Teolt, Tome 1 : Arahorus

Une bande dessinée violente et au langage très familier. Une réference marquée aux feuilletons japonais style Bioaman et un scénario compliqué à suivre.

Encore une belle découverte proposée par les éditions Ankama ! Tabasco, Kurbin et leurs amies ont un lieu où ils aiment se retrouver : la salle de jeux d'arcade. Après les cours relous, quoi de mieux que de se défouler sur les manettes. Mais bon aujourd'hui, la journée a mal commencé, suivie par une scène de bus scolaire assez drôle et des rencontres inhabituelles à la salle. On pourrait dire "lecture pour ados nouvelle génération". Eh bien non, j'ai trouvé l'histoire drôle et le graphisme original et coloré. Ça ne ressemble pas à quelque chose que je connais, excepté un peu de ressemblance avec le monde de Mutafukaz.

Les Divinités ne sont pas contentes ! Non seulement, les hommes ne sont plus capables de les reconnaître et encore moins de les craindre, mais en plus, ils détruisent leur planète et passent leur temps à s'entre-tuer !

Décidément, ce 21ème siècle ne leur dit rien qui vaille ; nombreuses sont celles qui s'accordent à dire qu'il vaudrait mieux faire disparaître une bonne fois pour toutes les êtres humains, mais quelques irréductibles ont envie de leur laisser une dernière chance. C'est le cas d'Arahorus et de Sepatep.

Tous deux misent sur la jeunesse, par définition pleine de vie et de bonne volonté ; ils s'installent incognito dans les îles Calchaz, où ils repèrent un groupe d'adolescents particulièrement remuants, drivés par un leader impulsif surnommé Tabasco. S'ils arrivent à se faire entendre d'eux, ils pourront leur transmettre une partie de leurs forces divines. Les jeunes "élus" seront alors assez puissants pour contrer les monstres chargés d'anéantir l'humanité ! Ou pas... Arahorus et Sepatep jouent carte sur table : personne n'a jamais dit que l'aventure était sans risque ! Libre à eux d'accepter ou non la mission...
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