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Citations sur Divergente : Quatre (113)

"[...] si les blessures guérissent, elles ne disparaissent jamais totalement. Je les porte avec moi, partout, toujours ; il en va ainsi avec la vie, et avec les cicatrices."
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Le mot "jolie", avec tout ce qu'il représente, me semble tellement dérisoire que je ne vais pas tergiverser.
- Admettons. Tu n'es pas jolie. Et alors ? (J'essaie de rassembler mon courage tandis que mes lèvres glissent vers sa joue.) Tu me plais comme tu es. (Je m'écarte.) Tu es super intelligente. Tu as du cran. Et même maintenant que tu sais pour Marcus... tu ne me regardes pas comme si j''étais un chien battu.
- Parce que tu n'en es pas un, réplique-t-elle.

Mon instinct ne m'avait pas trompé. Je peux me fier à elle. Lui confier mes secrets, ma honte, le nom que j'ai abandonné. Toute la vérité, avec ses beautés et ses laideurs.
Ma bouche effleure la sienne. Nos regards se croisent, je souris et je l'embrasse de nouveau, avec plus d'assurance.
Ca ne suffit pas. Je la serre contre moi et je l'embrasse avec plus d'intensité. Elle s'anime, referme ses bras derrière moi et se colle contre moi, et c'est fou, mais ça ne suffit toujours pas.
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Je ne suis pas certain que le courage s’acquière avec l’âge, contrairement à la sagesse. Mais peut-être qu’ici, le courage est la plus haute forme de la sagesse, l’affirmation que la vie peut et doit être vécue sans crainte.
(ADA éd., p. 146)
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"[...] il n'est jamais trop tard pour s'habituer à vivre avec les salades qu'on se raconte."
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Au fond, je sais que non, malgré sa pâleur et son air épuisé, ses ongles rongés et son regard hésitant. Jamais cette fille ne souhaiterait se fondre tranquillement dans la masse ; jamais.
- Tu as ta place ici, tu le sais ça, lui dis-je. Tu as ta place chez nous. Ce sera bientôt fini. Alors accroche-toi, OK ?
J'ai un coup de chaud dans la nuque, tout à coup, et je me mets à me gratter nerveusement, incapable de croiser son regard, bien que je le "sente" sur moi tandis que le silence se prolonge.
Soudain, elle me prend la main et je la fixe, surpris. Je glisse mes doigts entre les siens et je serre sa main, doucement. Malgré ma fatigue et mon émoi, je réalise que si je l'ai déjà touchée une demi-douzaine de fois - à chaque fois dans un élan irréfléchi - c'est la toute première fois que ça vient d'elle.
Au bout d'un long moment, elle retire sa main et part en courant rejoindre les autres.
Et je reste dans le couloir, à sourire tout seul comme un imbécile.
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Je dois me retenir de rire. Il y a quelque chose de ridicule à voir un guerrier Audacieux brandir une pile de feuilles qu'il appelle " fiches d'informations".
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— Tu sais que la plupart des garçons se réjouiraient d’être enfermés avec une fille dans un endroit aussi restreint ?
— Sauf les claustrophobes, Tris.
— D’accord, d’accord.
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Il a mon nom entre ses dents, Eaton, une arme bien plus redoutable que ses pieds, ses coudes ou ses poings.
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- Pourquoi... Pourquoi c'est ta première impulsion ?
- La peur ne te fait pas reculer ; elle t'aiguillonne. Ça se voit. C'est fascinant.
Ses yeux dans chaque simulation de peur : un mélange de glace, d'acier et de flamme bleue. Un corps menu mais tout en muscles. Une contradiction vivante. Ma main suit la ligne de sa mâchoire, descend le long de son cou.
- Et quelquefois, j'ai envie de revoir ces moments-là. Ceux où tu t'enflammes.
JE sens ses mains sur ma taille. Elle s'appuie contre moi, ou m'attire à elle, je ne sais pas. Ses mains glissent le long de mon dos et j'ai envie d'elle, d'une manière que je n'avais jamais ressentie, mû non par instinct purement physique mais par un vrai désir, pour elle en particulier.
Je lui caresse le dos, les cheveux. Et dans l’immédiat, ça me suffit.
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Elle était juste comme moi, mettant de côté ses vêtements gris mais sans vraiment les mettre de côté, ne les mettant jamais vraiment de côté, car ils sont l'armure la plus solide qu'on puisse porter
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