Divergente, tome 2 : L'insurrection

Après avoir échappé à Jeanine et interrompu la simulation meurtrière des Erudits contre les Altruistes, Tris, Tobias et les autres se réfugient chez les Fraternels, le temps d'élaborer un plan. Ils vont y apprendre que les Altruistes ont un secret et que Jeanine prévoit d'éliminer tous les Divergents...

J'ai un problème : je conçois que l'histoire soit à l'origine pour les adolescents (et à fortiori les adolescentes) ; je conçois que les dystopies puissent intéresser un public plus âgé, plus averti ; je conçois qu'un peu de love story ne fasse pas de mal, qu'il aide à teinter de couleurs un monde parfois trop gris.
Mais ce que je ne conçois pas, c'est que la qualité rédactionnelle soit équivalente au niveau d'expression écrite d'un collégien ; que le quotient émotionnel ne surpasse guère la passion hormonale d'une gamine de 12 ans qui glousse à la vue d'un slip ; que le coeur de l'intrigue soit noyé dans des considérations absolument existentielles j'en conviens telles que "il est trop beau, il me regarde, oh mais qu'est-ce que je dois faire ??!!!".
Niveau vocabulaire ridiculement enfantin, on est servis : "je pose/colle/presse ma bouche contre/sur la sienne" (d'un lyrisme absolu, n'est-il pas ? Et dire que le verbe "s'embrasser" n'a pas été utilisé une seule fois, misère...), "je me regarde dans le miroir. Trop moche." (oui, les phrases avec des verbes, c'est trop relou quoi !). Quant à l'utilisation de l'inversion sujet-verbe au présent à outrance dans les dialogues, ça fait plus lourdingue qu'autre chose ("pensé-je, murmuré-je, répondé-je, répliqué-je"... agaçant, hein??).
Ne venez pas me sortir que l'auteur était jeune quand elle a écrit, je vous répondrai que Victor Hugo publie ses premiers poèmes à 24 ans et 27 pour "Le Dernier jour d'un condamné", que Voltaire écrit Oedipe à 23 ans, que Zola nous offre ses premières nouvelles à 24, dois-je continuer ? Cela veut-il dire que le standard d'aujourd'hui, c'est d'écrire comme on parle quand on a 15 ans ?
Mais le pire dans tout ça, c'est de se féliciter que nos jeunes lisent plus qu'avant. Mais si c'est pour prendre exemple sur des productions d'aussi piètre qualité, ne vous étonnez pas de voir vos bambins rendre des rédactions de français aussi nulles qu'une mauvaise blague qui fait un four !!
Mais, me diront certains, il n'y a pas que le style, il y a l'intrigue et le message véhiculé ! Oui, parlons-en de l'intrigue : énormément de temps morts, de l'action qui tarde à venir, des considérations pré-pubères à la pelle, des allers et retours sans fin entre les factions histoire que les personnages puissent porter des vêtements de toutes les couleurs, une love story aussi plate qu'une planche de bois, avec des hauts et des bas complètement puérils, les tenants d'un secret complètement prévisibles... Quant au message, je l'ai cherché, vraiment. A part la condamnation du génocide via l'anéantissement des Divergents et l'incitation à accepter la différence, ça rame pas mal niveau philosophie. Et en passant, l'héroïne qui cherche son temps à crever et qui le moment venu a finalement peur de passer l'arme à gauche comme piètre traduction de "c'est trop cool la vie" fait très simpliste. Voilà, rien d'autre.
On ne bondit pas, on ne tressaille pas, notre rythme cardiaque ne s'accélère pas et on n'a pas envie de sacrifier sa nuit pour connaître la suite, surtout quand on a un peu d'estime envers soi et la littérature dystopique.
Ça se laisse lire et c'est tout, point barre. Y a nettement mieux, points de suspension...
Alors mobilisons-nous contre ces éditeurs qui cherchent le fric sur le dos de nos gamines de 13 ans ! Contre ces éditeurs qui nous font croire que même les adultes y trouvent leur compte ! Contre leurs exigences littéraires à la baisse !! Contre ces auteurs trop flemmards !! Mobilisons-nous pour l'avenir de la littérature et de nos enfants !!! Aimez cette critique si vous êtes d'accord !!!! (Applause)

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Bon, je m'étais laissée séduire par le 1er tome, qui m'avait fait renouer avec mon coeur d'adolescente, ce ne sera malheureusement pas la même chose pour celui-ci.

Dans les points positifs, je citerai la lecture facile et « l'émotionnant » Quatre.

Pour le reste, j'ai terminé le livre il y a une dizaine de jours et je peine à retrouver les passages clés. Il y a beaucoup de pages pour finalement assez peu de contenu et pas mal de répétitions. C'est loin d'être bien écrit et je trouve que l'auteure a du mal à assoir son idée de départ sur des fondations suffisamment solides.

J'aimerais pour autant connaître ce qu'il advient des personnages et le dénouement de l'histoire. Ma fille venant de finir le numéro trois, j'y jetterai certainement un oeil.

Encore perdue entre la réalité et les simulations, je me suis ennuyée dans cette lecture, alors que j'attendais une véritable insurrection !

Tris, une fois de plus, n'est pas convaincante entre ses pseudo-chagrins et ses sentiments de culpabilité (que je n'ai pas ressentis…)

Le personnage semble fragile hors ses actions sont courageuses ! Un peu antinomique ! Mais c'est vrai qu'elle est divergente !

Heureusement, que le beau Tobias (Quatre) est toujours là !

Plutôt déçue par le deuxième volet des aventures de Tris. Seule la fin rattrape cinq-cent pages plutôt ennuyeuses. Alors que j'avais été incapable de poser le premier tome une fois commencé, j'ai eu du mal à aller au bout de celui-ci. Beaucoup de détails et de répétitions inutiles à mon avis (ok on a compris que Tris regrette d'avoir tué Will, pas la peine de nous le ressasser en long en large et en travers, surtout que cet élément n'a pas été exploité à sa juste valeur puisque Christina décide brutalement de lui pardonner, sans qu'à aucun moment le fait que Tris ait tué de sang froid son copain ne génère le moindre conflit... )

Je n'avais pas trouvé Tris particulièrement attachante dans le tome un, mais là elle m'a franchement exaspérée, notamment dans tout ce qui concerne sa relation avec Tobias. On sent que l'auteur a voulu créer du conflit pour offrir au lecteur plus qu'une relation amoureuse plan-plan, mais en fin de compte, leurs états d'âme et leurs disputes sont plus énervants qu'autre chose, surtout quand on espère pendant 300 pages qu'il va enfin se passer quelque chose d'intéressant. Dans l'absolu je trouve que Tobias est un personnage plus intéressant que Tris. Il a une histoire, je comprends mieux sa personnalité et ses réactions et je le trouve plus humain et réel que Tris. Mais du coup parfois je ne comprends pas trop ce qu'il fiche avec elle, enfin bon...

Les premiers et derniers chapitres compensent un peu un milieu interminable, j'avais notamment regretté dans le tome un le peu d'explications quant à la création de la société dans laquelle se déroule Divergent et nous en apprenons un peu plus dans ce deuxième opus. Cela étant dit, l'explication en question manque de crédibilité à mon avis. La fin est toutefois suffisamment intrigante pour donner envie de lire le 3, je suis à la fois agacée par le procédé marketing et tentée de voir comment l'histoire se termine.

Je crois que le 3 vient de sortir en anglais, on va voir si je le lis ou pas, en tout cas, ce ne sera pas tout de suite !

Résumé : Après la simulation qui a fait entrer en guerre les factions entre elles, on retrouve Tris, toujours aussi amoureuse de Quatre, mais endeuillée et révoltée par ce qu'elle a dû faire pour sauver sa vie. Elle va devoir faire des choix, forcément douloureux, et se battre face au plan machiavélique de Jeanine.

Mon avis : J'ai lu par curiosité le tome 2, l'ayant acheté pour les élèves, qui adorent.

Hélas, tout comme pour le tome 1, j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. Certes il y de l'action, des batailles, de la rébellion, de la traîtrise, et de l'amour, mais ces ingrédients ne font pas ici un roman haletant. Tris est partagée entre ses décisions, mais son amour pour sa famille ou Quatre ne la rend pas pour autant proche du lecteur.

Seules les dernières pages relancent l'action, avec une révélation un peu surprenante, même s'il elle ne m'a pas étonnée plus que cela.

Je verrai en lisant le tome 3 si l'aventure est un peu plus entraînante.
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Le soufflé c'est donc effondré avec ce second tome que j'ai trouvé d'une niaiserie affolante. On suit un personnage principale qui devient égocentrique et presque insupportable entre ses jérémiades et ses « moi je sais mieux que tout le monde » … J'espère vraiment finir cette saga sur une note positive, pour l'instant cela semble compromis !

Cette saga avait si bien commencée. Avec le premier tome, je disais justement que l'histoire comme les personnages amenaient des éléments que je n'avais pas trouvés dans d'autres textes en YA. Même si dès le premier tome j'ai pressenti une histoire d'amour tellement pathétique que j'allais être énervée par sa suite … Cela n'a pas loupé… Je ne peux pas croire à l'importance de ce sujet dans ce roman. Soyons clair, des collégiens ne seront pas forcément intéressés par les méandres d'une relation qu'ils ne comprendront pas toujours. Et le public YA, je l'espère, aura dépassé ses premiers émois de jeunes vierges effarouchées.

Je ne souhaite pas que cette chronique devienne désagréable ni envers les lecteurs aguerris, ni envers les fanatiques de la saga. Mais d'un point de vue tout à fait objectif (pour preuve j'ai beaucoup aimé le premier tome), celui-ci nous amène dans des réflexions et des événements qui n'ont aucuns intérêts.
Je comprends que pour un auteur cela soit intéressant de faire trois tomes autant d'un point de vue financier que pour développer son histoire. Mais à mes yeux ce tome ne sert à rien étant donné que l'action se déroule sur les 100 dernières pages … Tout le début aurait pu être résumé en quelques lignes que l‘on aurait bien pu glisser à la fin du premier tome !

Tu étais si bien parti, mais là tout s'effondre. Avec des clichés sur clichés, une histoire d'amour qui ne sert à rien et des retournements prévisibles… Mais pourquoi ! Ce deuxième tome m'a donc beaucoup déçu. Alors que le premier permettait un certain renouveau. Mais avec des personnages complètements déconnectés de toutes réalités, moi je n'arrive plus à accrocher …

Je vais tout de même finir cette saga, on ne pourra pas me reprocher de ne pas être allé au bout. Mais ce dernier tome va avoir du boulot pour remonter le niveau…
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Alors que j'avais plutôt bien aimé le premier tome celui-ci a bien failli me tomber des mains plusieurs fois tellement je l'ai trouvé ennuyant...
Certes le roman s'adresse à un public ado mais là tant de niaiseries je pense que même eux n'aiment pas lire cela, tout le roman tourne autour de Tris et Tobias et leur amour fragile.
Cela prend même le dessus sur l'histoire pourtant plus intéressante de la dystopie. Sur presque toutes les pages ont doit supporter leurs fébriles émois amoureux.
J'ai trouvé que Tris n'avait plus du tout le même cran que dans le premier volume.
On croirait voir une petite fille capricieuse qui n'en fait qu'à sa tête.
La dernière centaine de pages est un peu plus intéressante le récit reprend (enfin) de la puissance sur la guerre entre les factions.
Sans compter que j'ai trouvé l'écriture vraiment simple.
Pas certaine que je lise le dernier tome.

Mais que c'est nul.
Aussi bien en qualité textuelle qu'en profondeur.
Euh, au temps pour moi il n'y a pas de profondeur.

Ah, et la psychologie des personnages, comment dire ?
Pas de traumatisme qui tienne, les hommes ne pleurent pas, les filles sont complexées par leur corps, et surtout l'amour continue.

D'ailleurs, on en parle de l'amour ? Des gens qui ont été éduqués dans l'idée que tout contact entre personnes de sexes différents est important, significatif et précieux, et qui passent leur temps à s'embrasser et plus, et peu importe si on est en public ou pas, paskon est trop des rebel tavu.
Par contre à la fin du tome ils sont toujours puceaux.
Tiens, ca me rappelle quelque chose...

Après avoir bien aimé le tome 1 je décide de m'attaquer au tome 2 ...
Bon j'ai moins aimé ... Moins porté par l'euphorie autour de ce livre (et aussi de celle de Kévin mon cop's cdi) j'ai vraiment moins accroché. Bon ok il y a des actions, notamment la simulation meurtrière des Erudits contre les Altruistes, puis le calme chez les Fraternels, puis le secret : Jeanine qui veut éliminer tous les divergents, les Sans Factions qui prennent le pouvoir tout ça ..
Mais bon j'ai moins aimé.
Je vais lire le tome 3 parce que je suis quand même curieuse de savoir ce qu'il y a derrière les barrières ! Quel est ce secret ultime que vient de révéler l'ancêtre de Tris ??

En bref, c'est un second tome – plus sombre que le premier – qui n'a pas su me faire voyager, sans doute à cause de la tournure des événements et de la distance que j'ai ressentie à propos des personnages. Néanmoins, le dénouement offre une perspective intéressante à l'univers qui est tout de même bien développé.
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