Les enfers froids avaient beau être reconnus comme les pires, l’apparence des enfers du pal était plus atroce. Le territoire était hérissé de poteaux où des damnés étaient empalés se tordant de douleur.
(Alire, p.47)
Où qu’elle soit aux anciens enfers, les cultures croissaient sur une terre mêlée aux cendres des milliards de damnés qui avaient autrefois souffert en ces lieux. L’eau douce, semblable à des larmes dont on aurait enlevé le chagrin, abreuvait les champs…
(Alire, p.44)