Florence Ollivet-Courtois est vétérinaire d'animaux sauvages depuis plus de dix ans. Elle nous raconte dans cet ouvrage toute une série d'événements, parfois marquants, parfois anecdotiques, issus de son métier hors-norme.
Pas de récit continu dans cet ouvrage, mais une succession d'anecdotes, racontée par Florence comme si elle en discutait avec une amie. Et c'est probablement comme ça que le livre a été conçu, puisqu'il a été écrit à quatre mains :
Florence Ollivet-Courtois et
Sylvie Overnoy. L'écriture n'est franchement pas mémorable, mais comme c'est surtout le contenu qui prime, au bout d'un moment, on arrête d'y prêter attention.
On apprend des tas de choses, on rit et on s'émeut. Surtout quand l'auteur évoque les éléphants, les animaux qu'elle préfère. C'est d'eux qu'elle parle le mieux ; on ressent fortement son attachement et son admiration pour ces bêtes intelligentes et dotées de personnalités bien marquées. C'est en larmes d'ailleurs que j'ai fini ce livre, avec l'histoire de la mort d'un éléphant de soixante ans.
Florence Ollivet-Courtois explique pourtant que la première chose qu'un vétérinaire doit faire, c'est accepter la mort des animaux, malgré tous les soins qui ont pu être donnés.
Saviez-vous que, malgré -ou sans doute à cause de cela- le confort, la sécurité et les soins prodigués aux éléphants nés et élevés en captivité, ces animaux vivent moins longtemps que ceux vivant en liberté ?
Qu'un singe a l'intelligence d'un enfant de 7 ans ?
Que TOUS les animaux haïssent les vétérinaires ? Qu'ils les détectent même sous déguisement ?
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