L'âge de détruire

Une de mes rares lectures abandonnées : je ne crois pas à l'histoire.

J'ai juste eu l'impression de lire un fantasme lesbien pédophile de mauvais gout. Qu'une gamine de primaire tombe amoureuse d'une autre petite fille : OK. Par contre qu'elle se tape un cunnilingus et séance de doigtage en primaire... Non désolé, je n'y crois pas une seule seconde.

Le roman est peut-être bien, mais je le trouve invraisemblable et déplacé. Je ne comprends pas en quoi il mérite le Goncourt du premier roman.

Ce huit-clos ne m'a absolument pas ému ni plu. Si ce n'est le passage avec Issa qui aurait demandé un grand passage étoffé et aurait pu créer une véritable histoire. Je suis restée piégée dans des sentiments vides face à un appartement (lieu clef de l'histoire) tout aussi brouillon que cet écrit...Suis-je passée à côté des sentiments mère/fille et d'une certaine maltraitance, le récit m'a paru bien froid sans soupeser le fond.

Je suis passée complètement à côté de ce roman. Peut-être n'ai-je pas vraiment saisi l'intrigue. Dans tous les cas, texte que je n'ai pas du tout apprécié : les sentiments ou ressentis ne sont pas décrits, l'histoire n'amène aucune information complémentaire au fur et à mesure du livre. Je suis totalement restée sur ma faim

J'ai emprunté ce livre à la médiathèque au hasard. Je n'ai pas compris le but ni l'idée de cette histoire.
J'ai eu la sensation d'une histoire mal ficelée, d'un brouillon.
Rien n'est vraiment très précis, tout paraît brouillon.

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L'histoire incestueuse m'a beaucoup dérangée.
Dans une société comme la nôtre où la parole des enfants est mise sous cloche, ou au contraire, qu'on ose faire croire que les enfants prennent du plaisir, ça me dégoûte.
J'ai relu les premières pages pour être vraiment sûre d'avoir bien compris. A priori, oui.