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sur 623 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Mon dernier Anne Rice date de 2006, année de ma découverte de Lestat le vampire, La reine des damnés et d'autres romans dévorés et aimés aussi. D'ailleurs, je pense reprendre la saga des vampires car on devient vite accro aux histoires de cette auteure. Il faut, bien entendu, être passionné du genre.
Cette fois, j'ai voulu découvrir la saga des sorcières, d'autant plus que ce roman est un cadeau de ma fille pour la fête des mères (elle connait trop bien mon penchant pour le fantastique). Anne Rice commence par nous faire entrer dans la vie de chaque personnage et on se retrouve devant un grand arbre généalogique de la famille Mayfair. le récit est plein de secrets et de mystères et de génération en génération, on fait la connaissance avec les sorcières.
J'hésite à acheter le second tome. Je préfère lire les avis de mes ami(e)s de Babelio pour trancher. Ce roman est loin de la saga des vampires.
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Résumé:

Sous le porche dune vieille demeure à l'abandon de la Nouvelle-Orléans, une femme frêle et muette se balance dans un rocking-chair : Deirdre Mayfair est devenue folle depuis qu'on lui a retiré, à la naissance, sa fille Rowan pour l'envoyer vivre à San Francisco. Et derrière la grille du jardin, un homme, Aaron Lighter, surveille inlassablement Deirdre, comme d'autres avant lui, pendant des siècles, ont secrètement surveillé la famille Mayfair. Car ils savent que, de génération en génération, les femmes du clan se transmettent leurs maléfiques pouvoirs et que la terrifiante et fabuleuse histoire de cette lignée de sorcières ne fait que commencer...


Mon avis:

Ouf ! Je suis enfin venue à bout de cet énorme pavé (presque 800 pages d'une toute petite écriture et aucune perte de papier, c'est du sport !! :P) ! Même si j'ai bien pensé 1 ou 2 fois que certains passages auraient pu être légèrement abrégé, je ne me suis pas ennuyée une seule minute, et je pense que finalement, malgré quelques longueurs, le récit est très bien comme il est.

Je n'avais encore rien lu de cet auteur, mais j'ai beaucoup aimé sa façon d'écrire. Elle m'a un peu rappelé Stephen King, pour cette façon d'amener et d'installer l'histoire, les lieux, les personnages, etc… tout en douceur, en prenant son temps, mais en parvenant malgré tout à nous tenir en haleine et à maintenir un suspens permanent.

Au départ, la famille est très mystérieuse, et on attend avec impatience d'en savoir plus sur elle. Rapidement, on obtient bien plus d'information que ce à quoi on s'attendait. Cet aspect m'a un peu fait penser à « Millénium », pour le talent avec lequel l'auteure décrit les nombreuses ramifications de la famille et leurs vies. Bien sûr, les 2 oeuvres ne sont pas vraiment comparable, parce qu'ici, cette partie du travail est juste énorme ! C'est tellement développé, qu'on en vient à ce demander si ces gens n'ont pas réellement existé, il y a tellement de personnages, de détails sur leurs vies, etc… c'est juste hallucinant !
D'ailleurs, ça prend une telle place dans ce tome, qu'à un moment, j'ai eu peur que ça n'en devienne ennuyeux (des tonnes et des tonnes d'archives, ça peut vite devenir lourd…), mais à ma grande surprise , ça n'a pas été le cas, au contraire, petit à petit, on découvre ces gens, leur histoire, la famille devient moins sombre, on s'attache à eux et on se passionne de plus en plus pour ce qu'il leur arrive.
Finalement, je pense que ça aurait été bien moins intéressant si ça avait été traité autrement.

Ce qui est surprenant aussi, c'est que malgré un très grand nombre de personnages, on ne s'y perd pas. Comme la plupart du temps on nous raconte la vie de la famille chronologiquement, ça ne se chevauche pas, et comme on apprend beaucoup sur chaque personnage, on les différencie assez facilement. Il faut dire qu'ils sont tous passionnant !

Ceux qui font parti de l'histoire qui se passe de nos jours sont aussi très intéressants et attachants, pendant la « période archives », j'avais d'ailleurs hâte de les retrouver et de passer plus de temps avec eux.
Mickael est parfois un peu niais, mais dans l'ensemble, je l'aime bien.
Quand à Rowan, c'est vraiment un personnage très intéressant, elle évolue au fil de l'histoire, mais dès le départ, je trouve que derrière ses airs de jeune médecin « normal », on ressent bien son mauvais côté, sa part de sorcière. D'ailleurs,

[spoiler] finalement, au début, on pourrait croire qu'elle sera meilleure (dans le sens moins mauvaise) que ses ancêtres sorcières, mais finalement, on se rend compte que les autres était plus douce et gentille et qu'elle pourrait bien être vraiment méchante et maléfique au fond d'elle.[/spoiler]

Je trouve ça intéressant, parce que le fait qu'on nous fasse découvrir cette famille de sorcières de l'intérieur était quelque part l'occasion de nous montrer les bons côtés de ces personnages mythiques, les connaître mieux, donne à ces sorcières quelque chose de plus humain, de plus « normal », mêmes si elles restent inquiétantes. Mais j'aime aussi beaucoup l'idée que

[spoiler]finalement, une sorcière reste une sorcière, avec aussi tous ses mauvais côtés… Je trouve que rendre Rowan trop douce l'aurait rendu bien moins intéressante, même si du coup, on l'apprécie moins, forcément ![/spoiler]

Sinon, une chose que j'ai beaucoup apprécié aussi, ce sont les lieux, les décors dans lesquels se passe l'histoire, ils sont très nombreux en raison du nombre de personnages. J'ai particulièrement aimé cette maison qui -à l'instar de ses occupants- est tout d'abord très mystérieuse et inquiétante, mais qu'on fini par aimer, comme si elle était elle aussi un personnage de l'histoire. Et puis, il y a le cadre où l'on passe le plus de temps : La Nouvelle Orléans, pour y avoir passé quelques temps il y a quelques années, j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver les rues, les décors, les défilés et l'ambiance que j'avais rencontré lors de mon séjour, c'était un petit plus très agréable !

Donc, dans l'ensemble, même si j'aurais peut-être parfois aimé un peu plus d'action, j'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture, j'ai aussi bien aimé le style de l'auteure, et j'ai hâte de lire la suite de ces aventures !

Lien : http://l-imaginarium.forumac..
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Premier tome de la Saga des sorcières… et dernier pour moi qui ait eu du mal à survivre à cet indigeste pavé d'ouverture.
Le gros travail de construction généalogique autour de l'héroïne est certes bien fait et pose beaucoup d'éléments mais trop pour une simple présentation : 750 pages de worldbuilding et pas grand-chose à côté. le lien maléfique ressemble moins à un roman qu'à une mise au propre de notes de travail pour construire le background une famille de sorcières.
S'ajoutent les mêmes défauts que le violon de la même auteure : redites à foison, digressions à l'envi, héroïne amorphe qui passe son temps à végéter, ressasser, larmoyer.
Alors maléfique, d'une certaine façon, oui, parce que ce bouquin assommant fait très mal aux yeux, à la tête et à la réserve de patience du lecteur.
Lien : https://unkapart.fr/terreur-..
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Cela faisait 25 ans que je n'avais pas lu ce livre et j'ai retrouvé avec plaisir les sorcières de Mayfair, mais je dois dire que la lecture est un peu fastidieuse, mais prenante car le récit couvre 300 ans d'histoire et nous emmène à travers le monde avec une bonne description de toutes ces époques et de tous ces lieux.
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La généalogie des sorcières Mayfair par le Talamasca, l'aperçu historique, de l'Ecosse superstitieuse au manoir de la Nouvelle-Orléans reprend les archétypes de la sorcellerie, des apparitions fantomatiques au vaudou avec ces poupées et ces tambours. Deborah, Charlotte, Mary Beth, Julien, Stella, Antha et Deirdre fascinent, Lasher aussi, mais Michael et Rowan sont agaçants avec leur romance à l'eau de rose fanée et ils font traîner le roman en longueur, en se disant des banalités, en réitérant les rituels quotidiens du matin et du soir, en étant affreusement passifs. Ils sont pris dans la toile, hantés par le manoir, possédés par l'arôme de la végétation luxuriante mais les descriptions ne se réinventent pas et au final, la lectrice que je suis se languissait jusqu'à l'ennui, parce que je n'ai pas été séduite, le charme n'ayant pas pris.
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Au final, les lecteurs qui connaissent et apprécient l'auteure ne seront pas déçus et se précipiteront sur ce roman, si ce n'est déjà fait. Quant à ceux qui ne la connaissent pas, je ne saurais que trop leur conseiller de commencer par le meilleur d'Anne RICE [Entretien avec un vampire] pour se forger une opinion et aller plus avant, ou non, dans sa bibliographie.
Lien : http://philemont.over-blog.n..
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Suite à la déception de *Salem* je m'en suis entièrement remis à la spontanéité impulsive de cette furieuse lectrice qu'est ma collègue Océane.

Dans les règles de l'art, elle m'a donc proposé une autrice dont j'ai toujours juré que je la lirais un de ces jours - avec toujours l'excuse de la remettre à plus tard à cause qu'on est libraire et que nos lectures ont la vie dure tu vois ? Là, pas question de me défiler, c'était un coup à perdre un café à la machine à café, tu vois le genre ?

Je parle d'Anne Rice, l'autrice qui m'a fait découvrir la Nouvelle Orléans indirectement en me foutant une trouille et un blues monstre à cause de L'Entretien avec un vampire quand j'étais un peu plus petit qu'aujourd'hui ce qui commence à faire longtemps.

Et vous savez ce que j'ai trouvé de fascinant ? (Ce genre de fascination qui n'est fascinante que pour toi sur le moment et qui perd toute sa splendeur quand tu le déclares à clavier haut ?) :

On est super dur avec les auteurs de terroirs régionaux mais en vrai les meilleurs livres d'auteurs connus sont des putains de romans de terroirs aussi ; Stephen King pour le Maine, Chris Offutt pour les Appalaches, Paul Auster pour New-York ETCAETERA ETCAETERA et donc Anne Rice pour La Nouvelle-Orléans (en plus de Poppy Z. Brite si tu veux mon petit avis). Ces régions/villes doivent beaucoup de fantasmes à ces romancier.es je trouve. (je trouve beaucoup de choses que veux-tu c'est la vie).

Je m'étends je monopolise je m'en désole et hop. le choix s'est arrêté sur le premier tome d'une trilogie intitulée *La Saga des Sorcières*.

Je me suis plongé corps et âme dans le genèse d'un genre qui m'était complètement inconnu jusqu'à aujourd'hui ; la romance érotique à deux balles calée sur une documentation historique carrément convaincante, avec des idées plus que progressistes tout en étant glauques et rétrogrades (cf. la pédosexualité vue sous un prisme d'excitation possible de la part des protagonistes - et héros de l'intrigue, par exemple).

Anne Rice aime les corps magnifiques, tou.s.tes ses personnages sont à tomber de beauté, font divinement l'amour et …. et pratiquent donc quelques traditions incestueuses (qui choquent un peu en 2021, ça casse un peu sévère le mythe pour moi déso).

Néanmoins, je me suis pris d'affection pour le côté historique et cette carte postale de la Nouvelle-Orléans est divinement illustrée. J'ai pensé plusieurs fois à Poppy Z. Brite (que j'adore je te jure) et à une des saisons d'American Horror Story (qui n'est pas la plus réussie mais niveau ambiance y'a du level faut bien avouer).

Ce premier tome est il un bon roman pour autant ? Hmm. Il y a quelques longueurs et on peut rapidement se faire chier.

MAIS, ses nombreuses coquilles et sa simplicité scénaristique font que vous pourriez gober un plein tube de Tranxen, vous pourriez tout comprendre sans vous fatiguer les neurones. Il y a quelques scènes un peu flippantes - en tout cas au début - et du coup, pour un roman d'Halloween, ben … ça fait ce qu'on demande nan ?

Je le conseille donc pour satisfaire sa curiosité, ce qui est plutôt cool de se débarrasser de cette responsabilité en laissant place à vos futurs libres arbitres.

BISOUS CITROUILLESQUES
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Premier tome d'une trilogie à l'effigie des sorcière, Anne Rice nous dépeint avec force convaincante treize générations de sorcières d'Ecosse en France, de France à la Nouvelle Orléans. Ainsi commence les périples de maudits personnages peints en délicatesse. Vrai perle de mystère et de convoitise, ce premier volume donnera l'effrayante panoplie d'ambiances maîtrisées.

Avant toute chose un mot celui de dire que j'ai fais une pause de quelques jours avant de reprendre ce récit. J'aurai pu le lire d'une traite comme le tome 5 d'Harry Potter (car le Lien Maléfique fait quelques 900 pages) malheureusement, je n'avais pas envie de me répugner par cette lecture. D'ailleurs cette technique m'a permis plus que de mesure d'apprécier la fin de ce début très prometteur. Mon histoire avec Anne Rice n'est pas récente loin de là, j'avais commencé à lire ses chroniques des vampires (Entretien avec Un vampire ; Lestat le Vampire ; La Reine des Damnés), de nombreux tomes écrit avec volupté et passion, sensualité et terreur. J'ai donc eu plaisir à rejoindre cette auteur dans une autre de ses oeuvres.

Malgré quelques descriptions assez mal menée je l'avoue (c'est très subjective étant une fan inconditionnelle de Victor Hugo) qui gâchent joliment la narration, nous plongeons directement dans une ambiance mystérieuse qui sied bien à ces créatures fascinantes. L'écrivain parle de magie noire, de fantôme, confond le lecteur dans un marasme de sentiment, un tourbillon de questions auxquelles elle s'amuse à faire patienter son auditoire pour un suspens hallucinant. On nage dans quelques pays tout d'abord puisque écrire sur plus d'une dizaine de générations prend synonyme de voyage, d'exode à la manière de Moïse ramenant son peuple ; la deuxième héritière des Mayfair fait de même.

Des personnages riches, subtiles, construits avec soin qu'Anne Rice nous propose pour notre plus grand bonheur, une panoplie de caractère différents et de physiques différent. Quelques noms m'ayant marqué comme Rowan ; Julien ; Michael : Aaron etc... je compte les personnages comme une ville garnie. Cependant (et voici une clause intéressante), les personnages ne sont pas tous humains et sorciers mais également symboliques comme la maison de First Street qui se déploie personnage mère à la manière de Florence dans Lorenzaccio. Lasher semble être l'élément clef de ce premier tome : esprit, diable, démon ? Qu'est-il celui qui a suivi depuis le 17 eme siècle la famille Mayfair ? Je remarque un sourire sur mes lèvres que le roman se veut féministe, les sorcières ont le pouvoir, une fille dirige (dans ce cas là plusieurs sur le temps) et les histoires d'amour qui paraissent voir le jour entre les lignes suivent le court logique et agréable d'une romance justifiée, d'adulte. Quelques notions d'érotisme apparaissent lascivement prenant sens dans les moments les plus intenses, répondant même à certaines questions et offrant un réalisme poignant.

La passion du roman réside aussi dans l'intensité et le style s'accolant à merveille dans certains passages qui se veulent horrifiques, mention à ne pas lire la nuit si vous ne voulez pas vous égarer dans une peur prenant aux tripes (je viens de le finir ce matin et j'avais le rythme de mon coeur augmenté). Anne Rice surprend par des mots enchaînés, entraînant alors une suite d'action se démultipliant pour sublimer l'émotion que peuvent contenir certains moments du livre. Des paroles fascinantes auxquelles on a difficilement du mal à se détacher par des voix éternelles. le côté psychologique, changeant est également richement fabriqué par des mains de soies. Des révélations mais pas des plus flagrantes car d'autres questions se posent après les minces réponses que l'on reçoit, toujours ce charme sûr néanmoins de continuer sur notre lancé pour en apprendre d'avantage. Les ponts bâtis avec brio nous mènent cher dupes lecteurs dans plusieurs mondes se mêlant parfaitement collier de perle d'effroi, de plaisir (un brin masochisme dans le sens où, même si l'on ressent des sentiments parfois négatifs nous voulons continuer à l'image que Lasher subjugue Rowan dans le fin fond de l'abysse).

Quelques 900 pages ne peuvent se résumer, tellement de sujet à discuter dans un livre riche de référence, je note des clins d'oeils au Nouveau Testament, une métaphore à la vierge Marie, puis à Mary Shelley l'écrivain célèbre pour Frankenstein peut-être le fameux Faust de Goeth (pilier de la littérature romantique Allemande) on y parle de pacte avec... une chose méconnue mais concrète. Quelques 900 pages ne s'expliquent pas, elles se vivent en les lisant, en forgeant en notre coeur un monde d'imaginaire noir, grand talent qu'Anne Rice esquisse dans le premier tome de la Trilogie des Sorcières.
Lien : http://laplumeargent.blogspo..
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L'univers d'Anne Rice est incroyablement riche, profond et captivant. J'aime énormément ses écrits vampiriques (vraiment vraiment beaucoup) c'est donc avec une certaine exigence que j'ai débuté la Saga des Sorcières Mayfair.
Le mystère de cette famille de sorcières et de l'esprit de la famille, Lasher, semble bien ficelé et s'amplifie page après page.
La précision et la richesse avec laquelle l'auteure détaille les différents décors et environnements notamment la maison de First Street me donnait l'impression de connaitre réellement cette maison.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire la partie racontant le passé des Mayfair, depuis l'écosse jusqu'à la Nouvelle-Orléans, oubliant un peu l'intrigue du 'présent' car les personnages de ce présent sont moins charismatiques que ceux du passé. Ravie de retrouver également le TALAMASCA, toujours aussi mystérieux et élégant !
Toutefois, c'est un sacré pavé qui est parfois un peu long car il y a des événements qui sont racontés plusieurs fois, des passages et des personnages inutiles... et je n'ai pas du tout apprécié les passages sexuels surtout les rapports incestueux, ça faisait trop, sans apporter quoique ce soit de bon à l'histoire, au contraire même, ça ne fait que la rendre plus malsaine encore !
Grosse déception également à la fin du livre, j'étais vraiment étonnée et désagréablement surprise des réactions de Super Rowan et de l'inutilité de Michael...

Conclusion : Ce livre a de l'intérêt davantage grâce à la qualité et la richesse de la plume de l'auteure que part son contenu mais il me faut reconnaître que j'avais envie de savoir la suite, ou plutôt que je voulais avoir les réponses à mes questions.
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Livre culte enfin réédité !
Du pur fantastique, mâtiné d'érotisme au coeur d'une Nouvelle-Orléans sombre à souhait. Un must-read pour tout amateur du genre.
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