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EAN : 9782213598888
306 pages
Fayard (24/11/1997)
3.22/5   9 notes
Résumé :
Heol Skolvan habite une péniche sur la Seine. Professeur de criminologie à l'Université de Paris I, ce spécialiste des serial killers se retrouve aux côtés de la police pour résoudre une énigme difficile. D'où viennent ces cadavres flottant sur l'eau du fleuve? Le commandant Hubert et le lieutenant Dunoyer, de la Brigade criminelle, sont chargés de l'enquête.
Les victimes portent des marques étranges, toujours les mêmes, comme si l'assassin se conformait à un... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Un million de Babéliotes, et personne n'a jamais commenté ce livre ! Il est de 1997, ce qui a laissé le temps de le lire, et il a été tiré à 50 000 exemplaires au moins comme tous les vainqueurs du prix du Quai des Orfèvres.
L'ouvrage a des pages au toucher désagréable, à l'instar de tous les « Livre de Poche » avec une coloration jaune ou orange sur la tranche. On fait mieux depuis.
L'auteur s'exprime comme à l'époque, vous lirez ainsi que le personnage « se connecte sur le réseau Internet » ; ça avait l'air d'une aventure compliquée pour le coup.
Quoi qu'il en soit, vous prenez un prof spécialiste des tueurs en série (avec un lourd passé et une structure familiale atypique) qui sait distinguer les tueurs psychopathes des tueurs psychotiques, une jolie étudiante, des flics bourrus, la Seine et l'ambiance parisienne, quelques ethnologues, les couloirs du musée de l'homme, la crypte de Notre-Dame, et quelques scènes de crimes n'ayant rien à envier à la série Dexter, vous aurez votre livre, hélas pas le film.
Vraiment, cette enquête n'est pas moins digne que des polars à 10 000 lecteurs et 300 critiques.
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Heil skolvan ancien militaire et professeur de criminologie et spécialiste de serial killers mettra tout en oeuvre pour que son enquête aboutisse.
Ce roman, sombre, élégant emmène le lecteur dans un univers dérangeant , à la limite de l'écoeurement !
Ce prix du quai des orfèvres 1998 est une pépite !
Un plaisir que nous offre Michel Sibra.
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Un Prix du Quai d'une belle qualité rédactionnelle, très bien ficelé, dans le style thriller sur les traces d'un dangereux psychopathe. On n'échappe pas aux poncifs du genre et les rebondissements sont assez prévisibles, mais quand on se tourne vers cette proposition éditoriale c'est en connaissance de cause et on ne boude pas son plaisir.

Nous voilà donc partis pour suivre un héros tout cabossé, son fils handicapé, sa petite amie toute fraîche et des flics un peu dépassés qui tentent de déjouer un tueur en série inspiré par un rituel bien précis. Un polar qui n'a rien d'original dans le fond mais suffisamment fin pour être plaisant.
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Prix du Quai des orfèvres 1998.
J'ai pris plaisir à livre ce roman policier, apparemment bien documenté, entretenant bien le suspense et bien écrit.
Raconter l'histoire serait superflu.
Je m'interroge sur la tendance actuelle de beaucoup de policiers à décrire de manière complaisante la violence comme si elle pouvait attiser l'attention. Ou bien, c'est un livre d'horreur. Ou bien c'est un livre policier ! Pour moi, le choix est fait.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
[à propose des Indiens d'Amérique soumis aux habitudes de l'envahisseur européen]
Tous leurs malheurs découlent de là : le pain les rendit obèses ; le vin, ivrognes ; et la religion, débiles.
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Un cadavre de chien lui aurait fait de la peine. Persuadé que ces petites bêtes valent mieux que bien des humains, il l’aurait sans doute tiré sur la berge pour l’enterrer décemment. Une carcasse de vache – on trouve de tout dans la Seine- lui aurait inspiré du dégoût. Il l’aurait repoussé au large avec une perche sans rien dire à personne. Mais là, tout de même, le cadavre d’un homme…
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Skolvan n’avait pas de sympathie particulière pour las chats. Il les trouvait hypocrites, lascifs, et au contraire de l’avis général, terriblement dépendants.
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Dieulefit n'avait jamais rien entendu d'aussi épouvantable. Il recula vers le salon en se disant que l'être capable de hurler de la sorte n'était pas humain.
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