Cet ouvrage de 292 pages compte sept chapitres.
Le premier est consacré au massif forestier de l'Akfadou, le second à la présence historique dans cette région de la tribu des Aït-Mansour, le troisième à la Guerre d'Algérie, le quatrième à la monographie de la commune, le cinquième à ses deux écoles primaires, le sixième aux lieux de la culture et le septième au passé de ses quatorze villages.
Parmi les histoires des personnes racontées dans ce livre, il y a celle d'un ouvrier, originaire d'Akfadou et émigré en France, assassiné en 1936 lors d'une grève qu'il avait suscitée, ainsi que celle du Cheikh Ahaddad dont les aïeux vivaient à Akfadou.
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Traduction par Saïd Slimani du refrain et du premier couplet de "Anef i wul (Laisse le cœur)".
Laisse le cœur se reposer
Ne le fais pas rappeler
C’est l’heure d’avoir une accalmie
Sa blessure, pas encore guérie
Ton amour n’a pas de saveur
Puisqu’ amer comme le laurier
Ta bonne foi, pas assurée
L’amour, pour toi, pas valeur
Ils sont bons, les jours de gaieté
Mais ils se terminent par des pleurs
Tu vas tester cœur brisé
Tu verras ce qui m’est arrivé