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Citations sur Oksa Pollock, Tome 6 : Le crépuscule d'Edéfia (11)

Personne n'est réellement ce qu'il a l'air d'être. Pourtant, on veut tous être perçus, estimés, aimés pour ce que l'on est.
Et tout au long de notre vie, on avance avec cette contradiction tapie en nous. On veut être quelqu'un de bien, alors on fait semblant de camoufler nos propres secrets, nos faiblesses inavouables, nos petites lâchetés du quotidien.
La plupart des gens ne s'en rendent même pas compte. Ils croient être honnêtes, vrais, sincères avec eux-mêmes comme avec les autres. Sans doute préfèrent-ils rester aveugles. C'est plus facile. Ca fait moins mal.
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Il n'existe pas qu'une seule réalité, mais une multitude. Nous avons chacun la nôtre et un même évènement peut être vu, ressenti, vécu d'autant de façons qu'il y a de personnes
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Ils allaient tous quitter un monde qu'ils aimaient, mais chacun d'eux s'apprêtait à retrouver des êtres qui lui manquaient tant...
Et l'essentiel émergeait avec une évidence crainte : peu importait le monde dans lequel on vivait. Etre aux côtés de ceux qu'on aime, voilà ce qui comptait vraiment dans la vie !
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Il n'existe pas qu'une seule réalité, mais une multitude. Nous avons chacun la nôtre et un même évènement peut être vu, ressenti, vécu d'autant de façons qu'il y a de personnes.
Ces différences, infimes nuances parfois, peuvent ne rien changer. Elle peuvent aussi engendrer des gouffres et séparer ceux qui s'aiment, surtout quand elles reposent sur un insupportable secret.
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Il n'existe pas qu'une seule réalité, mais une multitude. Nous avons chacun la nôtre et un même évènement peut être vu, ressenti, vécu d'autant de façons qu'il y a de personnes. Ces différences, infimes nuances parfois, peuvent ne rien changer. Elle peuvent aussi engendrer des gouffres et séparer ceux qui s'aiment, surtout quand elles reposent sur un insupportable secret.Personne n'est réellement ce qu'il a l'air d'être. Pourtant, on veut tous être perçus, estimés, aimés pour ce que l'on est. Et tout au long de notre vie, on avance avec cette contradiction tapie en nous. On veut être quelqu'un de bien, alors on fait semblant de camoufler nos propres secrets, nos faiblesses inavouables, nos petites lâchetés du quotidien. La plupart des gens ne s'en rendent même pas compte. Ils croient être honnêtes, vrais, sincères avec eux-mêmes comme avec les autres. Sans doute préfèrent-ils rester aveugles. C'est plus facile. Ca fait moins mal.Ils allaient tous quitter un monde qu'ils aimaient, mais chacun d'eux s'apprêtait à retrouver des êtres qui lui manquaient tant... Et l'essentiel émergeait avec une évidence crainte : peu importait le monde dans lequel on vivait. Etre aux côtés de ceux qu'on aime, voilà ce qui comptait vraiment dans la vie !Et la vie se construisait ainsi, sans possibilité de retour en arrière, dessinant un chemin unique et personnel.Souffrait-on moins quand on n'était pas seul? Oksa s'était souvent posé la question, mais n'avait jamais trouvé la réponse. Il lui semblait juste que c'était moins dur.
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Et la vie se construisait ainsi, sans possibilité de retour en arrière, dessinant un chemin unique et personnel.
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Souffrait-on moins quand on n'était pas seul? Oksa s'était souvent posé la question, mais n'avait jamais trouvé la réponse. Il lui semblait juste que c'était moins dur.
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L'amour serait à tout jamais inconnu à Zoé, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir besoin d'être aimé. Et ce besoin passait par des attentions qui restaient artificielles pour elle, mais qui comptaient tant pour Niall.
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Il a cherché à me tuer à plusieurs reprises, il a attenté à la vie des personnes que j'aime le plus, j'ai été témoin de sa cruauté et de sa folie lorsqu'il a assassiné son père, ainsi qu'une partie de son propre peuple... Une seule chose compte pour nous aujourd'hui: unir tous ceux qui savent qui il est vraiment pour le combattre.
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Pourtant, le processus était chaque fois semblable, on pouvait désormais l'identifier, le décrire, le reconnaître, sans pour autant être capable de l'empêcher: une nuée de chauve-souris noircissait soudain le ciel. Venue de nulle part, insaisissable, elle s'abattait sur les rues. Comme si les espaces publics ne leur suffisait pas, les bestioles pénétraient aussi dans les bâtiments. Une cheminée, un conduit d'aération, une fenêtre entrouverte... le moindre interstice leur suffisait pour se faufiler. Personne ne pouvait leur échapper, elles mordaient tous les êtres humains ayant le malheur de se trouver dans leur funeste sillage, les poursuivant dans les recoins les plus cachés.

Le carnage commençait peu après. Alors que les hélicoptères de la Royal Air Force parcouraient le ciel, mitrailleuses et lance-flammes chargés à bloc, les populations contaminées abrégeaient les souffrances qui les torturaient, parmi les plus incompréhensibles qui soient: ne plus trouver une seule raison de continuer à vivre.
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