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2,9

sur 560 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Comment croire que ce livre a été écrit par l'auteur de "Elle s'appelait Sarah" ? ou même d'autres livres comme Rose ou Boomerang.
Quel ennui ! J'ai persévéré à la fois grâce à l'écriture de Tatiana de Rosnay, qu'on suit facilement, et parce que je pensais sans cesse qu'il allait se passer quelque chose.
Intéressée au départ parce qu'il s'agit d'une histoire de secret de famille, puis dès le début parce que j'aime bien les romans se déroulant dans un hôtel de luxe.
Je ne m'attendais pas à des pages et des pages de description des people, et des états d'âme inintéressants de ce jeune homme odieux d'un bout à l'autre.
Madame de Rosnay semble avoir rassemblé ici en vrac plusieurs sujets qui la touchent de près, ou des actualités qu'on avait suivi : une famille russe, le nom de ses ancêtres, la disparition de son oncle Arnaud, un premier livre à succès planétaire adapté au cinéma, sa difficulté à prouver sa nationalité française lors du changement de loi (j'avais suivi sur les réseaux sociaux cette histoire assez agaçante, il me semblait y avoir là matière à un bon roman de sa part), le naufrage du Concordia ....

Aussi une satire qui aurait pu être intéressante sur l'addiction aux réseaux sociaux.
Mais trop bavarde, trop de répétitions. On a l'impression de ne pas avancer.

Pratiquement pas de personnages sympathiques, le héros est odieux, sa copine inexistante, les comparses peu agréables. Quant à la mère, quand elle se manifeste, c'est pour enfoncer, au lieu d'aider, et elle est encore plus odieuse que son fils.
La seule qu'on aurait envie de croiser un peu plus est sans doute sa guide en Russie.
C'est d'ailleurs le seul passage où j'ai bien accroché, et j'ai eu du plaisir à lire.

Même le passage sur les manies des écrivains, qui aurait dû me plaire, s'avère trop long, une simple énumération, très vite on s'ennuie.

Je suis habituellement plutôt "bon public" pour les romans, surtout ceux faciles, mais là, je regrette, je n'ai vraiment pas réussi.
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Presque 350 pages... Je n'en aurai lu que 50 et cela me suffit! J'avais été atttiré par ce roman parce qu'il avait pour sujet un secret de famille... Beaucoup de pages noircies pour pas grand chose, entre vie dorée et surfaite d'un jeune écrivain qui vient de faire fortune grâce à un premier roman, son stylo Montblanc, son séjour dans un palace italien, les voitures luxueuses et rapides des client de l'hôtel 5 étoiles, sa collection de montres de luxe, son physique très avantageux, ses nombreuses conquêtes... beaucoup de clichés, et une coloration "bling-bling" qui ne correspond pas du tout à ce que j'aime et recherche. Mauvaise pioche. Je ne vais pas m'attarder à lire plus avant des inepties.
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Le héros, Nicolas, a écrit un premier roman qui a connu un succès mondial et une adaptation au cinéma, pour laquelle l'actrice principale a reçu un Oscar. Il a été publié par une petite éditrice qui a eu le coup de foudre pour son livre. Confiante, elle lui a fait signer un contrat en or pour un second livre. Mais depuis deux ans, Nicolas n'a plus écrit : manque d'inspiration et d'envie. Il surfe sur le succès : voyages, cocktails, grands hôtels ….. et il est devenu, comme le dit son ex-compagne, un petit con prétentieux et arrogant.

Son premier roman s'inspire de son histoire personnelle : un secret de famille concernant son père et sa grand-mère paternelle. Il a changé les lieux, les personnages et a créé une héroïne qui a séduit son lectorat. Il est d'ailleurs accro à communiquer avec ses lecteurs via Facebook et Twitter.

Le « secret » est assez secondaire dans l'histoire qui est surtout centrée sur la personnalité de Nicolas, ses interrogations, ses états d'âme, ses rencontres, sa relation avec son amie du moment … et tout cela ne m'a guère « emballée » …. Un roman que j'ai lu à la limite de l'ennui … J'ai même eu l'impression que l'auteure faisait « du remplissage » …. En manque d'inspiration comme son héros ?

Déception après la lecture d'autres ouvrages qui m'avaient beaucoup plu ...

Néanmoins, quelques passages agréables, des réflexions parfois intéressantes et une écriture fluide ..... me font donner 2 étoiles ...
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Tatiana de ROSNAY. A l'encre russe.

J'aime bien écrire ma critique dès la dernière page tournée. Mon ressenti est livré à chaud. Autant j'ai adoré « Elle s'appelait Sarah », autant je déteste « A l'encre russe ». Ce roman paraît d'une platitude. Cela ressemble à une demande pressante de sa maison d'édition. Peu d'action dans ces 350 pages. Et oui, cette narration comporte un grand nombre de pages et ne nous apprend pas grand-chose. Ah ! Si un jeune écrivain, ayant publié un seul roman est devenu milliardaire et coule des jours merveilleux, parcourant le monde pour rencontrer ses millions de lecteurs. Un film a même été tourné avec de grandes stars à l'affiche ! Il participe à de nombreux salons littéraires, des signatures, fréquentant le monde du bling-bling, les nantis, les riche et se complaît dans tout ce luxe, cet étalage de diamants, de robes de grands couturiers, dans la soie, les montres hors de prix. Il les collectionne et les achète comme vous et moi achetons notre pain quotidien.

Nicolas Duhamel, 24 ans, le héros de ce récit se rend au bras d'une nouvelle conquête dans un célèbre palace, en Italie pour tenter d'écrire un nouveau roman. Nous baignons dans le luxe étalé à tire larigot, les suites royales, la piscine au ras de la chambre, les serveurs empressés de devancer les demandes de ces clients hors du commun… Suite au décès de son père, il découvre que cet homme dont il porte le nom n'est pas son père biologique. Il se lance à la poursuite de ses origines et au cours des trois jours de ses nuitées au « Gallo Negro » avec une vue imprenable sur le Monte Argentario, il va raconter cette recherche généalogique et nous voyagerons de Paris, Biarritz, Saint-Pétersbourg, etc.…

Je ne pense pas renouveler ma confiance à cette autrice. Je le répète mais un large panel existe sur les étals de nos libraires, dans nos médiathèques et même , au cours de nos promenades, dans les boîtes à livres, dispersées ça et là... Je vais tenter de sélectionner un peu mieux mes choix littéraires. Je suivrai également vos conseils, lecteurs babelionautes confirmés. Je vous accorde ma confiance et vous souhaite une bonne journée.
( 13/01/2023).
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Nicolas a une vingtaine d'années lorsqu'il fait une découverte incroyable, remettant en question ses origines. C'est en procédant à un renouvellement de passeport que le jeune homme apprend que son père – disparu mystérieusement en mer sur la côte Basque quand Nicolas avait quinze ans – s'appelait en réalité Koltchine et était russe. Ce secret de famille bien gardé lui saute au visage et chamboule alors son existence.
Evidemment, il interroge ses proches et organise un voyage à Saint-Petersbourg. La lumière se fait un peu mais pas complètement. Nicolas se met à écrire. Son histoire personnelle alimente bien sûr le roman qu'il intitulera L'enveloppe.
Une petite maison d'édition croit à ce roman et le publie sans détour. L'enveloppe devient un Best-seller. Une adaptation au cinéma vaut même un oscar à l'actrice principale Robin Wright. du jour au lendemain, Nicolas Duhamel sort de l'anonymat. Ecrivain vedette, son image est partout. Et qu'est-ce qu'il aime cette sensation nouvelle : être reconnu, photographié, encensé...
Attentif à tout ce qu'on dit sur lui, il est devenu accro à twitter, facebook et autres réseaux sociaux. Une vraie addiction. le succès lui monte à la tête. Fiction et réalité se confondent. La terre entière semble le connaître et en même il n'a jamais été aussi solitaire.
Une escapade en Toscane, à l'hôtel Gallo Nero, en compagnie de Malvina, une très jeune femme ravissante est censée favoriser son inspiration... car son éditrice attend avec impatience son second roman... mais Nicolas n'a encore rien écrit, sa page reste blanche. Et ce n'est pas entourés de luxe, de volupté, de personnages haut en couleur et méprisables qu'il arrivera à quelque chose. Difficile de se remettre en question dans des conditions pareilles. Connecté en permanence à Internet, il est totalement déconnecté de la vraie vie.
Après maintes péripéties et autres déconvenues, un événement va subitement changer la donne et insuffler l'inspiration à l'écrivain qui est en Nicolas : le paquebot Costa Concordia va faire naufrage. Cet épisode arrive, permettez moi l'expression, comme un cheveu sur la soupe, et solutionne tout en quelques pages.
Heureusement qu' au détour de certaines pages, on trouve des passages intéressants sur le processus d'écriture, la construction d'un roman, le monde de l'édition, la célébrité et ses affres, la question des réseaux sociaux. le roman en lui-même m'a ennuyée. Et je n'ai éprouvé aucune empathie pour les personnages.

Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Déçu, oh oui
Je n'ai pas retrouvé l'écriture de Tatiana, après avoir lu 12 de ses livres ; pas de personnage attachant, à part son Guide à Saint-Pétersbourg et Natacha qui le changera
l'orgueil du héros et sans limite, et sa page Face-Book est une de principale préoccupation, pris à son propre jeu, cela ne plaira pas,
Il y avait une histoire passionnante en second, en fond, une histoire Russe, trop étouffé, j'aurai aimé que cela soit réellement, de L'encre Russe
Heureuse, je commence Son Carnet Rouge plein d'humour
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Roman un peu fourre-tout qui évoque pêle-mêle un secret de famille, les effets néfastes d'une célébrité soudaine, l'addiction aux réseaux sociaux et l'angoisse de la page blanche. La quête d'identité du héros, tant familiale que littéraire, se noie malheureusement dans les différentes thématiques abordées. [La scène finale à bord du paquebot naufragé, en mode révélation, m'a semblé complétement surréaliste.] Lecture décevante.
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À l'encre russe (2013) m'a plu très moyennement, surtout la première partie qui m'a paru une véritable collection de clichés avec, entre autres, cette énumération exasperante de marques de montres de prix. (Je pense que toutes y figurent…) Les personnages sont assez stéréotypés et peu approfondis autour d'un secret de famille sur l'origine russe du père du protagoniste dans une histoire familiale glauque qui ne sera jamais explicitée clairement; c'est au lecteur d'extraire les déductions, ce qui est en soi une manoeuvre habile de la part de l'écrivain.

L'histoire s'enroule autour de Nicolas Duhamel, un beau gars, professeur de philo de son état; il va écrire un premier roman qui sera un best seller international, roman qui narre la découverte fortuite de la vraie identité de son père et de ce fait, de sa filiation inattendue. le succès tonitruant a fait que Nicolas Duhamel a perdu pied avec une certaine réalité le rendant accro et compulsif aux réseaux sociaux. de plus, après ce premier roman à succès, c'est l'angoisse de la page blanche pour entamer l'écriture d'un deuxième livre.

Ce pauvre Nicolas Duhamel, sur 3 jours il va connaître bien de déboires. C'est un personnage assez futile, antipathique, ainsi que la plupart des autres personnages. Pendant les 3 jours de séjour dans un hôtel de luxe où Nicolas croit pouvoir retrouver l'inspiration, Tatiana de Rosnay va nous faire revivre la tragédie stupide du Concordia puisqu'elle le fait naufrager devant l'hôtel.

La seule partie qui m'a intéressé du roman, ce sont les pages 240 et 241 qui nous livrent une importante série d'écrivains avec leurs manies d'écriture.
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Je suis restée un peu sur ma faim avec ce roman... le sujet est intéressant mais survolé et je reste avec beaucoup d'interrogations ... sans doute les mêmes que Nicolas.

Comme son entourage, j'ai ressenti que Nicolas avait changé depuis l'énorme succès de son livre, il énerve et en même temps il fait un peu pitié à tourner en rond autour de sa personne.

Je n'ai pas compris l'intérêt d'insérer les faits d'actualité anachroniques, en particulier les allusions à l'affaire DSK qui n'apporte vraiment rien à l'histoire. J'ai été agacé de lire que dans ce milieu hyper aisé, tout le monde est beau, grand, ...vraiment trop de clichés.

Même la structure du roman m'a semblé confuse à certains moments, je ne savais plus si Nicolas se trouvait à Paris, en Toscane ou en Russie.

Dommage !
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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Même si on retrouve la plume de l'auteur par des passages poignants, il faut avouer que j'ai décroché pendant certains passages du livre (peu être pour cela que j'ai mis du temps à le lire) mais satisfaite d'avoir été jusqu'au bout...
Du coup, une question me taraude : il y aura-t-il une suite à l'histoire de Nicolas ???
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