La connaissance est une richesse.
La vie a le goût amer du citron vert...
Je suis plus heureux en joueur remplaçant qu’en avocat de premier plan.
Je n’ai que deux pieds. C’est un de mes seuls points communs avec les pauvres.
Il existe toutes sortes de courage, Jefferson. Pour certains, le courage, c’est ne pas reculer sous les balles. Pour certains, c’est plonger à mille mètres d’altitude. Pour certains, c’est prendre tous les jours des traitements lourds pour une maladie grave. Le courage, c’est parfois être capable de vivre avec son passé, élever seule ses enfants, tenir la main d’un mourant, ne pas avoir peur de son supérieur hiérarchique.
Les hommes politiques ne connaissent pas le mouvement des astres. Ils bossent tout le temps.
On ne peut pas dire : « Tu ne tueras point » et faire la promotion de ce qui est évidemment conçu pour tuer.
Au fond, les seules règles qui lui avaient paru acceptables, dans sa vie, c’étaient celles du football. De ce côté-là, il était presque rigide : rien ne l’agaçait plus que les joueurs qui commettaient une faute à un moment crucial et pénalisaient toute l’équipe.
Ce connard n’avait que deux talents : il savait s’entourer de conseillers dotés du cerveau qui lui manquait – tout un aréopage de surdoués surdiplômés servait le benêt, trop contents de frôler le pouvoir à défaut de le posséder ; et il savait se rendre sympathique. Question de sourire, de poignée de main. Et puis les électeurs adorent les imbéciles : ça leur évite les complexes.
Les tyrans les plus intenses sont les plus brefs.