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Critique de Croquignolle


Encore un petit roman vite dégusté. C'est que la fin de l'année approche et qu'il faut mettre le paquet pour arriver à terminer mes défis. C'est grâce à Pancrace qui m'aide dans cette tâche et qui m'a dégoté Un homme à distance que j'ai pu apprécier mon premier Pancol.
A vrai dire, j'y suis allée à reculons. Durant des années, les pavés de Katherine Pancol ont trôné sur ma pile mais suite aux critiques négatives d'amis ayant les mêmes goûts littéraires que moi, je m'en suis séparée sans les avoir lus.
Je n'avais pas d'excuses pour celui-ci, tout petit ouvrage de moins de deux cents pages.

La première partie m'a donné un arrière-goût de déjà-vu. Je me suis retrouvé projetée aux côtés d'Emma et Leo dans Quand souffle le vent du nord de Glattauer.
Qui des deux auteurs a commencé ? Je n'en sais rien et ce n'est pas important.
Dès la moitié du livre, heureusement, l'ambiance a changé. Les côtes normandes et bretonnes, décor de ces échanges épistolaires entre le mystérieux Américain et la libraire de Fécamp, ont imprimé en moi un souffle océan bienfaisant. J'en ai alors appris un peu plus sur Kay et ses réactions épidermiques et j'ai découvert qui se cache sous le masque assuré voire presque hautain de Jonathan.
La fin - même si elle est prévisible - m'a apporté son lot de surprises et d'explications et m'a permis de refermer ce livre sur un sentiment positif.

Cette lecture ne laissera pas de traces indélébiles en moi mais je suis enchantée d'avoir enfin pu rencontrer la plume de cette auteure à succès.
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