Apolline et le chat masqué

Quand il revint, apolline réorganisait sa collection de chaussures orpheline dont elle était très fière. Chaque fois qu'Apolline achetait des chaussures, elle en portait une et ajoutait aussitôt l'autre à sa collection.

Quand il vivait dans un marécage en Norvège, monsieur Munroe n'était pas obligé de ranger sa chambre car il n'en avait pas. Il vivait dans un simple trou au fond duquel il y avait une flaque d'eau.

_Il faut que je me coiffe?Demanda Appolline.Monsieur munroe acquiesça. La chose qu'il détestait le plus après se faire brosser les cheveux était de brosser ceux de quelqu'un d'autre. Mais il savait que ça aiderait Apolline à se sentir mois triste.Il s'appliqua donc du mieux possible.

Apolline vivait au vingt-quatrième étage de l'immeuble Poivrier. Cet immeuble s'appelait en réalité la tour H.W. Huffledinck, mais il ressemblait terriblement à un poivrier, du coup, tout le monde le surnommait de Poivrier. Apolline habitait dans l'appartement 243 avec monsieur Munroe qui était petit, poilu et chevelu.

Apolline se tourna vers monsieur Munroe et le serra fort dans ses bras.
- Je suis très fière de toi, dit-elle.
Monsieur Munroe acquiesça et Apolline, qui le connaissait mieux que personne, était sûre qu'il souriait.

Apolline vivait au vingt-quatrième étage de l’immeuble Poivrier.

C'est normal car ses cartes postales venaient toutes de ses parents.

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Apolline aimait regarder les images de ces lieux lointains et elle ne se lassait jamais de lire et relire les messages écrits au dos. Elle avait alors l'impression que ses parents n'étaient pas si loin. (Page 49)

Dès la naissance d'Apoline, elle et monsieur Munroe devinrent inséparables. Il la promenait. Il la laissait le coiffer. Il lui laissa même lui donner un bain... mais une seule fois. Quoi qu'ils fassent, les parents d'Apolline savaient que tant que leur fille était avec monsieur Munroe, elle était en sécurité.

Apolline aimait résoudre les problèmes difficiles et concevoir des plans habiles. Elle trouvait ça encore plus amusant que de patauger dans les flaques.