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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà un pavé (plus de 600 pages) que j'ai lu, avec des hauts et des bas et dont je ne sais finalement comment vous en parler… C'est bête pour un partenariat …

Alors, je dirais que c'est un livre qui questionne beaucoup l'esprit identitaire des cubains.

Qui nous parle des cubains, plus que de Cuba, même si finalement une nation est avant tout faites de ses hommes et de ses femmes.

Si vous cherchez comme moi, la mise en avant des paysages magnifiques de Cuba (découverts pour ma part en 2003 dans un cadre uniquement touristique enchanteur et privilégié) mais aussi de l'esprit cubain qui anime les gens de là bas (des gens d'une gentillesse incroyable, d'une énergie captivante et d'un esprit positif délicieux), alors vous serez comme moi un peu déçue…

Mais, c'est sur, nous ne sommes pas dans la carte postale, mais bien dans la vie compliquée des cubains à cause du régime politique de dictature

Non pas que je mette de côté les difficultés du peuple cubain. Non, non, ce peuple est admirable tant il a dû et su s'adapter à ce régime restrictif.

Padura dissèque dans son livre, le dilemme douloureux et amoureux auquel les cubains par la force des choses ont dû se livrer envers leur patrie.

Rester ou partir aurait pu être le titre de ce livre. Même si "Poussière dans le vent" est si poétique et m'a mis dans les oreilles la belle chanson de Kansas

Dust in the wind Kansas

Mais j'avoue ma lecture a été surtout dans la première partie un peu laborieuse, car on se place dans la tête de chacun des personnages qui sont très torturés.

J'ai eu aussi du mal à bien les identifier au départ et bien du mal aussi à comprendre les multiples fils conducteurs entre les uns et les autres… Oups

J'ai préféré quand le récit s'arrachait un peu des pensées de chacun pour faire vivre le relationnel dans la distance des exils voulus ou imposés de la plupart.

Le fil conducteur de la disparition d'Elisa et de ses causes m'a un peu lassé à un moment mais j'ai apprécié découvrir sa fuite et le chemin qu'elle a essayé de prendre…

J'ai donc découvert la plume de Leonardo Padura, écrivain cubain qui sait transcrire tous les sentiments de son peuple.

Ce livre est presque un essai sur l'identité cubaine, car si il y a de la fiction elle ne représente pas l'essentiel du livre.
J'ai tout de même apprécié le livre surtout dans sa deuxième partie qui nous embrouille moins dans les relations des uns et des autres et qui s'attache à faire les portraits de ceux qui restent et des exilés.

Je remercie NetGalley et les Editions Métailié pour ce partenariat !

Cette lecture est une invitation pour tenter de mieux comprendre les Cubains !

#Poussièredanslevent #NetGalleyFrance




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Tout commence par une photo de groupe prise à La Havane en 1989 sur laquelle Adela reconnaît sa mère.
Avec Marcus son fiancé, ils n'auront de cesse de percer les mystères de ce groupe d'amis qui se croyaient soudés à jamais.
Ils se retrouvaient régulièrement pour refaire le monde face aux grands bouleversements consécutifs à la chute du bloc soviétique.
Clara, Elisa, Dario, Bernardo et les autres vont dévoiler leurs zones d'ombres sous la plume efficace de Léonardo Padura qui mène ce roman comme un thriller, mêlant adroitement la politique, l'amour, l'amitié, la trahison, l'exil.
Tous vont quitter leur île pour un monde meilleur, loin des privations, de la faim, de la présence policière omniprésente, du manque d'avenir.

Mais peut-on partir vraiment ?
La vie ailleurs est souvent bien compliquée lorsque l'on s'éloigne de ses racines.

Je me suis parfois un peu perdue au fil de cette lecture mais le talent de l'auteur m'a rapidement remise sur le bon chemin.
J'ai passé une dizaine d'heures avec des personnages magnifiques, subtils et attachants.
J'ai lu une histoire d'amour sublimée par la maîtrise de Léonardo Padura, subjuguée jusqu'au point final.

« Poussière dans le vent » est un roman poignant, qui évoque avec subtilité et émotion les destins brisés par L Histoire et l'irrationnalité des hommes, les séquelles de l'exil, le déracinement, le lourd poids de l'héritage familial mais aussi la force de l'amour filial.

Merci à NetGallet et aux Editions Métailié pour leur confiance.
#Poussièredanslevent #NetGalleyFrance !


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La malédiction du deuxième opus, sans doute. Ce n'est pas la première fois qu'après avoir chaviré à la lecture d'un auteur que je découvrais, je suis déçue en lisant un nouveau livre de ce même auteur. « L'Homme qui aimait les chiens » m'avait estomaquée, et cette poussière dans le vent est loin de m'avoir provoqué le même effet.
Bon, j'aurais dû me méfier. J'ai écouté « Dust in the wind », et j'ai reconnu une bluette mièvre que je n'aurais jamais mise dans mes play lists. Et finalement, le roman de Padura a cette même tendance à ne parler de ce qui fâche ou qui inquiète que pour mieux célébrer les vertus consolatrices de la chansonnette ou du roman feel good.
Évidemment, si tous les livres décevants étaient à la hauteur de celui-là, le monde ne s'en porterait que mieux. Mais le grand roman sur la fin des illusions castristes reste encore à écrire.
Le « Clan » s'est dissous à force de départs. Ils étaient vaillants, prêts à construire le monde idéal: mais tous ou presque ont fini par quitter Cuba pour conjurer la peur, la faim, et surtout pour ne plus se heurter à l'impuissance, à l'incapacité de se forger un avenir dans un pays qui se délite après la chute de l'URSS et la fin des subsides apportées par le pays frère.
Exilés de l'intérieur ou exilés qui vivent (plutôt bien) à l'étranger, tous ont en partage la même mélancolie devant le fiasco cubain, la même nostalgie d'un temps où tout semblait possible.
Et c'est là, à mon avis, le meilleur de ce roman que la quête d'une vie meilleure, tous les expédients nécessaires pour partir, pour manger; tous les remords des privilégiés qui ont déserté leur patrie (laquelle leur a donné des compétences mais aucun moyen de les exprimer) ou trahi la cause en trafiquant et en profitant d'un système corrompu.
Mais « Poussière dans le vent » se veut aussi la chronique d'une amitié inaltérable, qui résiste à toutes les épreuves; un clan que ne renieraient pas Rachel, Phoebe, Ross et consorts et qui fonctionne sur le même principe de retrouvailles immuables malgré les dissensions - et de plus en plus larmoyantes.
Et surtout, Padura transforme son roman en demi-polar, en utilisant toutes les ficelles du genre mais sans que la résolution des mystères soit un véritable enjeu. Alors, comment est mort Walter? (On s'en fiche un peu) Qui est le père d'Adela? (On s'en cogne total) D'ailleurs, Padura semble conscient du peu de suspens créé puisqu'il multiplie les prolepses, genre « Ils ne savaient pas encore à quel point cette mort allait être le point de départ d'événements tragiques dont ils ne se relèveraient jamais. » Ah, pardon, j'ai retrouvé une des occurrences: « Et, par la suite, il se dirait que tout ce qu'il avait vu et senti durant les secondes de silence provoquées par Horacio formait le stade ultime d'une vie quotidienne simple qui s'évanouirait à jamais quand son ami finit par lâcher la bombe. » Oui, ben, c'est à peine mieux. La prolepse, l'arme ultime du roman mal fichu.
Bref, le monde est tragique, surtout pour les Cubains, mais l'amitié et la famille font que la vie vaut tout de même la peine d'être vécue. C'est la morale gentillette et simpliste de ce roman, à laquelle j'aurais aimé échapper.
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J'ai retrouvé avec bonheur la belle écriture de Padura (bravo, au passage, au traducteur) dont les descriptions pittoresques nous emmènent dans les quartiers de la Havane — mais pas seulement — et qui sait mener le lecteur tout au long de plus de 600 pages sans l'essouffler ni le perdre dans les relations complexes de ses différents personnages. C'est, on le sait, un maître du roman policier mais on est ici plutôt dans un autre genre: une saga qui s'échelonne sur plusieurs décennies et permet de voir monter les générations… On retrace donc une partie de l'histoire récente de Cuba, son effondrement économique après la chute de l'URSS et les défections qui en découlent. Puis on vit à la génération suivante l'ouverture relative qu'a permis la reprise des relations avec les États-Unis sous la présidence d'Obama. Voilà pour la toile de fond sur laquelle se jouent les rencontres, les séparations et même les trahisons des nombreux personnages du roman. Chaque caractère est suffisamment bien défini pour que le lecteur développe des relations d'affinité ou de méfiance vis-à-vis des uns et des autres. Et même si les situations sont parfois rocambolesques voire improbables, le savoir-faire de l'auteur fait qu'on ne se lasse pas de vouloir en savoir plus…
Ce n'est pas à mon avis le meilleur roman que Padura ait écrit (j'ai préféré L'homme qui aimait les chiens) mais je n'hésite tout de même pas à lui attribuer quatre étoiles. Je n'hésiterais pas non plus, si d'aventure on s'enquerrait de mon avis, à lui faire une place dans la liste de nobélisables mais je sais bien que je ne suis pas prophète en la matière puisque Philip Roth que je place personnellement très haut n'en a pas reçu l'honneur…
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Si j'avais, comme je le fais d'habitude, lu les deux ou trois premières pages pour choisir un livre, j'aurais reposé celui-ci direct.
Mais comme c'était une lecture commune avec Sandrine, Doriane et Fanny, j'ai poursuivi.
Une fois franchi le poussif premier chapitre, où l'on apprend tout sur les marques de téléphone et de voiture que possède Adela l'héroïne, les discothèques de Miami qu'elle fréquente, plus la passion de sa mère pour les chevaux (tous sujets pour lesquels je n'éprouve guère d'intérêt), une fois que l'auteur nous a délivré un parfait exemple de "male gaze" en nous décrivant Adela sous la douche... eh bien finalement... ça n'est pas si mal.
(Ouh là ma phrase est bien trop longue ; il faut que j'arrête de lire Proust moi.)
La vie d'Adela est brutalement bouleversée par une photo de groupe sur F***ook, prise à La Havane et datant d'avant sa naissance. le roman se penche alors sur les destins de toutes les personnes présentes sur la photo. Ce "Clan" est si inséparable que 25 ans après, ces huit personnes sont (presque) toutes restées en contact, même après avoir émigré, liées par un secret dont chaque membre possède une clé.
Ce que j'ai trouvé intéressant, c'est le récit de leur éducation cubaine, qui leur a permis d'obtenir des diplômes prestigieux, une certaine réussite sociale, des privilèges, mais pas les salaires qui vont avec. C'est la description d'une société de pénurie et de corruption, de contrôle et de surveillance (Lire "1984" se fait sous le manteau). Et surtout, c'est le dilemme de partir ou pas.
Car partir, c'est la nostalgie de l'île natale, c'est devenir "un immigré charriant son mode de vie comme un escargot sa coquille". À ce titre, la description de la communauté cubaine de Miami est bien vue. Toutefois, le roman est bien longuet et les aspects politiques les plus incisifs n'arrivent que vers la fin.
En bref, il raconte des vies intéressantes, mais liées entre elles par une sorte d'intrigue policière bêtasse qui n'ajoute rien à l'oeuvre.
Traduction de René Solis.
Challenge gourmand (Millefeuille : Un pavé de plus de 600 pages)
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Cet ample roman choral est plein d'une chaleur cubaine, brûlant d'une amitié à toute épreuve qui fait l'histoire de ce livre. Les personnages sont semblables à la poussière dans le vent, malmenés par les bourrasques et dispersés aux quatre coins du monde. Quant à la chronologie, elle est éclatée, poudreuse, ce qui n'empêche pas le récit d'être étonnamment fluide et toujours oscillant entre joie de vivre rêvée et nostalgie (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/08/28/poussiere-dans-le-vent-leonardo-padura/)
Lien : https://pamolico.wordpress.c..
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Un roman magnifique sur l'exil et la perte. L'histoire d'un groupe d'amis nés à Cuba au début des années 60, qu'une grande amitié réunit durant leurs études supérieures, et que le destin va peu à peu séparer et contraindre à l'exil. Des années après leur dispersion, une photo publiée sur FB par l'un d'entre eux fait ressurgir le passé, les rêves, l'amour, les déchirures, les mensonges, les liens qui soudaient le Clan. A l'aube de la cinquantaine, « putain, mais qu'est-ce qui nous est arrivé ? », chacun fait le point sur sa vie, ses choix, la lâcheté des uns et le courage des autres, les rencontres et les occasions manquées. Tous questionnent leur identité et leur attachement à leur pays, dans un chassé-croisé complexe qui va de 1990 à 2016 et embrasse l'histoire de cette île où ils sont nés et à laquelle ils restent viscéralement attachés. Cuba qu'ils aiment et haïssent à la fois, Cuba où l'on vit, boit et aime plus intensément qu'ailleurs, Cuba qui offre tellement peu mais qu'il est si difficile de quitter. Cuba à l'époque de la fin du rêve socialiste, lorsque l'effondrement du régime communiste en URSS prive l'île de l'aide de son grand frère soviétique. Cette « période spéciale » provoque terreur et chaos, privant les habitants du strict nécessaire et de toute perspective d'avenir. Beaucoup choisiront l'exil. Etudiants brillants qui croyaient au rêve socialiste et à un monde meilleur, ces hommes et ces femmes font face ensemble au sein de leur groupe pour survivre dignement, avant de partir l'un après l'autre, et leurs enfants après eux. Très beau roman, intime et choral, qui aborde le déracinement qui déchire et l'amitié qui sauve, avec lucidité et tendresse. Parfois difficile à lire, il pèche par quelques longueurs, mais l'énergie et la lumière qui l'habitent ne nous lâchent pas. Leonardo Padura fait une autopsie fulgurante et sans concession d'un pays qu'il n'a jamais pu quitter malgré son succès international
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J'ai aimé ce roman cubain, et j'ai découvert à cette occasion un auteur que je ne connaissais pas doute tout. Il y a un côté "Vie des autres" dans ce roman qui a, entre autre, pour thème la dictature cubaine, l'espionnage possible des uns et des autres. Mais ce n'est que l'une des facettes de ce livre foisonnant qui est aussi un roman sur l'exil, sur les exilés cubains, sur la filiation et sans doute surtout de ce qu'il advient de groupes d'amis de jeunesse qui croient demeurer amis toute leur existence, mais que bien souvent, la vie se charge de séparer.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé la première moitié du livre, sa complexité chronologique (je trouve, mais cela n'engage que moi, qu'il faut vraiment être très attentif de ce point de vue et s'accrocher un peu pour ne pas se perdre), sa description du groupe d'ami...Et puis finalement le procédé m'a semblé peut-être un peu exagéré, ou du moins me suis-je peut-être un peu lassé. J'ai ainsi trouvé un peu dommage que le livre ait finalement une sorte de résolution presque policière (que s'est-il passé tel jour de 1990 à Cuba).
de manière assez frappante pour moi, le livre cite de mes auteurs favoris et non sans raison : Kundera et le Carré. Mais s'ili emprunte au second le goût pour une complexité narrative et au premier une certaine puissance d'évocation de la dictature et des relations hommes-femmes (parmi d'autres), j'ai trouvé que le livre, quoique très intéressant, ne jouait pas exactement dans cette catégorie. Mais j'ai eu un temps d'arrêt involontaire dans ma lecture et je me demande si ces bémols ne tiennent pas au ressenti devant une fin qui m'a un peu déçu alors que les qualités littéraires du livre au départ m'avaient plutôt emballé.
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« Poussière dans le vent » aborde les questions d'identité, d'exil dans un cadre géographique et politique particulier : Cuba, des années 1990 aux années 2010. Leonardo Padura, écrivain cubain, décrit de l'intérieur la désagrégation d'un groupe de 8 amis, le « clan ». le suicide (ou l'assassinat ?) d'un des membres, la disparition soudaine d'une autre laissent la question du destin en suspens : qu'est-il arrivé au clan ? Confronté aux difficiles conditions de vie, liées à l'isolement de Cuba après la chute de l'URSS, à la surveillance politique et à la peur, le groupe explose vers Miami, New York, Barcelone, Madrid…D'autres décident de rester à Cuba. La rencontre de deux jeunes adultes, enfants du clan, provoque recherche des origines et rappels du passé. Leonardo Padura explore les parcours individuels, montre les failles individuelles, les doutes et l'étouffant système cubain qui contraint chacun à une survie quotidienne. Si l'exil est une fuite, il offre une nouvelle vie qui s'avère rude. L'auteur tisse et mêle ces destins sur une toile de fond historique où surgissent Obama, Facebook…. Les liens tissés dans la jeunesse avec ses espoirs et ses rêves restent indéfectibles .L'amitié demeure et réunit les exilés à la mort d'un des leurs. Ce roman installe peu à peu les personnages dans leur personnalité, leur parcours, dans un cadre géopolitique mondialisé ; cette diversité des destinées constitue une « poussière d'étoiles » (titre tiré d'une chanson du groupe Kansas : « Dust in the Wind »).Le roman est remarquable par ses approches profondément humaines . Les 630 pages égrènent le temps, les rêves de jeunesse s'évaporent alors que l'espace s'est mondialisé.
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C'est un bon gros roman qui laisse du temps à l'atmosphère pour se mettre en place, aux intrigues de se déployer. le noeud tragique qui réunit tous les personnages sert de prétexte à l'exploration de leur vie sur plusieurs décennies et à mesure que l'intrigue s'eclaircit, les protagonistes gagnent en épaisseur et le lecteur a l'impression de comprendre Cuba, le déracinement, les illusions politiques de l'intérieur. Ca m'a fait du bien de lire quelque chose d'un peu complexe et de nébuleux où chaque trait ne correspondait pas à une nécessité narrative précise mais contribuait à étoffer la description pleine de nuances d'une époque. En ce sens, chacun des personnages est une réussite. Au delà de leur argument premier, ils explorent de manière complexe une manière de vivre la nostalgie, une éthique cabossée qui aurait survécu aux désillusions et aux erreurs. C'est donc un roman bien calibré, efficace mais c'est heureusement encore mieux que cela, un bel acte de littérature.
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