Jean Racine, pour moi, cela datait du collège. Pas comme
Corneille, surtout pas comme
Molière, fréquemment joué.
Et là, je suis tombée sur l'histoire de ce duel
Corneille/Racine pour les beaux yeux de la princesse d'Angleterre.
J'ai relu
Bérénice. C'est grandiose. La tragédie de
Corneille est dépassée. Là où il n'y avait que contingences politiques, voici une analyse des passions humaines.
J'ai évidemment adoré le personnage d'Antiochus et ne comprends guère les critiques faites à ce personnage, essentiel à mes yeux pour ne pas tomber dans la romance.
Bref, une lecture salutaire. J'adore le théâtre dit "classique".
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