Elliot s'ouvre sur une scène porno gore zoophile menée par des enfants sur un chien.
Comme beaucoup d'autres histoires de la collection Cobayes, le style y est faible, et les répétitions courantes. Je m'y attendais. Mais ici,
Madeleine Robitaille parvient tout de même à se caler un cran en dessous, niveau plume. La faute à un amoncellement répété de saloperies sans aucune esthétique. Il ne suffit pas de combiner des termes dégueulasses pour se gargariser de déranger le lecteur. Il n'y ici aucune construction.
Il est rare que je ne termine pas un bouquin, et ce n'est même pas par dégoût, mais par ennui. Ennui de lire et relire les mêmes termes, page après page.