Leonora Kean, tome 1 : Chasseuse d'âmes

Je n'aurais peux être pas du commencer les aventures de Leonora Kean avant de découvrir celle de sa mère Rebecca Kean. Quoiqu'il en soit j'ai découvert un univers très urban fantasy, c'est aussi le premier roman que je lis de ce genre mais je savais à quoi m'attendre, mine de rien ce côté fantastique et moderne est sympa où l'on côtoie sorcières et vampires.

J'ai beaucoup aimé l'héroine Leonora, c'est une jeune Yamadut possédant de puissants pouvoirs mais aussi un fort caractère, elle sait ce qu'elle veut et prends les devants et j'aime les héros comme cela, elle tient même tête à son petit amis Ariel, un Ombre possédant aussi une forte personnalité amoureux de Leonora.

Mélangeant dark-fantasy, humour, et enquête ce 1er tome est une réussite même si de temps à autre cela manquait un peux de rebondissements. avec certain moments assez plats et longuets.

Leonora est une ado de 16 ans, turbulente et irrévérencieuse. Jusque là, tout est normal. Sauf qu'en fait, elle est la fille de la reine des Vikaris, clan de sorcières les plus puissantes du monde, et du roi des vampires, Mickael. Sa nature exceptionnelle de fille d'un mort l'a fait élire Yamadut - émissaire de la mort - par Héla, déesse de la mort, qu'elle sert avec diligence.
Pour parfaire son éducation, Rebecca, la mère de Leonora, l'envoie chez sa grand-mère en France, à l'école des sorcières, accompagné d'Ariel, un assassin-sorcier particulièrement impressionnant de force et de maturité - et amoureux. le caractère immature, difficile et instable de la gamine ne la rend pas particulièrement populaire dans le clan de sa grand-mère, alors quand les sorcières du clan commencent à tomber comme des mouches, les deux ados sont obligés de filer vite fait, et se retrouvent comme par magie sur le territoire de son père, le roi des vampires, trop content d'apprendre à la connaitre. Et ça, pour apprendre à la connaitre, il va pas être déçu.
Bon, c'est clair, ce genre de livre n'est pas fait pour moi mais une ou deux fois par an, je fais une entorse à mes habitudes afin de ne pas être sectaire et de mériter mon titre auto-attitré d'omni-bibliovore.
Et donc j'ai suivi le conseil d'une amie en lisant ce livre.
Même si ce n'est pas ma came, je dois reconnaître beaucoup de talent à l'autrice car bien qu'arrivant direct dans une histoire qui a été développée dans au moins 6 livres avant, je n'ai pas été trop perdue.
Les scènes sont gores, les personnages sont très caractériels et même souvent immatures, et c'est vrai, il y a des paires de claques qui se perdent, mais tout est servi avec une tonne d'humour (noir, très très noir) et ça se laisse lire très facilement.

Je ne pouvais pas manquer les aventures de la fille de Rébecca Kean, une de mes héroïnes de bit-lit préférées. Et en plus, cela se passe en France (même si on n'en voit rien)!

Léonora est envoyée auprès des Vikaris se former, toujours escortée par le beau Ariel, et elle se retrouve au coeur de morts mystérieuses et effrayantes. Et en digne fille de sa mère (et parce qu'elle est la servante de la déesse de la Mort) elle va y mettre son nez.

Cela se lit bien, surtout si on est fan de la série. Sinon, je pense que c'est un honnête roman de bit-lit à la française plus young adult que la série originelle, plus léger dirais-je.

En résumé, un spin-off plutôt réussi qui fait patienter en attendant la suite de la série originale.

A partir de 15 ans

On ne va pas se mentir, cette saga est beaucoup moins prenante que Rebecca Kean. L'intrigue est sympathique mais pas folle non plus, et le rythme n'est pas très soutenu. L'histoire traîne à se mettre en place et c'est parfois un peu frustrant. En plus de ça, le personnage de Leonora n'est pas franchement intéressant. L'autrice a passé son temps à nous rabâcher dans la série principale à quelle point Leonora est plus mature que son âge (surtout pour justifier son hypersexualisation je pense…) mais on se rend bien compte ici que Leonora n'a même pas la maturité d'une ado de son âge. Sa personnalité n'a pas de grande cohérence non plus d'ailleurs.
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L'autrice nous prouve aussi à nouveau son talent pour la banalisation et la romantisation des agressions sexuelles. L'intérêt amoureux de Leonora lui lance notamment un sort pour l'immobiliser afin de l'embrasser de force et mettre sa main sous son t-shirt pour lui prouver qu'elle n'est pas insensible à son charme… Ce n'est évidemment jamais remis en cause ! En plus on est ici sur une saga YA, contrairement à Rebecca Kean, donc c'est particulièrement inexcusable.
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L'autrice a quand même tenté une petite nouveauté en mettant un peu de diversité dans son histoire… On se retrouve donc avec un personnage à la peau « café au lait » qui est décrit comme ayant un visage « racé », ou encore un personnage gay, extrêmement flamboyant, décrit comme ayant un visage « incroyablement féminin » et qui estime que « parler chiffons » est d'une importance capitale. Merci à Cassandra O'Donnell de véhiculer tous ces clichés d'un autre siècle… Finalement c'était mieux quand il n'y avait pas de représentation dans ses romans !
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Si j'aime bien lire la saga Rebecca Kean malgré ses aspects problématiques, ici le ratio points positifs/points négatifs est quand même très déséquilibré. Pas sûr que je me laisse tenter par la suite !

J'avais vu ce livre sur audible alors que je regardais les différents catalogues sur l'application.

Le résumé m'intéressais, alors je l'ai pris. Je dois avouer que l'écoute a été assez pénible. L'histoire est intéressante mais à certains moments j'ai eu beaucoup de mal avec la voix de la narratrice.

Le personnage qu'est Léonora m'a tapé sur le système et est juste énervante à souhait et Ariel n'est pas mieux.

On dirait que Léonora a un comportement d'enfant pourri gâté. Elle se plaint tout le temps sous prétexte qu'elle n'est pas comme tout le monde et ce qui fait que tout le monde la rejette.

Ce tome se lit entre le 6 et 7 de la saga Rebecca Kean, il est aussi plus jeunesse que la série d'origine. Mais peu se lire aussi indépendamment.
On va découvrir sous un autre jour Léonora qui va vivre avec les Vikaris. J'ai bien aimé cette lecture, même si je l'ai trouvée parfois un peu agaçante.
On y retrouve les mêmes éléments que dans Rebecca ainsi que la trame. On apprend aussi plus sur les Vikaris et sur Michael Le père de Léonora.

Leo, adolescente de 16 ans, doit faire avec ses pouvoirs hors normes dans un monde de violence. Ariel, son protecteur, lui apporte une touche de tendresse malgré ses aptitudes d'assassin. Il est celui qui compte pour elle... malgré tout. Fille de la reine des vikaris (sorcières guerrières, psychopathes, sans coeur) et d'un vampire millénaire Leonora doit faire ses preuves tout en cachant ses aptitudes. Tuer ne l'effraie pas, elle vit depuis enfant dans ce monde de... mort.
J'ai suivi la saga de Rebecca, sa mère. On suit désormais Leonora qui doit faire ses preuves. On la découvre hors contexte maternel et découvre ce père - vampire qui est mine de rien, en attente d'acceptation de sa fille qui est pour lui un miracle. Les pouvoirs de Leo évoluent et ses nouvelles aptitudes vont l'aider à survivre dans le clan de son père en proie à... des morts chez les vampires. Pour protéger sa grand-mère elle va même réussir à la faire entrer chez les vampires... aie vampire et sorcières ne font pas bon ménage.
Bref c'est une ados qui avance entre violence et tendresse afin de protéger ceux qui lui sont chers. Elle a beaucoup trop dévoilé ses pouvoirs et sa mère et arrière grand-mère sont plutôt énervées. La punition risque d'être dur.
Bref bien entendu je vais suivre. Elle est drôle et ne se laisse pas faire.

Avec les copines de la LC Rebecca Kean de Cassandra O'Donnell, nous avons décidé ce mois-ci de lire le tome 1 de la saga spin off Leonora Kean, consacrée à la fille de Rebecca. Ce 1er tome spin off ayant été écrit entre le tome 6 et le tome 7 de la saga principale, l'autrice recommande de le lire avant le dernier tome publiée de Rebecca.

On y retrouve Leonora âgée de 16 ans alors qu'elle est en France avec son arrière-grand-mère, au sein du clan des Vikaris et toujours accompagnée d'Ariel.

Force est de constater que nous sommes ici dans une Urban Fantasy young adult et par là même, je n'ai pas retrouvé l'humour corrosif de Rebecca. L'action est également beaucoup moins soutenue et je n'ai pas été aussi happée par ma lecture. Peut-être parce qu'il s'agit du 1er tome et qu'il sert d'introduction pour la suite… mais je ne sais pas encore si je lirai la suite. Pour info, le second tome devrait sortir avant le 8ème et dernier tome de Rebecca Kean.

Pour cette lecture, j'ai alterné entre le livre papier et l'audiobook que j'ai écouté dans les transports pour aller au bureau. La narratrice était très bien sauf pour les voix masculines qui frôlaient le ridicule, notamment pour le personnage d'Ariel.

En définitive, même si ce ne fut pas une mauvaise lecture, je serai contente de retrouver Rebecca le mois prochain pour la découverte du dernier tome publié !