La chronique des Bridgerton, tome 3 : Benedict

Comment peut-on apprécié la perfection lorsqu'elle est une constante dans la vie ?

Les gens voyaient ce qu'ils s'attendaient à voir.

Si étrange que cela paraisse, la simple présence de Sophie suffisait à son bonheur Il n'avait même pas besoin de la voir, d'entendre sa voix ni de sentir son parfum. Il lui suffisait de savoir qu'elle était là. Si ce n'était pas de l'amour, il ne savait pas ce que cétait. ll la regarda longuement, en essayant de faire durer cet instant, de retenir ces secondes de perfection absolue.

Et même si elle n’avait aucune idée de ce qu’elle allait faire désormais, elle éprouvait l’inexplicable sensation que sa vie venait de commencer.

Eh bien, ce soir, il me semble que vous devriez... Mais.. que faites-vous donc ?
II la regarda comme si elle venait de poser la question la plus stupide au monde.
-J'enlève mon pantalon.
-Vous pourriez au moins attendre que j'aie le dos tourné! II la dévisagea sans comprendre. Elle lui rendit son regard. Un long moment passa avant qu'il ne demande :
- Eh bien ?
- Eh bien quoi ?
- Je croyais que vous vouliez tourner le dos ?
- Oh! s'écria-t-elle, affreusement confuse, tout en pivotant sur ses talons à la vitesse de l'éclair.

Dans ce cas, commençons tout de suite, dit-il. Et demain. Vous serez une autre femme. -
Ce soir, je suis une autre femme, rectifia-t-elle dans un murmure. Demain... je ne serai plus là.
Benedict l'attira contre lui et déposa un baiser infiniment léger sur son front.
Alors, nous allons devoir mettre dans cette soirée une vie entière.

Bénédict rejoignit sa mère
Vous ai-je déjà dit, chuchota-t-il à son oreille, combien je vous aimais ?
Non, répondit-elle avec un sourire espiègle, mais je le savais
Et vous ai-je dit que vous étiez la meilleure des mères ?
Non plus, mais je le savais également.
Tant mieux

On ne peut pas
grandir entourée de
tant d'amour et de
loyauté sans devenir
quelqu’un de bon

Le bohneur est à
porte de votre main ;il
vous suffit de le saisir

De nombreux père
se préoccupent pas le
moin du monde du
sort de leurs enfants