Ce livre est l'opposé de "
la disparition" du même auteur; un monovocalisme : c'est-à-dire que le "e" est la seule voyelle utilisée. Ce qui rend la lecture assez ardue et pénible.
Exemple : "Les strétégèmes de Leclerc, pendent ce temps, persévèrent. Qelqes semènes s'étendent...." Et c'est ainsi durant tout le texte.
Dans la dernière partie on assiste à des orgies avec des prêtres, des éphèbes etc... dans un style proche du marquis de
Sade. Je n'ai pas trop compris l'utilité de cette scène dans le récit. Il n'en reste que ce n'est pas le livre de
Georges Perec que je recommanderai en premier.
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