amour jamais écrite. Une oeuvre sombre mais d'une beauté cathartique à couper le souffle. L'émotion de l'auteur transparaît dans les planches parfois légère comme un souffle qui meurt et parfois lourde et percutante comme un coup de poing à l'estomac
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C'est terriblement romantique, violent, gothique et mélancolique.
L'écriture est sombre, l'amour est indestructible, et la vengeance à la hauteur de la douleur.
Chef d'oeuvre.
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Entre "The Crow" et moi, c'est une vieille histoire d'amour commencée par le film (avec Brandon Lee), vu revu et rerevu au moins une quinzaine de fois. Si ce n'est plus...
Et ce genre de virus, ça se refile, ma fille l'a attrapé. C'est elle qui s'est acheté ce comics, la toute dernière mouture de la BD. Justice et vengeance, mes thèmes de prédilection depuis toujours.
Et j'avoue que si je sentais bien la profondeur de l'histoire qu'il y a derrière, je ne la mesurais pas vraiment.

Il m'aura fallu lire ce magnifique ouvrage, complété et magnifié par des planches qui, semble-t-il, n'était pas dans les premières versions, ainsi que des préfaces très personnelles et très claires de et sur l'auteur, pour comprendre pourquoi je suis si fan de ce personnage romantique, désespéré et violent.

L'histoire est ce qu'elle est, la même que dans le film à quelques mini-variations près, je la connaissais déjà et je n'ai pas eu de surprises. Par contre, la surprise se situe dans les dessins, qui sont ravagés et ravageurs, beaux et moches à la fois, plus violents encore que dans le film, et fascinants. Parsemés de poèmes classiques, dont Baudelaire, une culture pourtant peu "américaine", si j'ose dire, et de poèmes de J. O'Barr lui-même, qui ajoutent à l'ambiance vraiment très noire. Une puissance d'évocation et de thème que j'ai rarement rencontré dans des BDs, on sent bien que l'auteur y a mis toutes ses tripes, c'est cathartique, magnifique et affreux à la fois. Il ne peut que parler aux gens qui ont souffert par la faute d'autres gens. Et bien que cela s'apaise chez moi en vieillissant, ça me parle toujours autant.

Un livre qui va me devenir aussi culte que le film, peut-être plus, qu'il me faut absolument, et que je relirai de nombreuses fois, ça ne fait aucun doute.
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The crow est le film mystico-gothique qui a marqué quasiment tous les adolescents des années 90. En plus d'être fascinés par the crow qui revient d'entre les morts pour venger sa fiancée violée et tuée (summum de la preuve d'amour pour un ado), la mort de Brandon Lee durant le tournage l'a également rendu tristement célèbre.

Mais The Crow c'est avant tout le comics de James O'Barr. Son exutoire. James O'Barr a perdu sa moitié brutalement parce qu'elle s'est faite renversée par une voiture.
J'ai trouvé le comics encore plus sombre et plus violent que le film. Les métaphores sont également plus présentes. On y ressent toute la douleur et la colère de l'auteur au travers d'Éric, et la frustration d'être impuissant face à la tragédie de perdre son grand amour.
Les dessins sont magnifiques, en noir et blanc, illustrant parfaitement l'amour et la soif de vengeance dont est capable un homme.
En somme, je trouve le comics plus attrayant pour les adultes.
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C'est presque douloureux de lire cette histoire que l'on pense déjà connaitre, vu les films, série et autres clin d'oeil que l'on a pu voir jusqu'à présent ! Et pourtant... le comic est bien plus noir et torturé que ce que ce que je pensais savoir après avoir vu les films et la série.
Le terme "exorcisme d'une souffrance", utilisé en 4e de couverture, qui m'a semblé accrocheur par sa poésie, n'est en fait pas du tout excessif, au contraire : on sent que l'on pénètre dans une histoire très personnel, à la limite de l'incompréhensible parfois. Cette histoire, il faudrait l'analyser plus que la lire, si on veut espérer tout comprendre. Certains passages sont complètement hallucinés, on danse au bord de la folie, en regardant un personnage qui l'est totalement, brisé de souffrance et de haine.
Les dessins sont magnifiques. L'histoire laisse sans voix. La puissance émotionnelle est dévastatrice.
Lisez-le.
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