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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Comme l'année dernière à la même époque, les éditions Bragelonne mettent le paquet sur leur auteur français phare : Pierre Pevel. Aux trois volumes du « Paris des merveilles » suit donc une nouvelle trilogie censée développer davantage l'univers de la série « Haut-Royaume » dont on découvre un nouveau lieu : l'orgueilleuse cité de Samarande. Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de préciser que bien qu'il soit louable de la part de l'éditeur de publier les trois volets d'un coup, il est un peu moins honnête de les vendre à dix-huit euros chacun alors que les romans en question dépassent à peine les deux cent pages et auraient donc aisément pu tenir en un seul volume... Cette première déception passée en ce qui concerne la forme, il faut avouer que, sur le fond, la qualité est au rendez-vous. Si vous avez déjà lu et apprécié « Les lames du cardinal » ou encore « Le chevalier de Wielstadt », vous ne risquez pas d'être dépaysés ! Certes l'auteur a un peu trop tendance à recourir aux mêmes ficelles scénaristiques dans tous ses romans, oui certains de ses personnages sont toujours plus ou moins coulés dans le même moule, mais l'aventure est encore une fois au rendez-vous et on passe un excellent moment aux côtés de cette sympathique bande de voleurs.

Il faut dire que Pierre Pevel a le don pour créer des personnages attachants et unis par une franche camaraderie qui ne tarde pas à se communiquer au lecteur, ravi de cette complicité immédiate entre lui et les différents protagonistes. Impossible d'ailleurs de ne pas trouver un personnage auquel s'identifier : il y en a pour tous les goûts ! Un chef charismatique et à la langue bien pendue doté de curieux yeux de drac ; un colosse peu loquace mais d'une fidélité sans borne ; un acolyte aux manières irréprochables apportant au quatuor une petite dose de sophistication ; et pour finir une belle et froide jeune femme cachant un lourd passé et ajoutant à l'ensemble une touche de féminité bienvenue. S'il y a bien autre chose que Pierre Pevel sait faire, c'est planter un décor. Après Paris et Wielstadt nous voici donc lancés à la découverte de deux cités libres : Samarande et Béjofa. Ou plutôt de leurs bas-fonds, puisque c'est du côté de la pègre que se déroule l'essentiel de l'action de ce premier tome qui nous donne l'occasion d'arpenter la ville aux cent et mille ruelles, aux cent et mille voleurs. L'auteur s'approprie avec aisance les codes propres à la « crapule fantasy » et parvient à mettre en place une intrigue palpitante, ne nous laissant reprendre notre souffle qu'à la toute fin.

« Le joyaux des Valoris » est donc un premier tome prometteur introduisant un quatuor de personnages attachants qu'on sera ravi de retrouver pour de nouvelles aventures dans les opus suivants. A noter que ce premier tome se suffit parfaitement à lui-même et se conclut donc de manière satisfaisante, ce qui n'est pas le cas des deux autres volumes qui consistent en une seule et même histoire.
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Pierre Pevel revient à ses premiers amours.
D'une part ce livre et toute sa trilogie est une réécriture de ses premiers romans qu'il avait écrit sous pseudonyme dans le cadre du jeu de rôle Nightprowler. D'autre part Pevel retourne pour ce qu'il sait faire de mieux: du cape et d'épée version Fantasy, même si dans ce cas on est plus dans du Rogue and Rapiers.
Sans surprise la recette fonctionne admirablement bien et nous sommes emporté dans un tourbillon d'action et d'aventure avec une pointe d'humour. La bande de voleurs dirigée par Iryän Shaän (personnage flamboyant dont j'ose espérer un retour prochain) n'est pas sans rappeler les Salauds Gentilshommes de Locke Lamora dans la série de Scott Lynch, sans l'égaler hélas.
Après un cambriolage effectué avec panache, Iryän se retrouve prit pour cible par une mystérieuse organisation qui veut mettre la main sur ce qu'il a dérobé. S'en suit donc une multitude de péripéties pour que nos amis voleurs s'en sortent indemnes.
On retrouve dans ce roman tous les ingrédients favoris de Pevel: combats, femmes fatales, sociétés secrètes, dracs et sang-mélés.
Un bon moyen de découvrir le Haut-Royaume si l'on hésite à se lancer dans la série principale.
Par contre il faudra vraiment qu'on discute du prix du format semi-poche vu le nombre de pages. Un unique volume regroupant la trilogie aurait été un meilleur compromis.
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Encore une fois Pierre Pevel nous entraine dans une aventure avec un scénario solide, bien qu'il s'agisse d'une histoire courte ici et donc un peu moins complexe que ces autres romans (et encore, c'est à voir).

Nous suivons ici deux équipes de voleurs qui se croisent au détours de plusieurs histoires qui semblent à première vue n'avoir aucun rapport mais qui pourtant ont de nombreux points communs.
Étant donné que c'est déjà une histoire courte je n'en dirais pas plus pour vous laisser le maximum de surprises.

Ceux qui me connaissent bien savent que de tous les livres de l'auteur, la série du Haut Royaume est celle que j'ai le moins aimé. C'est sans doute pour ça que j'ai mis si longtemps avant de débuter celle ci.
Mais heureusement j'ai vraiment retrouvé ici le Pevel classique que j'aime bien, avec ses nombreux personnages et ses intrigues toujours bien menées et mystérieuses. Et ici c'est vraiment l'intrigue qui fait toute la valeur du livre, car niveau background on est au minimum possible. Après ça n'est pas vraiment gênant étant donné que c'est un spin off du Haut Royaume et que du coup si on connait la série principale on a déjà une bonne idée du monde. Mais c'est vrai que si ce n'est pas le cas on a un peu l'impression de se retrouver sur un monde réduit à son minima à savoir une ville et juste un autre dont on entend parler.

C'est un peu fou de voir comment on arrive à s'attacher à autant de personnages sur un texte aussi court, c'est aussi un des points que j'ai bien aimé ici. On a vraiment envie de continuer à suivre les aventure de ceux ci, de les voir organiser d'autres coups et de les voir survivre dans les situations difficiles. du coup je ne pense pas attendre longtemps avant de me lancer dans la suite, mais j'avoue que je traîne volontairement un peu quand même étant donné que c'est la dernière série de l'auteur qu'il me reste à lire !

16.5/20

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Pierre Pevel est un auteur que je suis depuis longtemps. Je l'ai découvert par ses premiers livres sous le nom de Jacq appelés Chroniques des sept cités. Quatre tomes sont parus intitulés respectivement: Premiers sangs (paru en juin 1996 aux éditions du Khom-Heïdon), la voix du sang, le prix du sang et In Memoriam. Un cinquième tome a été écrit par l'auteur mais n'a jamais été publié. Après cette tetralogie, il a publié le cycle de Wielstatd sous son vrai nom, premier d'une longue série de roman très apprécié par Lhotseshar et moi. le joyau des Valoris est donc le premier tome de la trilogie « Les sept cités » dans l'univers de Haut-Royaume. Cette trilogie est une réécriture des Chroniques des sept cités qui elles se déroulaient dans l'univers du jeu de rôle Nightprowler. le fait que ce soit une réécriture explique la parution des 3 tomes en même temps. Les 2 autres tomes étant déjà écrits et en cours de réécriture par l'auteur sortiront sous peu, ce qui permettra d'avoir la conclusion de cette série. Pour la petite histoire, j'avais fait dédicacer « Premiers sangs » par Pierre Pevel aux Imaginales en 2015 et on avait discuté un peu de ses tout premiers écrits, ce qui me fait sourire en passant qu'un an après, ils ressortaient réécrits.

L'histoire est la même que dans Premiers sangs, cependant l'auteur a effectué plusieurs changements pour adapter le récit à l'univers de Haut-Royaume: les draks remplacent les félis ( des êtres mi-homme mi-chat), les noms des personnages ont changé aussi. L'action se déroule quelques temps après le premier tome de Haut-Royaume.

Le roman se rapproche plus de l'ambiance de Wielstatd, il y a un côté sombre même s'il est plus présent dans les prochains tomes. Les personnages sont nombreux dans ce livre qui est une mise en place de la trilogie. On fait connaissance avec la ville de Samarande, presque un personnage à part entière, et avec le milieu de la pègre locale. C'est un peu dur au début de se retrouver parmi tous les protagonistes, cependant on discerne vite lesquels auront de l'importance pour l'intrigue. Les personnages sont d'ailleurs très bien construits et en quelques phrases on arrive à les connaitre. Pierre Pevel excelle toujours pour poser son univers et camper ses personnages en peu de temps.

Le roman est assez court (244 pages) et se lit très vite. Il n'y a aucun temps mort, le style de Pevel est fluide et très agréable à lire. C'est même un peu trop rapide par moments et un peu plus de descriptions aurait permis de mieux s'immerger dans le monde surtout pour les lecteurs qui ne connaissent pas Haut-Royaume. Cette série peut se lire indépendamment des 2 autres livres parus mais la connaissance de l'univers aide.

L'histoire commence avec le vol d'un diadème par les 2 personnages principaux et ensuite plusieurs histoires s'entremêlent. le roman mélange habilement enquête et actions, avec peu de scènes de combat, mais par contre une atmosphère de complots omniprésente.

Ce tome peut aussi se lire seul car il se termine alors que les suivants sont plus liés. C'est un bon premier tome, agréable à lire et qui plante le décor avec des personnages charismatiques et intéressants. Même si certains passages sont un peu rapides, on passe un agréable moment avec ce nouveau roman de Pierre Pevel.
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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C'est toujours un plaisir de lire des ouvrages de Pierre Pevel, et ça l'est encore plus quand les récits ont lieu dans l'univers de Haut-Royaume, série que j'adore !
Les personnages sont super et l'intrigue bien ficelée.
Pour qui aime les histoires de voleurs, d'artefacts corrompus, de cape et d'épée,...
Ce livre est fait pour vous ! :)
Il peut se lire dès 15 ans sans problème.
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J'ai mis un certain temps à le lire, mais surtout parce que je n'ai pas voulu le prendre dans ma valise pour les vacances. Il y a des livres comme ça qui sont trop précieux pour être trimballés partout!

J'ai donc terminé ce livre la semaine dernière et je l'ai adoré!

Pierre Pevel a le chic pour nous transporter dans son univers en peu de mots. On peut parfaitement le lire sans avoir lu Haut Royaume, mais je le déconseille, car il y a quelques références à la série initiale.

Malgré le nombre de personnages, le lecteur n'est pas perdu et on entre dans une aventure trépidante, pleine de rebondissements et d'humour.

J'ai beaucoup aimé cette lecture, l'écriture est hyper fluide, les chapitres sont courts, on ne s'ennuie pas une seule seconde!

En bref: un très bon 1er tome, dans l'univers de Haut Royaume !
Lien : http://l-evasion-par-la-lect..
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Dans la cité corrompue de Samarande, Iryän Shaän, voleur aux yeux de drac, est engagé pour voler un précieux diadème. Il s'acquitte de sa mission mais les joyaux qui ornaient le diadème sont dérobés peu après. Pourquoi ? Par qui ? Pour se disculper, Iryän et ses complices devront le découvrir et vaincre par la ruse et le fer de nombreux adversaires : voleurs, assassins, mages et spectres.
Voici le résumé proposé pour ce « spin off » de l'univers du HAUT ROYAUME dans lequel nous découvrons de nouveaux héros, dans la tradition des romans de capes & épées, qui rappellent immanquablement les oeuvres du grand ancêtre Fritz Leiber. Un vol audacieux durant une fête de mariage, un duo attachant rejoint par un as du crochetage et une guerrière, de l'aventures et de l'action,… Pevel délaisse ici les descriptions pesantes de trop nombreux romans de Fantasy pour privilégier un récit rythmé qui se déroule dans les bas-fonds de la cité de Samarande. Tout cela s'avère fluide, distrayant et fort bien mené, ce que le récit perd en profondeur et en complexité (notamment par rapport à HAUT ROYAUME), il le gagne en pur divertissement d'aventures.
Réécriture des premiers romans de l'auteur (les CHRONIQUES DES SEPT CITES), LE JOYAU DES VALORIS s'impose comme un roman enlevé qui peut parfaitement se lire indépendamment : pas d'appel du pied au lecteur pour l'inciter à lire les deux suites ou la série principale du HAUT ROYAUME, l'intrigue se suffit à elle-même et, au terme des 250 pages, arrive à une conclusion satisfaisante. Pourtant, grâce à la qualité de ce premier volet, le lecteur aura naturellement envie de poursuivre ses aventures dans les cités du Haut Royaume. Un bon divertissement de fantasy.

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Voici la nouvelle trilogie de Pierre Pevel, auteur bien connu des Lames du Cardinal.
Je dois avouer que si j'ai acheté le tome 1 du Haut-Royaume, je ne l'ai toujours pas lu. Mais cela ne m'a absolument pas dérange pour lire ce tome ci.

Ici prend place une histoire de cambriolage, de trahison et de voleurs. J'aime beaucoup ce genre de personnage et j'ai été régalée ici par Iryän.
Si au début, j'avais un peu de mal à me repérer alors que l'on saute d'un groupe de personnages à l'autre, petit à petit au fil de l'histoire, les points se relient.
On comprend les différents aboutissements de cette histoires et qui (tente) de manipuler qui.

Beaucoup de descriptions, mais sans que jamais cela ne soit pesant. Une histoire plutôt rythmée et bien qu'elle soit courte, on prend du plaisir à la lire. C'est distrayant, et j'aimerai bien continuer à lire les aventures de cette drôle de bande/
Lien : http://www.nyx-shadow.com/20..
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Chronique de Melisande

Ayant beaucoup aimé le premier tome de Haut-Royaume, j'étais très curieuse de lire cette série spin off sur Les Sept Cités et je dois dire que je ne suis pas du tout déçue. J'ai beaucoup aimé et vous recommande chaudement ces séries !

Chacun des trois tomes de la trilogie Haut-Royaume – Les Sept Cités sont assez courts, surtout par rapport à Haut-Royaume, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne se passe rien et que ce n'est pas intéressant. Bien au contraire, Pierre Pevel nous prouve avec un roman « court » (moins de 300 pages), qu'il est possible de nous offrir une histoire passionnante avec un univers suffisamment développé pour attiser notre curiosité et nous entraîner dans son monde. Ce n'est pas donné à tout le monde et l'adepte des pavés en moi est donc ravie de ce constat.

Je ne ferai pas de résumé de l'histoire, la 4e de couverture étant suffisamment explicite pour savoir de quoi il s'agit d'autant que les événements arrivent vite. L'écriture de l'auteur est toujours aussi agréable à lire et fluide de sorte que l'on rentre rapidement dans l'histoire. L'action arrive dès les premières pages de sorte qu'il n'y ait pas de longueurs et elle ne fait que perdurer tout le long de l'ouvrage pour notre plus grand plaisir. On n'a pas le temps de s'ennuyer et de reprendre notre souffle car il se passe toujours quelque chose, que ce soit des rebondissements ou des révélations.

Avec le Joyau des Valoris, Pierre Pevel nous montre une fois de plus tout son talent car j'étais loin de m'imaginer un tel scénario en commençant le livre. Tout part d'un vol très simple mais qui va avoir des conséquences incroyables par la suite. En effet, le voleur, Iryän Shaän va devoir revoler le même bien, à son précédent commanditaire, entre autre chose… C'est une histoire bien plus complexe qu'elle n'en a l'air et franchement chapeau bas pour toutes ces révélations finales car je n'y aurai pas du tout pensé ! C'est donc une très bonne surprise parce que l'auteur nous balade tout du long du livre et entremêle beaucoup de choses. Pauvre Iryän Shaän, il ne sait plus où donner de la tête et nous non plus !

L'intérêt est que nous suivons différents groupes de personnages, du coup on se demande bien où l'auteur veut en venir, on ne connaît pas ses plans et on se demande bien comment tel ou tel personnage va pouvoir avoir un lien avec l'autre. Plusieurs histoires qui s'entremêlent et qui se rassemblent au fur et à mesure, comme des pièces d'un puzzle qui se construisent sous nos yeux. Cela s'appelle le talent, tout simplement et l'intrigue en devient complexe à décortiquer et pourtant, pourtant quand on a enfin les révélations tout cela semblait si simple ! Mais Pierre Pevel nous cache un certain nombre d'éléments si bien qu'on ne peut pas reconstruire ce puzzle seul…

Dans Haut-Royaume, j'avais déjà pu constater que l'univers était bien construit, plus complexe qu'il n'en avait l'air, même si l'auteur n'avait pas encore dévoilé toutes ces cartes. Ici, on voit encore d'autres choses et je suis certaine que je vais encore en découvrir dans les suites de la trilogie, j'ai hâte de découvrir tout cela. Une fois encore, on voit les liens politiques et magiques pour mon plus grand bonheur car c'est ce que je préfère dans la Fantasy donc c'est un ravissement d'être plongé au coeur de tout cela. Et on voit bien que dans Les Sept Cités c'est légion !

Quant aux personnages, je dois dire que l'on a une belle brochette de voleurs mais qui sont tous aussi attachants les uns que les autres. A commencer par Iryän Shaän, le héros de cette série, même si on ne peut pas le séparer de Svern, le Skande qui a aussi toute son importance dans l'histoire. Mais n'oublions pas Narubio qui est maître en son domaine. Sans oublier les autres personnages secondaires qui vont apporter leur pierre à l'édifice. Ces personnages ont de la gueule, je n'ai pas d'autres mots pour les qualifier, ils ont une consistance, ils sont « réels » et j'ai adoré les suivre dans cette folle aventure.

En bref, le Joyau des Valoris est un très bon premier tome que j'ai pris plaisir à lire. On y voit une fois de plus tout le talent de l'auteur à nous plonger dans son univers et nous faire vivre une aventure incroyable parmi des voleurs de talents qui sauront faire preuve de ruse pour s'en sortir. J'ai beaucoup aimé l'intrigue, les personnages, l'univers, bref, que du bon, rien à redire là-dessus. Je suis très curieuse de lire la suite que je vais m'empresser de lire juste après !


Lien : http://www.lireoumourir.com/..
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Ma lecture du Chevalier du Haut-Royaume remonte à novembre 2013... Et le souvenir de ce monde était bien flou dans ma mémoire de poisson rouge. Aborder cette saga des Sept cités, bien que parallèle car il s'agit d'un spin-off, m'angoissait un peu. Mais c'était sans compter sur la plume de Monsieur Pevel. J'ai été embarquée dès les premières lignes à courir derrière deux malfrats Iryän et Svern, dont l'ingéniosité et l'impertinence m'ont plu de suite. Ils s'apprêtent à faire le vol du siècle : chouraver directement le diadème des Valoris, sorti ce jour du coffre-fort familial pour trôner sur la tête de la fille de cette grande famille qui se marie.

Généralement Iryän et Svern sont des voleurs indépendants, "à leur compte" je dirais, mais là ils sont mandatés par les Anciens, la grande guilde des voleurs de Samarande. Non seulement ils n'ont pas le choix, mais pas non plus le droit à l'erreur. Ils s'acquitteront de cette tâche avec un brio... mouvementé !

Or peu de temps après, les pierres qui ornaient le joyau des Valoris aux mains des Anciens, sont à nouveau volés par une autre bande, qui plus est connue par nos compères. Ils sont donc suspectés et pour se disculper, ils vont devoir remettre la main dessus. Mais ils devront faire avec un joli chaperon du nom de Myrdil, qui apportera une touche féminine au roman. Une touche féminine bienvenue, mais pas forcément de tout repos pour nos compères. Or visiblement, il n'y aura pas que les Anciens sur le coup. Ils seront nombreux à remonter la piste, tous plus ou moins derrière les talons d'Iryän et Svern, ayant un ou plusieurs moyens de pression sur notre duo. Iryän va devoir jouer les équilibristes entre les différents clans, éviter un prévôt zélé et tenace, tout en gardant la confiance de son ami et celle de son employeur.

La suite sur le blog ;)
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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